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Avant son utilisation par Hamer comme unique médecin et sans infirmiers diplômés, l'installation était était déjà exploitée comme clinique par l'Eglise évangélique. A lire : "Documentation Nouvelle Médecine Germanique" avec la transcription d'une interview de trois anciennes collaboratrices de Hamer, diffusée par la radio Wüste Welle, sur les conditions désastreuses de cette clinique, ainsi que le compte-rendu d'un témoin de l'époque.<ref>05/12/2008, 13h43<br>
 
Avant son utilisation par Hamer comme unique médecin et sans infirmiers diplômés, l'installation était était déjà exploitée comme clinique par l'Eglise évangélique. A lire : "Documentation Nouvelle Médecine Germanique" avec la transcription d'une interview de trois anciennes collaboratrices de Hamer, diffusée par la radio Wüste Welle, sur les conditions désastreuses de cette clinique, ainsi que le compte-rendu d'un témoin de l'époque.<ref>05/12/2008, 13h43<br>
 
Pauly<br>
 
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Je vis à 10 km de Katzenelnbogen. Et j'ai très  bien connu l'ancien hôpital depuis mon enfance, puisque ma mère y a travaillé plus de 15 ans, jusqu'à sa fermeture. Elle aussi avait reçu une offre d'emploi de Hamer pour travailler à Kazenelnbogen, qu'elle avait déclinée. Elle avait rapidement retrouvé un poste d'infirmière. Je lui ai fait entendre il y quelques mois le podcast des interviews des anciennes employées de Hamer à Katzenelnbogen : Silke Bauer freie-radios.net. Elle a aussitôt reconnu ses anciennes collègues et a juste dit : "Mon Dieu, qu'est-ce qu'elles ont dû vivre...". Elle avait aussi été contactée autrefois, lorsque Hamer était à Katzenelnbogen, par d'anciennes employées qui lui avaient raconté que quelque chose ne tournait pas rond dans cette clinique. Quand les fenêtres des chambres des patients étaient ouvertes, on pouvait entendre leurs pleurs et leurs gémissements... Cela devait être cruel... POURQUOI CET HOMME N'EST-IL PAS STOPPE ?... Je prie pour qu'il reçoive très vite la punition qu'il mérite.</ref>
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Je vis à 10 km de Katzenelnbogen. Et j'ai très  bien connu l'ancien hôpital depuis mon enfance, puisque ma mère y a travaillé plus de 15 ans, jusqu'à sa fermeture. Elle aussi avait reçu une offre d'emploi de Hamer pour travailler à Kazenelnbogen, qu'elle avait déclinée. Elle avait rapidement retrouvé un poste d'infirmière. Je lui ai fait entendre il y quelques mois le podcast des interviews des anciennes employées de Hamer à Katzenelnbogen : Silke Bauer freie-radios.net. Elle a aussitôt reconnu ses anciennes collègues et a juste dit : "Mon Dieu, qu'est-ce qu'elles ont dû vivre...". Elle avait aussi été contactée autrefois, lorsque [[Hamer]] était à Katzenelnbogen, par d'anciennes employées qui lui avaient raconté que quelque chose ne tournait pas rond dans cette clinique. Quand les fenêtres des chambres des patients étaient ouvertes, on pouvait entendre leurs pleurs et leurs gémissements... Cela devait être cruel... POURQUOI CET HOMME N'EST-IL PAS STOPPE ?... Je prie pour qu'il reçoive très vite la punition qu'il mérite.</ref>
Hamer a mis illégalement en service cette clinique pendant quelques mois, de l'été 1985 à décembre 1985, en la déclarant comme "pension" (ou chambres d'hôtes). A Katzenelnbogen étaient admis en séjour stationnaire des patients de divers pays, qui étaient traités selon les principes de la MNG. Au début, plusieurs malades furent transférés peu de temps avant leur décès dans des hôpitaux situés à proximité. Après quelque temps, les hôpitaux des environs protestèrent contre cette pratique. Il y eut alors beaucoup de décès à la clinique de Katzenelnbogen. D'après les déclarations d'anciennes employées, les cadavres étaient discrètement transportés hors de la clinique le soir ou la nuit, afin de ne pas angoisser les malades. Ici encore, il n'existe aucun cas de guérison suite à un cancer qui puisse être prouvée. Là non plus, les malades ne bénéficiaient d'aucune thérapie contre la douleur. Il est notamment question d'une patiente qui, la nuit, à cause de ses douleurs non traitées, se cognait rythmiquement la tête contre le mur de la chambre. Il n'y avait de prise en charge chirurgicale des tumeurs ulcérées (ouvertes). A plusieurs reprises, Hamer quitta la clinique pour plusieurs jours (notamment pour se rendre en France) sans même indiquer un numéro de téléphone pour le joindre, ni prévoir de médécin remplaçant. C'est pourquoi, en l'absence de Hamer et face aux douleurs insupportables d'une patiente, une secrétaire désemparée se résolut à faire appel à un médecin d'un hôpital voisin. Ce médecin a dénoncé Hamer et les conditions scandaleuses qui régnaient dans la clinique, ce qui conduisit à la fermeture de la clinique par les autorités. Cette cllinique manquait de tout, il n'y avait même pas de personnel infirmier diplômé. Pour compenser, les employées de bureau ou les proches des patients devaient intervenir. Des voisins ont même fait don de nourriture.
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Hamer a mis illégalement en service cette clinique pendant quelques mois, de l'été 1985 à décembre 1985, en la déclarant comme "pension" (ou chambres d'hôtes). A Katzenelnbogen étaient admis en séjour stationnaire des patients de divers pays, qui étaient traités selon les principes de la [[MNG]]. Au début, plusieurs malades furent transférés peu de temps avant leur décès dans des hôpitaux situés à proximité. Après quelque temps, les hôpitaux des environs protestèrent contre cette pratique. Il y eut alors beaucoup de décès à la clinique de Katzenelnbogen. D'après les déclarations d'anciennes employées, les cadavres étaient discrètement transportés hors de la clinique le soir ou la nuit, afin de ne pas angoisser les malades. Ici encore, il n'existe aucun cas de guérison suite à un cancer qui puisse être prouvée. Là non plus, les malades ne bénéficiaient d'aucune thérapie contre la douleur. Il est notamment question d'une patiente qui, la nuit, à cause de ses douleurs non traitées, se cognait rythmiquement la tête contre le mur de la chambre. Il n'y avait de prise en charge chirurgicale des tumeurs ulcérées (ouvertes). A plusieurs reprises, [[Hamer]] quitta la clinique pour plusieurs jours (notamment pour se rendre en France) sans même indiquer un numéro de téléphone pour le joindre, ni prévoir de médecin remplaçant. C'est pourquoi, en l'absence de [[Hamer]] et face aux douleurs insupportables d'une patiente, une secrétaire désemparée se résolut à faire appel à un médecin d'un hôpital voisin. Ce médecin a dénoncé [[Hamer]] et les conditions scandaleuses qui régnaient dans la clinique, ce qui conduisit à la fermeture de la clinique par les autorités. Cette clinique manquait de tout, il n'y avait même pas de personnel infirmier diplômé. Pour compenser, les employées de bureau ou les proches des patients devaient intervenir. Des voisins ont même fait don de nourriture.
    
== Burgau (Styrie, Autriche) ==
 
== Burgau (Styrie, Autriche) ==
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