Le No 1 de Néosanté de mai 2011[1]

Guy Corneau, né le 13 janvier 1951 à Chicoutimi (Québec), décédé le 5 janvier 2017 à Montréal, psychanalyste jungien, auteur et conférencier.

Il apprend en 2007 qu'il est atteint d'un cancer, un lymphome de grade 4 qui s’est attaqué aux ganglions du cou, du thorax, de l’abdomen, à un poumon et au foie[2]. Soigné selon les méthodes de la médecine conventionnelle, il a cependant eu aussi recours à divers traitements complémentaires et/ou alternatifs (psychothérapie, méditation, visualisation, acupuncture, homéopathie, phytothérapie, nutrition), et en particulier, à la Biologie Totale de Claude Sabbah avec lequel il était en contact.

Il accorde un grand rôle à la Biologie Totale dans sa guérison ... laquelle guérison sans la médecine conventionnelle aurait eu peu de chance de se produire.

Ne pas avoir eu recours à la médecine conventionnelle et s'être contenté de suivre la méthode « psychologisante »[3] de Claude Sabbah s'est mal terminé pour Claude Saksik décédé en 2007 des suites d’un cancer. Sa veuve poursuit en justice depuis des années Claude Sabbah pour sa responsabilité, le procès est toujours pendant en 2015.[4] C'est d'ailleurs peut-être en raison de ce procès qu'a été rajouté en 2011 la vidéo de Claude Sabbah mentionnée ci-dessous dans laquelle celui-ci insiste sur le fait que ni Guy Corneau et ni Lara Fabian ne se sont détournés de la médecine conventionnelle, contrairement à Claude Saksik.

Voir la vidéo avec Claude Sabbah[5] et l'interview de Guy Corneau dans le N° 1 de mai 2011 de la revue Néosanté d'Yves Rasir dédiée à la Médecine Nouvelle Germanique et accessoirement à la Biologie Totale, les médecines alternatives, les personnes opposées à la vaccination, etc.[1]

Publications

  • Père manquant, fils manqué (Éditions de l’Homme, 1989)
  • L’amour en guerre (Éditions de l’Homme, 1996), paru en France sous le titre N’y a-t-il pas d’amour heureux? (Éditions Robert Laffont, 1997, Éditions J’ai lu, 1999)
  • La guérison du coeur (Éditions de l’Homme, 2000, Éditions Robert Laffont, 2000, Éditions J’ai lu, 2002)
  • Victime des autres, bourreau de soi-même, paru aux Éditions Robert Laffont en avril 2003
  • Le meilleur de soi paru aux Éditions Robert Laffont en 2007, a aussi été publié aux Éditions de l’Homme, au Québec la même année.
  • Revivre !, publié aux Éditions de l’Homme au Québec à l’automne 2010 et publié fin janvier 2011 en Europe.

Références

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