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== Les microscopes du couple Montanari ==
 
== Les microscopes du couple Montanari ==
 
<ref>http://www.bortolanionlus.it/?p=345 Donazione microscopio: Agenzia delle Entrate e Tribunale sanciscono la legittimità (Donation de microscope: L'administration fiscale et le tribunal reconnaissent la légitimité). Publié par l'Associazione Carlo Bortolani Onlus, 10 aprile 2014.<br>Ces dernières années, Onlus a malheureusement dû consacrer beaucoup de temps, d'énergie et d'argent pour se défendre légalement dans l'affaire activée par M. et Mme Antonietta Gatti et Stefano Montanari qui se sont tournés vers un juge pour voir reconnus les demandes suivantes:<br>1) la nullité du don du microscope à l'Université d'Urbino<br>2) une indemnité de 100.000 euros à chacun des deux pour les dommages subis, à leur avis, [du fait] de l'organisme sans but lucratif Onlus<br><br>Le juge de la Cour de Reggio Emilia, en la personne de Dott. Matteo Marini, par un arrêt émis le 4 Avril 2014, n'a reconnu aucune des deux demandes.<br>En conséquence, la donation du microscope par l'Association Bortolani Carlo Onlus est légitime à tous égards, aussi pour la loi italienne. Ainsi en a été jugé définitivement par un tribunal.<br><br>Déjà précédemment, la plainte avait été déposée à l'administration fiscale, toujours pour vérifier le choix correct de donner le microscope à l'Université d'Urbino. Dans la plainte avait été demandé à l'administration fiscale de bien vérifier '''cinq années de fonctionnement''' de l'Association Bortolani Carlo Onlus, de la collecte de fonds pour l'achat du microscope, qui avait commencé en Mars 2006, à toutes les cinq années suivantes, y compris donc la gestion économique, la déclaration des états financiers, la transparence dans la gestion économique, toutes les décisions concernant le micoscope Grillo, jusqu'à la donation de l'instrument Université d'Urbino.<br><br>Deux fonctionnaires de l'administration fiscale de l'Emilie Romagne ont "épluché" en détail ces cinq années d'activités de Onlus (contrôle qu'il dura 30 jours), et à la fin ils ont rédigé un long procès-verbal de 60 pages dans lequel a été établi la gestion correcte des activités de Onlus à tous les égards y compris la donation du microscope à l'Université d'Urbino.<br><br>Par conséquent, considérant que se sont révélées vaines les tentatives de délégitimer et discréditer l'Associazione Carlo Bortolani Onlus, '''tant l'Administration fiscale que le Tribunal''' ont expressément '''confirmé la légalité de la donation du microscope Grillo par notre Association à l'Université d'Urbino''', avertissement à quiconque rapporte des affirmations et/ou des informations contraires à ce qui est également établi par les autorités compétentes sur les choix légitimes et l'activité de l'Association Bortolani Carlo Onlus.<br>Avertissement également à quiconque d'être complice de tous éventuels mensonges et diffamations, les hébergeant sur leurs sites internet ou les divulguant sous une forme quelconque.  
 
<ref>http://www.bortolanionlus.it/?p=345 Donazione microscopio: Agenzia delle Entrate e Tribunale sanciscono la legittimità (Donation de microscope: L'administration fiscale et le tribunal reconnaissent la légitimité). Publié par l'Associazione Carlo Bortolani Onlus, 10 aprile 2014.<br>Ces dernières années, Onlus a malheureusement dû consacrer beaucoup de temps, d'énergie et d'argent pour se défendre légalement dans l'affaire activée par M. et Mme Antonietta Gatti et Stefano Montanari qui se sont tournés vers un juge pour voir reconnus les demandes suivantes:<br>1) la nullité du don du microscope à l'Université d'Urbino<br>2) une indemnité de 100.000 euros à chacun des deux pour les dommages subis, à leur avis, [du fait] de l'organisme sans but lucratif Onlus<br><br>Le juge de la Cour de Reggio Emilia, en la personne de Dott. Matteo Marini, par un arrêt émis le 4 Avril 2014, n'a reconnu aucune des deux demandes.<br>En conséquence, la donation du microscope par l'Association Bortolani Carlo Onlus est légitime à tous égards, aussi pour la loi italienne. Ainsi en a été jugé définitivement par un tribunal.<br><br>Déjà précédemment, la plainte avait été déposée à l'administration fiscale, toujours pour vérifier le choix correct de donner le microscope à l'Université d'Urbino. Dans la plainte avait été demandé à l'administration fiscale de bien vérifier '''cinq années de fonctionnement''' de l'Association Bortolani Carlo Onlus, de la collecte de fonds pour l'achat du microscope, qui avait commencé en Mars 2006, à toutes les cinq années suivantes, y compris donc la gestion économique, la déclaration des états financiers, la transparence dans la gestion économique, toutes les décisions concernant le micoscope Grillo, jusqu'à la donation de l'instrument Université d'Urbino.<br><br>Deux fonctionnaires de l'administration fiscale de l'Emilie Romagne ont "épluché" en détail ces cinq années d'activités de Onlus (contrôle qu'il dura 30 jours), et à la fin ils ont rédigé un long procès-verbal de 60 pages dans lequel a été établi la gestion correcte des activités de Onlus à tous les égards y compris la donation du microscope à l'Université d'Urbino.<br><br>Par conséquent, considérant que se sont révélées vaines les tentatives de délégitimer et discréditer l'Associazione Carlo Bortolani Onlus, '''tant l'Administration fiscale que le Tribunal''' ont expressément '''confirmé la légalité de la donation du microscope Grillo par notre Association à l'Université d'Urbino''', avertissement à quiconque rapporte des affirmations et/ou des informations contraires à ce qui est également établi par les autorités compétentes sur les choix légitimes et l'activité de l'Association Bortolani Carlo Onlus.<br>Avertissement également à quiconque d'être complice de tous éventuels mensonges et diffamations, les hébergeant sur leurs sites internet ou les divulguant sous une forme quelconque.  
<br>En cas contraire, la Onlus se verra forcée de se protéger dans les instances compétentes.  
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<br>En cas contraire, la Onlus se verra forcée de se protéger dans les instances compétentes.</ref>
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<ref>http://files.meetup.com/229945/testimonianza%20sulla%20Nanodiagnostics.pdf</ref><ref>http://www.bortolanionlus.it/?p=229</ref>
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<ref>http://www.senato.it/japp/bgt/showdoc/showText?tipodoc=Sindisp&leg=17&id=979415 Publié 21 Juin 2016 2016</ref>
  
 
== Liens externes ==
 
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Version du 18 mars 2017 à 18:47

Source vidéo youtube "VACCINI DANNOSI ! - PROF. STEFANO MONTANARI (MEDICO)" [Les vaccins nocifs! - Prof Stefano Montanari (médecin)] mise en ligne le 21 nov. 2016 [1]
Antonietta Gatti le 19 04 2013 Source[2]

Stefano Montanari, né le 18 juin 1970 à Bologne, résidant à Modène, pharmacien, anti-vaccinaliste, depuis mars 2004 directeur scientifique du laboratoire privé Nanodiagnostics de Modène présidé par son épouse le Dr. Antonietta Gatti découvreuse de la nanopathologie.

Lui et son épouse font partie des prétendus experts scientifiques présents à la projection du documentaire Vaxxed d'Andrew Wakefield le 9 février 2017 à Bruxelles en la présence de celui-ci, un évènement organisée par Michèle Rivasi avec la collaboration de personnes et d'organisations opposées à la vaccination.

Montanari, le vaccin Meningitec® et l'ANSM

Contexte

Le 24 septembre 2014, tous les lots commercialisés du vaccin Méningitec, ont été retirés du marché, à titre de précaution, en raison d’un défaut qualité rencontré lors de la fabrication de ce médicament (mise en évidence de particules métalliques oxydées au niveau du piston dans un nombre limité de seringues). Un rappel similaire a été organisé à l’échelle européenne. Au regard des données toxicologiques, des données de pharmacovigilance et de la fréquence très faible d’apparition de ce défaut, l’ANSM n’avait pas, dès le retrait, identifié de risque pour la santé des enfants vaccinés.

Plus récemment, l’ANSM a été alertée, notamment dans le cadre d’une plainte, de l’existence de signes généraux chez des enfants vaccinés par Méningitec.

L’ANSM a réuni un groupe d’experts toxicologues dans le cadre d’un Comité Scientifique Spécialisé Temporaire (CSST) afin d’analyser les données disponibles sur le vaccin. Ces experts indépendants ont conclu qu’il était peu probable que les particules identifiées dans le bouchon et la seringue engendrent une toxicité aiguë générale chez les personnes vaccinées et que seule une réaction locale pourrait être envisagée (rougeurs ou gonflement au site d’injection notamment).

Par ailleurs, deux analyses ont été menées par les laboratoires du Pr Alvarez (Hôpital Raymond Poincaré – Garches) et du Dr Montanari (Laboratoires Nanodiagnostics – Modene) sur des échantillons du vaccin Méningitec. Ces analyses ont été portées à la connaissance de l’ANSM. Du fait de leurs conclusions contradictoires, l’ANSM a procédé à des analyses complémentaires sur le vaccin Méningitec, incluant une recherche élargie de traces métalliques, afin d’apporter des données qualitatives et quantitatives.[3].

La plainte

Une analyse réalisée sur un échantillon de vaccin contre la méningite, le Meningitec, révèle la présence de nanoparticules de "plomb, zinc et titane". Des résultats présentés comme très inquiétants par l'avocat de 600 familles engagées dans une bataille judiciaire contre le distributeur français du produit.

"Cette histoire pourrait devenir l'un des scandales sanitaires de l'année." C'est par ces mots que Me Ludot, évoque le procès contre le distributeur français du Meningitec, un vaccin contre la méningite. L'expertise, rendue publique mardi par La Montagne, révèle la présence dans un échantillon de "débris de plomb, de zinc, de titane", rapportait mardi le journal. "Une vraie soupe de métaux lourds", explique-t-il à L'Express.

Depuis plusieurs mois, 600 familles se battent pour faire reconnaître un lien de cause à effet entre les symptômes de leurs enfants -fortes fièvres inexpliquées, éruptions cutanées, troubles du sommeil et du comportement- et leur vaccination avec un lot défectueux de ce vaccin.

L'analyse n'a pas été effectuée sur le lot incriminé

La nouvelle expertise conclut à la présence de particules de métaux lourds en quantités "considérables". L'échantillon, analysé par Nanodiagnostics, un laboratoire italien qui se présente comme "spécialiste" des nanomatériaux, a été fourni par l'avocat lui-même. "C'est un vaccin que j'ai acheté à la pharmacie, explique Me Ludot. Il n'était pas identifié comme défectueux et n'était donc pas visé par la procédure de retrait du marché ordonnée en septembre 2014." Cela rendrait, selon son analyse, les derniers résultats d'autant plus inquiétants, les particules repérées pouvant se trouver aussi dans des produits toujours commercialisés. [...][4]

L'expertise de Montanari

Un laboratoire italien spécialisé dans les nanotechnologies vient d’analyser un lot a priori « sain » du Méningitec®, ce vaccin décrié par des centaines de familles en France. Ses résultats sont alarmants.

« Une bombe ». À en croire Me Emmanuel Ludot, l’avocat de centaines de familles inquiètes des effets du Méningitec® sur leurs enfants, les conclusions des spécialistes italiens sont « explosives ». « Ce que dit ce rapport d’expertise est édifiant. Nous avons désormais la preuve que ce vaccin contient une foultitude de particules toutes plus dangereuses les unes que les autres. Il est urgent d’ouvrir les yeux », martèle-t-il.

La société Nanodiagnostics, basée à Modène (Italie), a passé au crible du microscope électronique le contenu d’une seringue envoyée par l’avocat français.

« Il s’agit d’un lot qui n’était pas identifié comme défectueux, et qui n’était donc pas visé par la procédure de retrait du marché ordonnée en septembre 2014. C’est une boîte qu’une maman avait conservée dans son frigo après l’avoir achetée », précise Me Ludot.

Que montre l'analyse de l'échantillon ?

Le rapport détaillé transmis le 10 mars au conseil des parties civiles – que nous avons pu consulter – est sans appel : l’échantillon contient des particules de métaux lourds en quantités « considérables ».

Parmi ces résidus, certains sont mentionnés par le fabricant du Méningitec®, l’Américain Nuron Biotech. Exemples : le chlorure de sodium et le phosphate d’aluminium. Beaucoup d’autres, en revanche, « ne sont pas déclarés » et n’ont, selon le laboratoire italien, « rien à faire avec la composition d’un vaccin ou d’une quelconque autre préparation injectable ». Nanodiagnostics conclut ainsi à la présence de poussières d’acier inoxydable, de plomb, de zinc, de titane, et même de zirconium, un composé « légèrement radioactif ».

Quelles conséquences sur la santé des enfants ?

« Ces résultats sont très alarmants, affirme le docteur Stefano Montanari, qui a réalisé l’analyse de l’échantillon à Modène. On parle ici de résidus de métaux injectés directement dans le corps d’un enfant, que l’organisme ne pourra jamais éliminer, qui vont se fixer pour toujours dans le noyau des cellules. Cela peut provoquer des inflammations chroniques susceptibles de dégénérer en cancers de tous types. Le cerveau peut être touché, comme le pancréas. Dans ce dernier cas, des diabètes sont possibles. Les risques sont multiples. C’est très inquiétant ». [5]

L'article publié par LCI apporte quelques renseignements complémentaires[6]:

A l’origine de cette analyse ?
L’avocat des parties civiles, Emmanuel Ludot, qui s’est rapproché du laboratoire italien Nanodiagnostics et du professeur Stefano Montanari. Chercheur reconnu pour ses travaux sur les nanoparticules, il est lui-même cité dans la procédure pénale en cours en Italie… contre le même produit. "En France, je n’ai pas trouvé un laboratoire spécialisé en nanoparticules qui accepte de réaliser de telles analyses", justifie l'avocat. Et d’assumer le timing parfait de la publication de ce rapport, alors que le tribunal de Clermont-Ferrand, ce même jour, procédait à la nomination d’experts indépendants dans cette affaire. Le but : déterminer ou non le lien entre les symptômes observés et le vaccin Meningitec. "Je voulais mettre les experts au pied du mur", reconnaît Emmanuel Ludot, interrogé par metronews. "Maintenant, ils ne peuvent plus ignorer les résultats de cette analyse."

Remarque de Psiram: Maître Ludot s'est dépêché de présenter l'analyse émanant d'un expert notoirement anti-vaccins précédent ainsi la nommination par le tribunal de Clermont-Ferrand d'autres experts plus impartiaux. Il est, sans surprise, en lien avec l'UNACS dirigée par Jacques Bessin, qui propose même la traduction en français de l'analyse du Meningitec par Nanodiagnostics [7]

Le rapport de Montanari sur le vaccin Méningitec, suite et conclusion de l'ANSM

Etant donné les plaintes (et le procès en cours à Clermont-Ferrand), il y avait donc eu deux analyses sur des échantillons du vaccin Méningitec menées, l'une par les laboratoires du Pr Alvarez (Hôpital Raymond Poincaré – Garches), et l'autre par le Dr Montanari (Laboratoires Nanodiagnostics – Modene), lesquelles ont été portées à la connaissance de l’ANSM. Du fait de leurs conclusions contradictoires, l’ANSM a procédé à des analyses complémentaires sur le vaccin Méningitec, incluant une recherche élargie de traces métalliques, afin d’apporter des données qualitatives et quantitatives.

Les analyses complémentaires réalisées par l’ANSM

Les analyses conduites par les laboratoires de contrôle de l’ANSM permettent de disposer d’une nouvelle expertise technique et scientifique. Les résultats de ces analyses ont par ailleurs été soumis à l’expertise des membres du CSST.

L’ANSM a réalisé des analyses de seringues de Méningitec provenant de trois lots différents ainsi que, à titre comparatif, l’analyse de cinq autres vaccins, d’un médicament injectable non vaccinal et de sérum physiologique injectable. [donc avec plusieurs groupes de contrôle pour comparaison]

Les analyses des échantillons ont été réalisées par les deux techniques suivantes :

- microscopie électronique à balayage (analyse qualitative) [c'est la technique utilisée par Stefane Montanari] - spectrométrie de masse couplée à un plasma inductif (ICP-MS) (analyse quantitative).

Les résultats obtenus, par ces deux techniques sensibles et complémentaires, montrent la présence de métaux à l’état de traces dans tous les médicaments injectables analysés, y compris le sérum physiologique. Ainsi, il n'apparait pas de spécificité du vaccin Méningitec par rapport aux autres produits testés ni d'hétérogénéité notable entre les différents échantillons de ce même vaccin.

La présence de traces métalliques dans des produits de santé ne représente pas en soi un défaut qualité ni un risque pour la santé dans la mesure où les concentrations sont inférieures aux seuils de sécurité établis par la communauté scientifique au plan international pour les médicaments.

Conclusions

Le CSST, réuni à nouveau le 13 mai 2016, a étudié les résultats des analyses conduites sur le vaccin Méningitec par l’ANSM, le Pr Alvarez et le Dr Montanari. Les données présentées dans le rapport du Dr Montanari ont été considérées comme difficilement interprétables en raison de problèmes méthodologiques.

Des métaux ont été retrouvés à l’état de traces dans tous les médicaments analysés, y compris le sérum physiologique. Les membres du CSST ont considéré que la présence de ces traces, qui ne peuvent pas être quantifiées par des techniques pourtant sensibles, est le reflet de la réalité environnementale et ne doit pas être considérée comme un risque sanitaire.

Sur la base des analyses réalisées par le Professeur Alvarez et par l’ANSM, les experts confirment l’absence d’éléments pouvant être à l’origine d’une toxicité de Méningitec.[3]

Remarque de Psiram: En clair, le rapport de Montanari ne présente aucun intérêt en raison de problèmes méthodologiques, n'est pas confirmé par les résultats de l'analyse complémentaire de l'ANSM, lesquels sont en accord avec ceux du Prof. Alvarez.

Analyse sur le blog Respectful Insolence d'une publication de Montanari

When antivaccinationists try to pull out the "toxins" gambit, they're trying to make you think vaccines are made this way.
(Quand les antivaccinalistes essaient de sortir leur tactique "toxines", ils essaient de vous faire croire que les vaccins sont faits de cette manière) Source [8]

Article "J'aime ça, quand une étude pour montrer combien les vaccins sont sales a l'effet inverse que prévu" publié le 2 février 2017 par Orac [8] (pseudo de David Gorski[9]):

J'ai souvent écris au sujet de ce que j'aime qualifier de "tactique toxines" en ce qui concerne les vaccins. Fondamentalement, dans le noyau dur (et même le noyau mou) de la foule des anti-vaccins, on craint que les vaccins contiennent toutes sortes de “toxines” comme l'aluminium, le formaldéhyde, le mercure et divers produits chimiques qui sont assez dangereuses séparément, mais, qui, lorsqu'elles sont combinées, “empoisonnent” de jeunes bébés, avec pour résultat qu'ils deviennent autistes, contractent des maladies d'asthme et auto-immunes, ou même qu'ils meurent du syndrome de la mort subite du nourrisson. Bien sûr, beaucoup de produits chimiques qui semblent effrayants sur lesquels les anti-vaccination attirent l'attention sont en fait dans les vaccins, mais, comme Paracelsus l'a dit, c'est la dose qui fait le poison, et la quantité dans les vaccins est suffisamment faible pour ne pas constituer une menace pour la santé. En outre, le formaldéhyde est un produit du métabolisme normal présent dans le sang des enfants à un niveau beaucoup plus élevé que ce que contient n'importe quel vaccin.

Si apeurés de la contamination des précieux fluides corporels de leurs bébés que soient les antivaccinationists (et, soyons réalistes, c'est vraiment de cela qu'il s'agit dans de nombreux cas), qu'il ne suffit pas de diaboliser les vaccins sur la base des ingrédients inoffensifs qu'ils contiennent. Ils doivent aller au-delà et diaboliser les vaccins sur la base de ce qu'ils ne contiennent même pas. À l'heure actuelle, cette désinformation prend la forme de ce qui semble à première vue être un véritable article scientifique. C'est ce qui arrive à l'heure actuelle avec un papier [étude] d'Antonietta Gatti et de Stefano Montanari dans l'International Journal of Vaccines and Vaccination intitulé New Quality-Control Investigations on Vaccines: Micro- and Nanocontamination [Nouvelles Enquêtes de Contrôle de qualité sur des Vaccins: Micro - et Nanocontamination]. C'est un papier que j'ai trouvé par le biais d'un article circulant dans les cercles anti-vaccins du Children’s Medical Safety Research Institute (CMSRI), un groupe constitué principalement d'anti-vaccins indécrottables, dans un article intitulé Dirty Vaccines: New Study Reveals Prevalence of Contaminants [10]. Notez le titre «les vaccins sales». C'est beaucoup plus une affaire de croyance dans une grande partie de la communauté anti-vaccins, à savoir, que les vaccins sont «sales», d'où les divagations sur l'ADN, les cellules de singe, le formaldéhyde, et le reste dans les vaccins. L'article augmente le niveau du discours alarmiste jusqu'au [niveau] 11 dès le début:

Chaque Vaccin Humain Testé A été Contaminé par des Niveaux Dangereux de Métaux et Débris Liés au Cancer et à la Maladie Autoimmune, Rapporte la Nouvelle Étude
Les chercheurs examinant 44 échantillons de 30 vaccins différents ont trouvé des polluants dangereux, y compris des globules rouges dans un vaccin et des substances métalliques toxiques dans chaque échantillon testé - sauf dans un vaccin animal.
En utilisant des nouvelles technologies extrêmement sensibles non utilisées dans la fabrication de vaccin, les scientifiques italiens ont rapporté qu'ils ont été "atterrés" par leurs découvertes qui comprenaient des particules isolées et des agrégats de débris organiques incluant des globules rouges d'origine humaine ou éventuellement animale et des métaux incluant le plomb, le tungstène, l'or et le chrome qui ont été liés avec la maladie autoimmune et la leucémie.

Wow. Cela semble vraiment, vraiment effrayant, n'est-ce pas? Les auteurs, après tout, ont utilisé un microscopie électronique, spécifiquement un Field Emission Gun Environmental Electron Scanning Microscope équipé d'une X-ray microprobe of an Energy Dispersive Spectroscope [une microsonde à rayons X d'un spectroscope à dispersion d'énergie] pour détecter la présence éventuelle de contaminants particulaires inorganiques et identifier leur composition chimique, pour examiner les vaccins et ont trouvé toutes sortes de choses semblant effrayantes! Ma première réaction a été: niveaux dangereux. Vous continuez à utiliser ce terme. Je ne pense pas qu'il signifie ce que vous pensez qu'il signifie. Ma deuxième réaction a été : Atterré ? Seulement si vous n'avez aucune idée de ce que vous faites et de quoi vous parlez. Vous verrez pourquoi dans un moment, quand je jette un coup d'oeil au papier vous verrez quelque chose qui ressemble à un papier scientifique parfaitement normal. Toutefois, si vous regardez l'éditeur qui le publie, MedCrave, il y a des signes d'avertissement [l'expression anglaise consacrée est: des drapeaux rouges]:

MedCrave est un site web en Open Access Publishing [de publication en accès libre] qui contient de nombreuses informations de recherche scientifique sur des sujets catégorisés. MedCrave est une énorme bibliothèque d'édition en ligne, où tout le monde peut voir, partager et télécharger des documents de recherche. Les sujets couverts ici sont vastes, et chaque papier ici est approuvé par l'éditeur et fait l'objet d'un examen par des pairs. Contrairement à d'autres groupes d'édition en ligne, MedCrave est l'endroit idéal pour le développement de vos normes éducatives et faire que vous connaissiez bien les dernières recherches et développements dans tous les domaines. Les auteurs des papiers de recherche contribuent beaucoup faire de nous l'un des meilleurs groupes de publication en ligne et ils renforcent aussi leur prestige dans MedCrave et les lecteurs bénéficient de papiers réputés. Les papiers de recherche de MedCrave ont également une visibilité accrue partout dans le monde. Il n'y a pas de frais pour l'utilisation viable de MedCrave, en aucune façon.

Voilà ce que MedCrave veut dire par examen par les pairs [11]. Regardez son schéma [12], et vous verrez qu'il semble bien qu'il soit presque impossible que votre papier soit rejeté, point à la ligne. En fait, je ai ri au [vu du] schéma, n'ayant jamais vu quoi que ce soit comme ça dans un journal scientifique légitime. Sans surprise, MedCrave figure sur la liste de Beall des revues prédatrices, en gros une liste de revues en libre accès [où il faut] "payer pour publier" qui facturent des sommes importantes aux auteurs pour publier leur travail mais dont le contrôle éditorial et l'examen par les pairs sont - dirons-nous? - manquants.

Mais qu'en est-il du papier lui-même? Fondamentalement, c'est beaucoup de propos alarmistes enracinés soit dans une ignorance biologique soit dans une tromperie intentionnelle (faites votre choix - il n'y a pas de troisième option - bien que je concède que cela pourrait être une combinaison des deux). Je vais vous montrer ce que je veux dire. Les auteurs montrent cette photomicrographie de cristaux d'une solution saline et de phosphate d'aluminium et correspondant au spectre par rayons X à dispersion d'énergie (spectre EDS).

Cristaux d'aluminium, choisis pour inspirer un effroi maximal
Source [8]

Ils écrivent ceci au sujet de la photo:

La figure 1a montre une couche de cristaux de chlorure de sodium (NaCl) incorporant des sels de phosphate d'aluminium (AlPO4) dans une goutte de Gardasil (vaccin contre le VPH de Merck) comme le spectre EDS le montre (figure 1b). La solution saline est la base liquide de toute préparation de vaccin et les sels d'aluminium ou d'hydroxyde d'aluminium [Al(OH)3] sont les adjuvants qui sont habituellement ajoutés.
En regardant la zone en dehors de ces précipités, mais l'intérieur de la goutte de liquide, nous avons identifié d'autres choses: des particules simples, des amas de particules et des agrégats (composites organiques-inorganiques) qui sont dus à une interaction de la matière particulaire inorganique avec la partie organique du vaccin.

Hou la la! Cela semble effrayant, n'est-ce pas? Fondamentalement, cependant, les auteurs examinent un grand cristal de phosphate d'aluminium, vu la façon dont les échantillons sont préparés pour la microscopie électronique :

Une goutte d'environ 20 microlitres du vaccin de la seringue est déposée sur un filtre de cellulose de 25 mm de diamètre (Millipore, USA), à l'intérieur d'une hotte à flux laminaire. Le filtre est alors déposé sur un réceptacle d'aluminium couvert d'un disque de carbone adhésif. L'échantillon est mis immédiatement dans une boîte propre afin d'éviter toute contamination et la boîte est ré-ouverte seulement pour insérer l'échantillon à l'intérieur de la chambre FEG-ESEM. Nous avons choisi ce type particulier de microscope car il permet d'analyser des échantillons aqueux et huileux dans un vide faible (de 10 à 130 Pa) avec une sensibilité élevée.
Quand l'eau et la solution saline que le vaccin contient sont évaporées, les composants biologiques/physiques apparaissent sur le filtre et il est alors possible de les observer. Ce type de microscope [...]

Je ne suis pas un expert en microscopie électronique (EM), mais je sais que les échantillons pour l'EM doivent généralement être examinés sous vide. Voilà pourquoi, dans le cas d'échantillons biologiques, vous ne pouvez pas regarder des cellules vivantes. Si vous prenez un échantillon de liquide et le mettez sous vide, même faible, il s'évapore. Qu'est-ce qui reste? Des cristaux et des précipités. Aussi, comme vous pouvez l'imaginer, l'EM est très, très sensible. Donc, il va détecter des quantités incroyablement petites de choses biologiquement non-pertinentes. Les anti-vaccinalistes sont obsédés par la «pureté»; donc même ces petites quantités de "contaminants" les alarmeront et le CMSRI le sait. Que les auteurs de l'article le sachent eux-mêmes ou non, je ne sais pas, et je m'en moque, mais je me soucie vraiment que leur article soit utilisé pour effrayer les parents.

Ce qui suit, ensuite, est une série de microphotographies de toutes sortes de particules qu'ils ont trouvé après évaporation de 44 vaccins de quatre pays différents, comme indiqué dans le tableau 1 du document. Si vous regardez les autres tableaux, vous verrez que les auteurs énumèrent toutes sortes de métaux et de composés semblant effrayants, allant du tungstène à l'aluminium, à l'or, au zirconium, tous effrayant de sondage à la silicone à l'or, au zirconium, tous, inquiétants, "intégrés dans le substrat biologique" (c.-à- dire, des protéines précipitées, qui sont ce que vous vous attendriez à trouver si vous aviez [fait] évaporer un vaccin, ainsi que les minéraux de la solution saline). Le tableau clé dans le papier, toutefois, pour un chimiste (ma formation principale de premier cycle était la chimie avant que j'entre à l'école de médecine, et j'ai suivi un nombre considérable de cours de biochimie et de cours liés à la biochimie au cours de ma formation, à la fois de premier cycle et des cycles supérieurs) est le tableau 3. Regardez le. Plus important encore, regardez le nombre de précipités trouvés par échantillon. Cela va de deux à 1.821.

O.M.G. [Oh My God c.-à-d. Oh Mon Dieu] ! 1.821 particules ! Bon sang ! C'est horrible ! Les anti-vaccinations ont raison, les vaccins sont irrémédiablement contaminés !

Non. Ils. Ne. Le. Sont. Pas.

Regardez cela de cette façon: Voici ce qui a été trouvé dans 20 μl (ce sont des microlitres) de liquide. C'est 0,00002 litre. Cela signifie que, dans un litre théorique du vaccin, le maximum que l'on pourrait trouver est 91.050.000 (9.105 x 107) particules ! Bon sang ! C'est beaucoup. Nous devrions avoir peur, n'est-ce pas ? et bien non. Revenons à nos connaissances en homéopathie et regardons le nombre d'Avogadro. Une mole de particules = 6.023 x 1023. Donc divisez 91.050.000 par le nombre d'Avogadro, et vous aurez la molarité[13] d'une solution de 91.050.000 particules par litre, puisque une solution de 1 M [mole] contiendrait 6.023 x 1023 particules. Alors, quelle est la concentration:

1.512 x 10-16 M, c'est 0,15 femtomole (fM) (ou 150 altomolar), une concentration incroyablement basse. Et c'est le plus grand nombre que les chercheurs ont trouvée. En réalité, ce qu'ils ont réellement trouvé est que les vaccins sont incroyablement purs !

Oui, je sais que j'ai simplifié les calculs et que les particules ne sont pas des molécules [comme cela a été signalé dans les commentaires]. Je ne l'ai fait pour être parfaitement scientifiquement, chimiquement précis comme je le ferais si j'étais dans le laboratoire en train de faire une expérience. J'ai utilisé cet exemple juste pour illustrer comment un grand nombre comme 1.821 n'est pas si grand du tout. Alors, rappelez-vous que 1.821 était le plus grand nombre de particules trouvées dans un quelconque vaccin. La grande majorité d'entre eux contenait beaucoup moins de particules, parfois des nombres à un seul chiffre. De plus, je note que les auteurs du papier ne mentionnent nulle part dans leur papier la concentration des particules, une omission inadmissible et probablement intentionnelle qui m'a conduit à chercher un exercice pour évaluer et illustrer à quel point ces chiffres sont petits. Je me rends compte que c'est un exemple imparfait; voyons-en donc un autre, un que notre ami le Skeptical Raptor[14] utilise:

Là est la question la plus problématique avec les données. Les chiffres sont bien en dessous du niveau d'activité biologique, même si ces divers produits chimiques ont activité biologique (la plupart n'en ont pas). Par exemple, les auteurs ont constaté 1569 particules ou précipités dans une goutte de Cervarix (un vaccin anti-HPV). Cela parait horrible, pas vrai ? Sauf qu'une goutte de vaccin contient environ 1,39 x 10 ^ 21 molécules individuelles. Cette prétendue contamination d'environ 0,0000000000000000000719% de ces prétendus contaminants.
Dans cet échantillon de Cervarix, les chercheurs ont trouvé de l'hydroxyde d'aluminium, l'un de ces composés semblant effrayants. Mettons que chacune de ces 1569 particules soit de l'hydroxyde d'aluminium, cela voudrait dire environ 0.000000000001 ng d'hydroxyde d'aluminium dans une fiole de vaccin. C'est simplement biologiquement insignifiant. Même si de l'hydroxyde d'aluminium a été trouvé, le niveau est si bas que le corps humain ne le remarquerait pas. Vous respirez plus d'aluminium un jour normal que vous n'en trouverez jamais dans une fiole de vaccin.

Permettez-moi de le répéter pour le souligner. Les chercheurs pensent que ce qu'ils ont trouvé est que les vaccins sont contaminés par toutes sortes de métaux inorganiques. Ce qu'ils ont vraiment trouvé, c'est que la quantité de contamination inorganique est si faible qu'elle est biologiquement sans importance. En fait, ce qu'ils ont trouvé, c'est que les vaccins sont des produits incroyablement purs.

Et je ne me suis même pas lancé dans une très bonne question que notre ami a posée: Quels sont les contrôles? Qu'auriez-vous trouvé si vous aviez effectué les mêmes analyses sur l'eau du robinet, par exemple ? Cela pourrait très bien être la seringue utilisée pour prélever et déposer l'échantillon qui pourrait être la source de la "contamination." Diable, cela pourrait tout aussi bien être la matrice de cellulose sur laquelle les échantillons sont déposés pour l'analyse qui était responsable de la "contamination". Je connais ces filtres, car ils sont couramment utilisés en biologie moléculaire. Ils ne sont pas ultra-purs. Comment étaient-ils stockés? Souvent, les filtres peuvent récolter de la poussière de l'air. Quelle que soit la source des particules observées, sans contrôle, il n'y a aucun moyen de savoir si la source était les vaccins ou non. Il se pourrait que les vaccins sont encore plus purs que cette étude le montre!

Maintenant, sachant cela, allez lire la discussion et la conclusion de ce papier. Vous allez rire, et vous devriez rire. Les chercheurs ne méritent rien d'autre que de la moquerie pour cette idiotie, exemple:

Nous tombons sur des particules avec des compositions chimiques semblables à celles trouvées dans les vaccins que nous avons analysés quand nous étudions des cas de contamination environnementales causés par différentes sources de pollution. Dans la plupart des cas, les combinaisons détectées sont très bizarres car elles n'ont aucune utilité technique, ne peut être trouvées dans aucun manuel sur les matériaux et ressemblent au résultat d'une formation aléatoire se produisant, par exemple, lorsque des déchets sont brûlés. Dans tous les cas, quelle que soit leur origine, elles ne devraient être présentes dans aucun médicament injectable, et encore moins dans les vaccins, plus particulièrement ceux destinés aux nourrissons.
D'autres formes de contaminations, jusqu'à présent inconnues, ont été récemment observées et, en tous cas, les vaccins contiennent des composants qui pourraient être eux-mêmes la cause d'effets indésirables. C'est un fait bien connu en toxicologie que les contaminants exercent un effet synergique mutuel et, comme le nombre des contaminants augmente, les effets augmentent, de moins en moins prévisibles. D'autant plus lorsque certaines substances sont inconnues.

Oui, riez, parce que ce que Gatti et Montanari ont en fait démontré, c'est que le niveau de contamination inorganique dans les vaccins est minuscule, ce qui suggère que les procédés de fabrication utilisés pour les fabriquer sont très, très bons, si bien que les vaccins sont purs, vu qu'aucun des vaccins ne contenait de particules inorganiques à une concentration supérieure à 0,15 femtomolaire [0,15 x 10-15]. Mais mettez-vous aussi en colère en raison de la tromperie et pleurez parce qu'il y aura des parents dupés par ce papier ridicule puisque des groupes comme le CSMRI le répandent de tous côtés avec le terme terrifiant «contamination». Vu que le Comité Consultatif Scientifique du CMSRI comprend des "scientifiques" anti-vaccination comme Christopher Shaw, Yehuda Shoenfeld, Richard Deth, Stephanie Seneff, et Vicky Debold, ainsi que quelques autres que je ne connais pas [remarque de Psiram, en fait aussi partie le Dr. français Romain K. Gheradi], il n'est pas du tout surprenant que le CMSRI aime [ce papier]. Cela m'amuse aussi au plus haut point que le "Conseil scientifique" n'ait pas vu les problèmes évidents avec ce papier.

C'est parce que c'est seulement ici des propos alarmistes, pas de la science.

Les microscopes du couple Montanari

[15]

[16][17] [18]

Liens externes

Références

  1. https://www.youtube.com/watch?v=Azrv2FLXcss
  2. https://www.youtube.com/watch?v=7F935TFY-U8
  3. 3,0 et 3,1 http://ansm.sante.fr/S-informer/Points-d-information-Points-d-information/Meningitec-pas-de-risque-pour-les-personnes-vaccinees-Point-d-Information
  4. http://www.lexpress.fr/actualite/societe/sante/vaccin-contre-la-meningite-des-analyses-alarmantes-ou-seulement-alarmistes_1780098.html Vaccin contre la méningite: des analyses "alarmantes" ou seulement alarmistes? Par Anna Benjamin et Cécile Casciano, publié le 07/04/2016
  5. http://www.lamontagne.fr/auvergne/actualite/2016/04/05/lexpertise-qui-accuse-le-meningitec_11857138.html Publié le 05/04/2016
  6. http://www.lci.fr/societe/vaccin-meningitec-des-composants-dangereux-reperes-par-une-analyse-accablante-1507613.html
  7. http://www.unacs.org/post/2016/04/05/L-expertise-qui-accuse-le-MENINGITEC
  8. 8,0 8,1 et 8,2 http://scienceblogs.com/insolence/2017/02/02/antivaccinationists-try-to-show-vaccines-are-dirty-but-really-show-that-they-are-amazingly-free-from-contamination/ Publié le 2 février 2017 par Orac
  9. https://en.wikipedia.org/wiki/David_Gorski
  10. http://info.cmsri.org/the-driven-researcher-blog/dirty-vaccines-new-study-reveals-prevalence-of-contaminants L'étude/article d'Antonietta Gatti, Scientific Director of Nanodiagnostics, publiée sur le site du CMSRI
  11. http://medcraveonline.com/peer-review-system
  12. http://medcraveonline.com/pdf/publishing-process-flowchart.pdf
  13. https://fr.wikipedia.org/wiki/Concentration_molaire
  14. http://www.skepticalraptor.com/skepticalraptorblog.php/another-anti-vaccine-article-bad-journal-bad-data/ Another anti-vaccine article – bad journal, bad data. 2017/02/01 by The Original Skeptical Raptor
  15. http://www.bortolanionlus.it/?p=345 Donazione microscopio: Agenzia delle Entrate e Tribunale sanciscono la legittimità (Donation de microscope: L'administration fiscale et le tribunal reconnaissent la légitimité). Publié par l'Associazione Carlo Bortolani Onlus, 10 aprile 2014.
    Ces dernières années, Onlus a malheureusement dû consacrer beaucoup de temps, d'énergie et d'argent pour se défendre légalement dans l'affaire activée par M. et Mme Antonietta Gatti et Stefano Montanari qui se sont tournés vers un juge pour voir reconnus les demandes suivantes:
    1) la nullité du don du microscope à l'Université d'Urbino
    2) une indemnité de 100.000 euros à chacun des deux pour les dommages subis, à leur avis, [du fait] de l'organisme sans but lucratif Onlus

    Le juge de la Cour de Reggio Emilia, en la personne de Dott. Matteo Marini, par un arrêt émis le 4 Avril 2014, n'a reconnu aucune des deux demandes.
    En conséquence, la donation du microscope par l'Association Bortolani Carlo Onlus est légitime à tous égards, aussi pour la loi italienne. Ainsi en a été jugé définitivement par un tribunal.

    Déjà précédemment, la plainte avait été déposée à l'administration fiscale, toujours pour vérifier le choix correct de donner le microscope à l'Université d'Urbino. Dans la plainte avait été demandé à l'administration fiscale de bien vérifier cinq années de fonctionnement de l'Association Bortolani Carlo Onlus, de la collecte de fonds pour l'achat du microscope, qui avait commencé en Mars 2006, à toutes les cinq années suivantes, y compris donc la gestion économique, la déclaration des états financiers, la transparence dans la gestion économique, toutes les décisions concernant le micoscope Grillo, jusqu'à la donation de l'instrument Université d'Urbino.

    Deux fonctionnaires de l'administration fiscale de l'Emilie Romagne ont "épluché" en détail ces cinq années d'activités de Onlus (contrôle qu'il dura 30 jours), et à la fin ils ont rédigé un long procès-verbal de 60 pages dans lequel a été établi la gestion correcte des activités de Onlus à tous les égards y compris la donation du microscope à l'Université d'Urbino.

    Par conséquent, considérant que se sont révélées vaines les tentatives de délégitimer et discréditer l'Associazione Carlo Bortolani Onlus, tant l'Administration fiscale que le Tribunal ont expressément confirmé la légalité de la donation du microscope Grillo par notre Association à l'Université d'Urbino, avertissement à quiconque rapporte des affirmations et/ou des informations contraires à ce qui est également établi par les autorités compétentes sur les choix légitimes et l'activité de l'Association Bortolani Carlo Onlus.
    Avertissement également à quiconque d'être complice de tous éventuels mensonges et diffamations, les hébergeant sur leurs sites internet ou les divulguant sous une forme quelconque.
    En cas contraire, la Onlus se verra forcée de se protéger dans les instances compétentes.
  16. http://files.meetup.com/229945/testimonianza%20sulla%20Nanodiagnostics.pdf
  17. http://www.bortolanionlus.it/?p=229
  18. http://www.senato.it/japp/bgt/showdoc/showText?tipodoc=Sindisp&leg=17&id=979415 Publié 21 Juin 2016 2016
cet article est une ébauche