Stefano Montanari

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Source vidéo youtube "VACCINI DANNOSI ! - PROF. STEFANO MONTANARI (MEDICO)" [Les vaccins nocifs! - Prof Stefano Montanari (médecin)] mise en ligne le 21 nov. 2016 [1]

Stefano Montanari, né le 18 juin 1970 à Bologne, résidant à Modène, pharmacien, Anti-vaccinaliste, depuis mars 2004 directeur scientifique du laboratoire privé Nanodiagnostics de Modène présidé par sa femme le Dr. Antonietta Gatti découvreuse de la nanopathologie.

Montanari, le vaccin Meningerix et l'ANSM

Contexte

Le 24 septembre 2014, tous les lots commercialisés du vaccin Méningitec, ont été retirés du marché, à titre de précaution, en raison d’un défaut qualité rencontré lors de la fabrication de ce médicament (mise en évidence de particules métalliques oxydées au niveau du piston dans un nombre limité de seringues). Un rappel similaire a été organisé à l’échelle européenne. Au regard des données toxicologiques, des données de pharmacovigilance et de la fréquence très faible d’apparition de ce défaut, l’ANSM n’avait pas, dès le retrait, identifié de risque pour la santé des enfants vaccinés.

Plus récemment, l’ANSM a été alertée, notamment dans le cadre d’une plainte, de l’existence de signes généraux chez des enfants vaccinés par Méningitec.

L’ANSM a réuni un groupe d’experts toxicologues dans le cadre d’un Comité Scientifique Spécialisé Temporaire (CSST) afin d’analyser les données disponibles sur le vaccin. Ces experts indépendants ont conclu qu’il était peu probable que les particules identifiées dans le bouchon et la seringue engendrent une toxicité aiguë générale chez les personnes vaccinées et que seule une réaction locale pourrait être envisagée (rougeurs ou gonflement au site d’injection notamment).

Par ailleurs, deux analyses ont été menées par les laboratoires du Pr Alvarez (Hôpital Raymond Poincaré – Garches) et du Dr Montanari (Laboratoires Nanodiagnostics – Modene) sur des échantillons du vaccin Méningitec. Ces analyses ont été portées à la connaissance de l’ANSM. Du fait de leurs conclusions contradictoires, l’ANSM a procédé à des analyses complémentaires sur le vaccin Méningitec, incluant une recherche élargie de traces métalliques, afin d’apporter des données qualitatives et quantitatives.[2].

La plainte

Une analyse réalisée sur un échantillon de vaccin contre la méningite, le Meningitec, révèle la présence de nanoparticules de "plomb, zinc et titane". Des résultats présentés comme très inquiétants par l'avocat de 600 familles engagées dans une bataille judiciaire contre le distributeur français du produit.

"Cette histoire pourrait devenir l'un des scandales sanitaires de l'année." C'est par ces mots que Me Ludot, évoque le procès contre le distributeur français du Meningitec, un vaccin contre la méningite. L'expertise, rendue publique mardi par La Montagne, révèle la présence dans un échantillon de "débris de plomb, de zinc, de titane", rapportait mardi le journal. "Une vraie soupe de métaux lourds", explique-t-il à L'Express.

Depuis plusieurs mois, 600 familles se battent pour faire reconnaître un lien de cause à effet entre les symptômes de leurs enfants -fortes fièvres inexpliquées, éruptions cutanées, troubles du sommeil et du comportement- et leur vaccination avec un lot défectueux de ce vaccin.

L'analyse n'a pas été effectuée sur le lot incriminé

La nouvelle expertise conclut à la présence de particules de métaux lourds en quantités "considérables". L'échantillon, analysé par Nanodiagnostics, un laboratoire italien qui se présente comme "spécialiste" des nanomatériaux, a été fourni par l'avocat lui-même. "C'est un vaccin que j'ai acheté à la pharmacie, explique Me Ludot. Il n'était pas identifié comme défectueux et n'était donc pas visé par la procédure de retrait du marché ordonnée en septembre 2014." Cela rendrait, selon son analyse, les derniers résultats d'autant plus inquiétants, les particules repérées pouvant se trouver aussi dans des produits toujours commercialisés. [...][3]

L'expertise de Montanari

Un laboratoire italien spécialisé dans les nanotechnologies vient d’analyser un lot a priori « sain » du Méningitec®, ce vaccin décrié par des centaines de familles en France. Ses résultats sont alarmants.

« Une bombe ». À en croire Me Emmanuel Ludot, l’avocat de centaines de familles inquiètes des effets du Méningitec® sur leurs enfants, les conclusions des spécialistes italiens sont « explosives ». « Ce que dit ce rapport d’expertise est édifiant. Nous avons désormais la preuve que ce vaccin contient une foultitude de particules toutes plus dangereuses les unes que les autres. Il est urgent d’ouvrir les yeux », martèle-t-il.

La société Nanodiagnostics, basée à Modène (Italie), a passé au crible du microscope électronique le contenu d’une seringue envoyée par l’avocat français.

« Il s’agit d’un lot qui n’était pas identifié comme défectueux, et qui n’était donc pas visé par la procédure de retrait du marché ordonnée en septembre 2014. C’est une boîte qu’une maman avait conservée dans son frigo après l’avoir achetée », précise Me Ludot.

Que montre l'analyse de l'échantillon ?

Le rapport détaillé transmis le 10 mars au conseil des parties civiles – que nous avons pu consulter – est sans appel : l’échantillon contient des particules de métaux lourds en quantités « considérables ».

Parmi ces résidus, certains sont mentionnés par le fabricant du Méningitec®, l’Américain Nuron Biotech. Exemples : le chlorure de sodium et le phosphate d’aluminium. Beaucoup d’autres, en revanche, « ne sont pas déclarés » et n’ont, selon le laboratoire italien, « rien à faire avec la composition d’un vaccin ou d’une quelconque autre préparation injectable ». Nanodiagnostics conclut ainsi à la présence de poussières d’acier inoxydable, de plomb, de zinc, de titane, et même de zirconium, un composé « légèrement radioactif ».

Quelles conséquences sur la santé des enfants ?

« Ces résultats sont très alarmants, affirme le docteur Stefano Montanari, qui a réalisé l’analyse de l’échantillon à Modène. On parle ici de résidus de métaux injectés directement dans le corps d’un enfant, que l’organisme ne pourra jamais éliminer, qui vont se fixer pour toujours dans le noyau des cellules. Cela peut provoquer des inflammations chroniques susceptibles de dégénérer en cancers de tous types. Le cerveau peut être touché, comme le pancréas. Dans ce dernier cas, des diabètes sont possibles. Les risques sont multiples. C’est très inquiétant ». [4]

L'article publié par LCI apporte quelques renseignements complémentaires[5]:

A l’origine de cette analyse ?
L’avocat des parties civiles, Emmanuel Ludot, qui s’est rapproché du laboratoire italien Nanodiagnostics et du professeur Stefano Montanari. Chercheur reconnu pour ses travaux sur les nanoparticules, il est lui-même cité dans la procédure pénale en cours en Italie… contre le même produit. "En France, je n’ai pas trouvé un laboratoire spécialisé en nanoparticules qui accepte de réaliser de telles analyses", justifie l'avocat. Et d’assumer le timing parfait de la publication de ce rapport, alors que le tribunal de Clermont-Ferrand, ce même jour, procédait à la nomination d’experts indépendants dans cette affaire. Le but : déterminer ou non le lien entre les symptômes observés et le vaccin Meningitec. "Je voulais mettre les experts au pied du mur", reconnaît Emmanuel Ludot, interrogé par metronews. "Maintenant, ils ne peuvent plus ignorer les résultats de cette analyse."

Remarque de Psiram: Maître Ludot s'est dépêché de présenter l'analyse émanant d'un expert notoirement anti-vaccins précédent ainsi la nommination par le tribunal de Clermont-Ferrand d'autres experts plus impartiaux. Il est, sans surprise, en lien avec l'UNACS dirigée par Jacques Bessin, qui propose même la traduction en français de l'analyse de Nanodiagnostics [6]

Références

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