Différences entre les versions de « Philippe Bry »

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=== Commentaire de Jean-Daniel Metzger au sujet du soutien d'[[Initiative citoyenne]]<ref>http://silicium.blogspirit.com/archive/2016/01/28/condamnation-du-dr-philippe-bry-pour-entrave-aux-oligations-3065365.html</ref> ===
 
=== Commentaire de Jean-Daniel Metzger au sujet du soutien d'[[Initiative citoyenne]]<ref>http://silicium.blogspirit.com/archive/2016/01/28/condamnation-du-dr-philippe-bry-pour-entrave-aux-oligations-3065365.html</ref> ===
Lorsqu'on a le culot de se présenter en martyr après avoir commis des faux en écriture en trompant les bonnes gens afin de tenter de lever des fonds (12 000 € aux dernières nouvelles !) pour atténuer le poids des condamnations dont ont à écopé, lorsqu'on n'est pas blanc comme neige, et que l'on veut poser avantageusement sur la toile, il faut s'attendre à se faire gifler publiquement par les mêmes voies.
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Lorsqu'on a le culot de se présenter en martyr après avoir commis des faux en écriture, en trompant les bonnes gens afin de tenter de lever des fonds (12 000 € aux dernières nouvelles !) pour atténuer le poids des condamnations dont on a écopé, lorsqu'on n'est pas blanc comme neige, et que l'on veut poser avantageusement sur la toile, il faut s'attendre à se faire gifler publiquement par les mêmes voies.
  
Le Dr Bry en plus d'une levée de fond se fait entretenir par l'ex femme du mari qu'il a bafoué
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Le Dr Bry en plus d'une levée de fond se fait entretenir par l'ex femme du mari qu'il a bafoué.
  
Le mari me fait observer ceci :<br>''Mon épouse lui apporte plus de 3500 euros par mois (2200 de pension alimentaire a cause d'une erreur de calcul, plus 700 euros de SFS par l'armée, plus 691 d'AF... Même sans travailler, Bry peut survivre...<br>La notion de "sursis" est à creuser : si Bry n'est qu'un "therapeute" comme il le prétend, alors le sursis devrait sauter s'il continue à s'immiscer dans nos affaires familiales. En clair, s'il continue à héberger mon épouse et nos enfants au titre de "thérapeute", il bousille son sursis. S'il l'héberge désormais au titre de "compagne", il bousille son argumentaire.''<br>En effet, si l'épouse (le divorce n'étant pas encore prononcé) vit toujours au domicile de Bry. Le trouble causé par l'ingérence perdure et justifie un appel et non seulement la révocation du sursis mais l'alourdissement de la peine en raison du manquement aux obligations morales d'un médecin. Risque auquel s'ajoute les conséquences possible de la plainte au pénal pour bris et vol d'ordinateur au détriment du fils, plus les dommages et intérêts que ne manquera pas de réclamer le mari bafoué devant la juridiction civile ou pénale compétente, la justice ordinale n'étant pas compétence sur ce plan précis.<br>J'ai le sentiment d'avoir débusqué une affaire qui si elle est menée à son terme risque de faire date en raison du contexte de dérive sectaire, lequel ne résulte pas d'un manquement aux obligations vaccinales mais d'une confusion des genres. Lorsque les médecins et les "psys" en viennent à se substituer aux curés et aux directeurs ou conseillers spirituels dont c'est le métier, rien ne va plus ! Cela devient même une véritable plaie, c'est la raison pour laquelle j'ai proposé à la victime de tout faire pour tenter de mettre définitivement ce médecin hors d'état de nuire !<br>J'ose espérer que vous conviendrez que l'affaire n'est pas banale !<br>Notons que l'interdiction d'exercer pendant x mois ne représente que le volet disciplinaire, et l'ARS aurait entrepris de vérifier la couverture vaccinale de tous les enfants d'une certaine tranche d'âge traités par Bry, ce qui revient à dire qu'un volet pénal pourrait s'ajouter au volet disciplinaire... C'est ce que l'on appelle ''se foutre dans le pétrin...''
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Le mari me fait observer ceci :<br>''Mon épouse lui apporte actuellement (janvier 2015) plus de 3500 euros par mois (2200 de pension alimentaire a cause d'une erreur de calcul, plus 700 euros de Supplément Familial par mon employeur, plus 691 d'AF... Même sans travailler, Bry peut survivre...<br>La notion de "sursis" est à creuser : si Bry n'est qu'un "thérapeute" comme il le prétend, alors le sursis devrait sauter s'il continue à s'immiscer dans nos affaires familiales. En clair, s'il continue à héberger mon épouse et nos enfants au titre de "thérapeute", il détruit son sursis. S'il l'héberge désormais au titre de "compagne", il détruit son argumentaire.''<br>En effet, si l'épouse (le divorce n'étant pas encore prononcé) vit toujours au domicile de Bry, le trouble causé par l'ingérence perdure et justifie un appel et non seulement la révocation du sursis mais l'alourdissement de la peine en raison du manquement aux obligations morales d'un médecin. Risque auquel s'ajoute les conséquences possible de la plainte au pénal pour bris et vol d'ordinateur au détriment du fils, plus les dommages et intérêts que ne manquera pas de réclamer le mari bafoué devant la juridiction civile ou pénale compétente, la justice ordinale n'étant pas compétence sur ce plan précis.<br>J'ai le sentiment d'avoir débusqué une affaire qui si elle est menée à son terme risque de faire date en raison du contexte de dérive sectaire, lequel ne résulte pas d'un manquement aux obligations vaccinales mais d'une confusion des genres. Lorsque les médecins et les "psys" en viennent à se substituer aux curés et aux directeurs ou conseillers spirituels dont c'est le métier, rien ne va plus ! Cela devient même une véritable plaie, c'est la raison pour laquelle j'ai proposé à la victime de tout faire pour tenter de mettre définitivement ce médecin hors d'état de nuire !<br>J'ose espérer que vous conviendrez que l'affaire n'est pas banale !<br>Notons que l'interdiction d'exercer pendant x mois ne représente que le volet disciplinaire, et l'ARS aurait entrepris de vérifier la couverture vaccinale de tous les enfants d'une certaine tranche d'âge traités par Bry, ce qui revient à dire qu'un volet pénal pourrait s'ajouter au volet disciplinaire... C'est ce que l'on appelle ''se foutre dans le pétrin...''
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Lien avec [[Patrick Le Berre]]<ref>https://www.psiram.com/fr/index.php/Patrick_Le_Berre</ref><br>
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Jean-Daniel Metzger montre également le lien étroit entre le Dr Philippe Bry et Patrick Le Berre, ce "passeur d'âme - initiateur ésotérique" de la région de Tours, chez qui il a envoie cette "patiente - compagne" en "consultation" le 3 juillet 2015 (c'est le mot que le Dr Bry emploie lui-même).
  
 
== Recrudescence des cas de tétanos en France ==
 
== Recrudescence des cas de tétanos en France ==

Version du 24 février 2016 à 11:10

Le Philippe Bry, pédiatre homéopathe, opposant à la vaccination.

Procédures disciplinaires devant la Chambre Régionale de l'Ordre des médecins (CROM)

Condamnation pour avoir produit un faux certificat de vaccination de complaisance

"Le Dr Philippe Bry, 52 ans, pédiatre homéopathe, exerce depuis 28 ans à Fondettes. Il a été suspendu provisoirement cinq mois le 9 octobre 2015 par l'Agence régionale de santé (ARS), suspecté d'avoir produit un faux certificat de vaccination de complaisance pour un jeune de 8 ans qui, en tombant sur un tesson de poterie, le 13 juin 2015, a contracté le tétanos.
Hospitalisé d'urgence à Tours-Clocheville, le 28 juin 2015 en réanimation, l'enfant est admis en rééducation le 17 août et sort guéri du centre le 27 août. Il repend l'école et ses activités sportives en septembre 2015. Traduit devant la chambre disciplinaire du conseil de l'ordre régional des médecins (Crom) Centre-Val de Loire, il est représenté à l'audience par Me Clémentine Czorny aux fins d'obtenir la relaxe.
Tout au long des débats, s'affrontent la position des obligations vaccinales auxquelles se serait soustrait le Dr Bry selon les expertises et celle du médecin qui, dans ses déclarations constantes (23 juillet, 12 octobre et 21 octobre 2015) soutient avoir bien vacciné l'enfant contre cette maladie.
En arrière-plan, s'invite aussi la controverse des partisans des vaccinations libres, constituant une part importante du comité de soutien dont une cinquantaine de membres présents dans la salle, contre la médecine conventionnelle représentée par le conseil de l'ordre et l'ARS.
L'ARS a procédé à la saisine de cette chambre disciplinaire en application du non-respect du code de la santé publique et de la déontologie professionnelle qui interdit à un praticien de produire de faux documents. Le carnet de santé du jeune porte trace des étiquettes correspondant à des lots, ainsi que la signature du Dr Bry, mais les examens biologiques concluent à l'absence de trace de vaccination.
[...]
Une autre affaire le mettant en cause pour intrusion dans les affaires familiales au nom de l'assistance thérapeutique est évoquée. Il s'agit d'une plainte d'un homme, transmise par le conseil départemental de l'ordre des médecins d'Indre-et-Loire qui s'y associe, enregistrée le 20 juillet 2015. Le Dr Bry n'aurait pas respecté la confidentialité et se serait immiscé dans la vie d'un couple et de ses huit enfants au nom de sa profession. Décision dans deux mois sur cette affaire.
"[1]

Le Dr Philippe Bry, jeudi 17 décembre 2015, a été interdit d’exercer la médecine pendant 18 mois. La sanction a été prononcée par la Chambre régionale de l’Ordre des médecins d’Orléans. « Le médecin peut faire appel, mais cet appel ne sera pas suspensif » précise La Nouvelle République du Centre Ouest.[2]

Condamnation pour non respect des règles déontologiques

Le Dr Bry a été mis en cause pour intrusion dans les affaires familiales au nom de l'assistance thérapeutique. Il s'agit d'une plainte d'un homme, transmise par le conseil départemental de l'ordre des médecins d'Indre-et-Loire qui s'y associe, enregistrée le 20 juillet 2015. Le Dr Bry n'aurait pas respecté la confidentialité et se serait immiscé dans la vie d'un couple et de ses huit enfants au nom de sa profession. Décision dans deux mois sur cette affaire.[1]

Dans cette affaire, la décision de la CROM le 26 janvier 2016 a été:
Sanction de l'interdiction d'exercer la médecine pendant une durée de 3 mois, assortie d'un sursis partiel de deux mois, infligé au Dr Bry.
Cette sanction, pour la partie non assortie d'un sursis, prendra effet le 17 juin 2017 à 0 heures et cessera de porter effet le 16 juillet 2017 à 24 heures.[3]

Antécédents du Dr Philippe Bry

Le Dr Bry est loin d'être un inconnu. Il a déjà été suspendu temporairement en février 2001[4] pour trois mois par l'Ordre national des Médecins qui avait, fait rarissime, augmenté la durée de la peine initiale de un mois prononcée en février 2009 par l'instance régionale.[5]

Roselyne Morel, vice présidente de CAP LC, donne sa version des faits et une description détaillé des pratiques médicales du Dr Bry (voir la page 17 de ce document[6]), il s'agit de la méthode d'isothérapie séquentielle de Jean Elmiger. Dans ce document, la durée de la peine aurait été portée en appel à deux mois.

L'association anti-vaccination ALIS avait pris sa défense dans son courrier N° 33 de 2001[5] Ce courrier nous apprend que Le médecin est condamné une première fois à un mois de mise à pied, le 12 février 1999, par l'instance régionale et à trois mois par l'instance nationale, le 8 février 2001.
"L'aggravation de la peine, fait rare, fait suite au recours du Conseil départemental qui estimait que "la dangerosité des opinions et du mode d'exercice du Dr Bry était insuffisamment sanctionnée en première instance."
Il n'y a pas eu de plainte de patients. Le Dr BRY a été dénoncé par un confrère pédiatre de Tours, très engagé dans la lutte contre les sectes, pour avoir prescrit un traitement isothérapique (à base de dilutions homéopathiques de vaccins) à un enfant qui présentait une grande fatigue à la suite de toute une série de vaccinations.
L'Ordre des Médecins l'a donc accusé d'utiliser des procédés insuffisamment éprouvés faisant courir des risques injustifiés aux patients (Code de deontologie art.
39 et 40) ! [...]
"Philippe BRY, pour sa part, analyse la mesure qui le frappe comme un procès en sorcellerie: "On m'a déjà enlevé mes cours auprès des sages-femmes, on m'a supprimé les gardes pédiatriques et mes interventions à l'hôpital Clocheville. J'ai été parmi les premiers à tiquer contre le vaccin de l'hépatite B. Il y a un tabou médical sur les vaccins, il ne faut pas entacher le dogme selon lequel le vaccin va sauver le monde. Je paie pour ma liberté de parole".
Le pédiatre envisage d'intenter un recours contre sa mise à pied, prévue à partir du mois de mai, devant le Conseil d'Etat." [...]
.
Et ALIS avait conclu: "Tous ceux qui veulent manifester leur soutien au Dr Bry peuvent lui envoyer un petit d'encouragement par l'intermédiaire d'ALIS (Ecrire au siège à RIOM)."

La Ligue Nationale pour la Liberté des Vaccinations (LNPLV) avait elle aussi pris sa défense en 2001 dans un article "Hommage à un médecin courageux".[7] On y apprend que:
"Le 8 février le Conseil National de l’ordre des médecins a condamné le Dr Philippe BRY, pédiatre à Fondettes près de Tours, à 2 mois d’interdiction d’exercer.

La plainte à son encontre n’émane pas de patients mais d’un confrère pédiatre le Dr MIET. Le motif est une ordonnance du Dr BRY, prescrivant à un enfant de 7 ans des médicaments isothérapiques des vaccins ROR, Genhévac B, HI B, Tétracoq et BCG (soit tous les vaccins administrés habituellement aux enfants). L’enfant se plaignant de fatigue et de troubles digestifs le Dr BRY avait voulu soigner les effets secondaires de ces vaccinations.

Le Conseil National reproche au Dr BRY :
d’attribuer les troubles de l’enfant aux vaccinations,
de pratiquer l’isothérapie séquentielle de manière habituelle, et sans examens complémentaires,
d’employer des procédés thérapeutiques insuffisamment éprouvés,
de jeter la suspicion sur l’utilité des vaccinations chez les jeunes enfants en leur faisant courir des risques injustifiés. Le journal qui rapporte ces faits signale que certains confrères évoquent la personnalité du Dr BRY mais aussi celle du plaignant “très engagé dans la lutte contre les sectes”.
"

Être "très engagé dans la lutte contre les sectes", étrange prétexte pour tenter de discréditer le plaignant !

Dans le journal de décembre 1999 de la LNPLV, il est fait un compte-rendu d'un colloque "Faut-il avoir peur des vaccinations ?" auquel la LNPLV a participé. Le journal donne des détails sur l'intervention de Philippe Bry: "Le Dr Philippe BRY, pédiatre à Fondettes, a dénoncé cette polyvaccination du nourrisson qui perturbe le système immunitaire encore immature à tel point que le Japon a reporté les primo-vaccinations à …2 ans. Il a montré des documents témoignant de l'affaiblissement du système immunitaire matérialisé par l'effondrement du rapport T4/T8 (il s'agit de deux types de lymphocytes – globules blancs – intervenant dans l'immunité). Enfin il a dénoncé « l'artifice » de changement de dénomination du Virus Respiratoire Syncitial (VRS) qui, découvert en 1956, s'appelait alors Chimpanzé Coryza Agent (CCA). Serait-ce pour éviter que l'on se pose la question de savoir comment on a pu « écoper » d'un virus de chimpanzé ? Avec pertinence, notre orateur ne se prive pas de rappeler que les premiers vaccins antipolio des années 60 étaient contaminés par le SV40, virus provenant des singes verts sur les reins desquels étaient faites les cultures du vaccin antipolio…"[8]

Les soutiens du Dr Bry en 2015

Les soutiens du Dr Bry sont ici le groupe Facebook Info Vaccin Prevenar, groupe en cheville avec l'association belge Initiative citoyenne, et Sophie Guillot, présidente de l'association Info Vaccin France et membre active du groupe facebook précité.

Sophie Guillot affirme donc que le Dr Bry n'aurait pas falsifié le carnet de son patient:
"Or cet enfant avait bien été vacciné à plusieurs reprises en 2008 et 2009 conformément aux lois d'obligations vaccinales",
alors qu'elle a elle-même falsifié celui de ses enfants, comme elle l'avouait en 2013 sur un forum québécois.[4]

Le Dr Bry lance un vibrant appel au soutien du public, que s'empresse de relayer l'association belge opposée à la vaccination Initiative citoyenne[9]. Il demande
" - un soutien moral au travers d’une pétition
- physique en venant assister à mon jugement au Conseil de l’Ordre le 16 décembre à Orléans
- financier en m’aidant à payer cette procédure juridique infondée
".
La cagnotte se monte début février à 12 633 €[10].

Commentaire de Jean-Daniel Metzger au sujet du soutien d'Initiative citoyenne[11]

Lorsqu'on a le culot de se présenter en martyr après avoir commis des faux en écriture, en trompant les bonnes gens afin de tenter de lever des fonds (12 000 € aux dernières nouvelles !) pour atténuer le poids des condamnations dont on a écopé, lorsqu'on n'est pas blanc comme neige, et que l'on veut poser avantageusement sur la toile, il faut s'attendre à se faire gifler publiquement par les mêmes voies.

Le Dr Bry en plus d'une levée de fond se fait entretenir par l'ex femme du mari qu'il a bafoué.

Le mari me fait observer ceci :
Mon épouse lui apporte actuellement (janvier 2015) plus de 3500 euros par mois (2200 de pension alimentaire a cause d'une erreur de calcul, plus 700 euros de Supplément Familial par mon employeur, plus 691 d'AF... Même sans travailler, Bry peut survivre...
La notion de "sursis" est à creuser : si Bry n'est qu'un "thérapeute" comme il le prétend, alors le sursis devrait sauter s'il continue à s'immiscer dans nos affaires familiales. En clair, s'il continue à héberger mon épouse et nos enfants au titre de "thérapeute", il détruit son sursis. S'il l'héberge désormais au titre de "compagne", il détruit son argumentaire.

En effet, si l'épouse (le divorce n'étant pas encore prononcé) vit toujours au domicile de Bry, le trouble causé par l'ingérence perdure et justifie un appel et non seulement la révocation du sursis mais l'alourdissement de la peine en raison du manquement aux obligations morales d'un médecin. Risque auquel s'ajoute les conséquences possible de la plainte au pénal pour bris et vol d'ordinateur au détriment du fils, plus les dommages et intérêts que ne manquera pas de réclamer le mari bafoué devant la juridiction civile ou pénale compétente, la justice ordinale n'étant pas compétence sur ce plan précis.
J'ai le sentiment d'avoir débusqué une affaire qui si elle est menée à son terme risque de faire date en raison du contexte de dérive sectaire, lequel ne résulte pas d'un manquement aux obligations vaccinales mais d'une confusion des genres. Lorsque les médecins et les "psys" en viennent à se substituer aux curés et aux directeurs ou conseillers spirituels dont c'est le métier, rien ne va plus ! Cela devient même une véritable plaie, c'est la raison pour laquelle j'ai proposé à la victime de tout faire pour tenter de mettre définitivement ce médecin hors d'état de nuire !
J'ose espérer que vous conviendrez que l'affaire n'est pas banale !
Notons que l'interdiction d'exercer pendant x mois ne représente que le volet disciplinaire, et l'ARS aurait entrepris de vérifier la couverture vaccinale de tous les enfants d'une certaine tranche d'âge traités par Bry, ce qui revient à dire qu'un volet pénal pourrait s'ajouter au volet disciplinaire... C'est ce que l'on appelle se foutre dans le pétrin...

Lien avec Patrick Le Berre[12]
Jean-Daniel Metzger montre également le lien étroit entre le Dr Philippe Bry et Patrick Le Berre, ce "passeur d'âme - initiateur ésotérique" de la région de Tours, chez qui il a envoie cette "patiente - compagne" en "consultation" le 3 juillet 2015 (c'est le mot que le Dr Bry emploie lui-même).

Recrudescence des cas de tétanos en France

Dans l'article "Certificat de complaisance. Enfant atteint du tétanos : le pédiatre de Tours suspendu", par Bruno Martrette, sous-titré "Un pédiatre tourangeau a été suspendu par son ARS, suite à un cas de tétanos décelé sur un enfant de neuf ans. Il aurait établi une fausse déclaration de vaccination" se trouve un encart intitulé "Recrudescence des cas de tétanos en France":

"Selon un récent bilan de l'Institut de Veille Sanitaire (InVS), le tétanos, maladie qu'on pensait éradiquée, connaît une recrudescence en France : 3 cas en 2008, 15 en 2010. « Tous ces cas et décès auraient pu être évités par une meilleure application du calendrier de vaccination antitétanique », soulignait l'étude. Au total, entre 2008 et 2011, 36 cas ont été notifiés, dont 11 décès.[13]

Pour la période 2005-2014, 96 cas de tétanos en France, dont 26 décès. Le taux de létalité est de 27%.[14]

Liens avec divers mouvements anti-vaccinalistes

Avec la LNPLV

Dans le journal de la LNPLV de mars 2001, vers la fin de la rubrique "Nouvelles brèves", on trouve un article "Hommage à un médecin courageux":

"Le 8 février le Conseil National de l’ordre des médecins a condamné le Dr Philippe BRY, pédiatre à Fondettes près de Tours, à 2 mois d’interdiction d’exercer.
La plainte à son encontre n’émane pas de patients mais d’un confrère pédiatre le Dr MIET. Le motif est une ordonnance du Dr BRY, prescrivant à un enfant de 7 ans des médicaments isothérapiques[15] des vaccins ROR, Genhévac B, HI B, Tétracoq et BCG (soit tous les vaccins administrés habituellement aux enfants). L’enfant se plaignant de fatigue et de troubles digestifs le Dr BRY avait voulu soigner les effets secondaires de ces vaccinations. [...]
"

Il est ensuite rappelé dans l'article "Hommage à un médecin courageux":

"Le Dr BRY avait participé au colloque “Faut-il avoir peur des vaccinations” qui s’était tenu à Paris le 16 octobre 1999. Son exposé figure dans le livre “Synthèse du Colloque”".

Puis on trouve un rajout de "dernière minute:

"Dernière minute...
Au moment de mettre sous presse, nous apprenons qu’une conférence d’information et de soutien au Dr BRY aura lieu le 10 avril à 20 h 30, salle polyvalente des Halles, place Gaston Pailhou, 37000 Tours. L’entrée est gratuite.
Cette action est organisée par la coordination ouest. Pour tout renseignement, téléphonez à M. PLOUGONVEN au 02 47 49 93 95. Nous invitons tous ceux qui le peuvent à y participer.
".

Le numéro de téléphone mentionné est celui de Paul Plougonven et de Christiane Plougonven à Fondettes (37230)[16].

Avec ALIS

Le Dr Bry a été l'un des conférenciers lors des Journées d'été d'ALIS, qui ont eu lieu du 25 août 2011 au 28 août 2011 en Normandie, et au cours de desquelles se sont tenues l'AG annuelle d'ALIS et diverses réunions des délégués locaux d'ALIS.[17]

Liens externes

Références

  1. 1,0 et 1,1 http://www.lanouvellerepublique.fr/Indre-et-Loire/Actualite/Faits-divers-justice/n/Contenus/Articles/2015/12/18/Tetanos-le-pediatre-sanctionne-par-ses-pairs-2568758 Article "Tétanos : le pédiatre sanctionné par ses pairs" publié le 18/12/2015
  2. http://jeanyvesnau.com/2015/12/17/affaire-du-tetanos-lordre-condamne-le-pediatre-homeopathe-a-un-an-et-demi-dinterdiction-dexercice/
  3. http://silicium.blogspirit.com/files/jugement_contre_dr_Bry.pdf
  4. 4,0 et 4,1 http://rougeole-epidemiologie.overblog.com/2015/12/tetanos-quand-des-enfants-paient-pour-les-decisions-des-adultes.html#top
  5. 5,0 et 5,1 http://ddata.over-blog.com/xxxyyy/3/27/09/71/dec-2011/Un-pediatre-devant-l-Ordre-des-Medecins.pdf
  6. http://roselyne.morel.free.fr/CAP-LC.pdf
  7. http://www.infovaccin.fr/200103.html Voir l'article situé vers la fin de page
  8. http://www.infovaccin.fr/199912.html#colloque
  9. http://initiativecitoyenne.be/2015/12/vaccination-dr-philippe-bry-un-pediatre-injustement-inquiete-a-soutenir-d-urgence.html
  10. https://www.lepotcommun.fr/pot/i426qfgg
  11. http://silicium.blogspirit.com/archive/2016/01/28/condamnation-du-dr-philippe-bry-pour-entrave-aux-oligations-3065365.html
  12. https://www.psiram.com/fr/index.php/Patrick_Le_Berre
  13. http://www.pourquoidocteur.fr/Articles/Question-d-actu/12916-Enfant-atteint-du-tetanos-le-pediatre-de-Tours-suspendu
  14. http://www.invs.sante.fr/Dossiers-thematiques/Maladies-infectieuses/Maladies-a-prevention-vaccinale/Tetanos/Donnees-epidemiologiques
  15. http://santenature.over-blog.com/article-10505499.html Description de l'isothérapie aussi appelée Isopathie. En gros, on prélève chez le patient les produits de son propre corps (sang, urine, excrétions purulentes, matières fécales, salive, calculs biliaires et urinaires), puis on les dilue comme en homéopathie, dilution qu'on administre au patient à titre de médication
  16. http://autour-d-un-cours-en-miracles.over-blog.fr/article-25077666.html
  17. http://www.alis-france.com/download/inscript_AG2011.pdf