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=== Soutien de l'association [[ALIS]] en 2001 ===
 
=== Soutien de l'association [[ALIS]] en 2001 ===
L'association [[critique de la vaccination|anti-vaccination]] [[ALIS]] avait pris sa défense dans son courrier N° 33 de 2001 reproduisant un article paru dans le journal Nouvelle République du Centre Ouest signé Marie-Paule Memy<ref name='ordre'>http://ddata.over-blog.com/xxxyyy/3/27/09/71/dec-2011/Un-pediatre-devant-l-Ordre-des-Medecins.pdf</ref>. On y lisait: "''Nous connaissons le Dr Philippe BRY et savons qu'il est la conscience professionnelle même. Que lui reprochent ses confrères de l'Ordre ? Tout simplement "'''de jeter la suspicion sur l'utilité des vaccinations'''". Le médecin est condamné une première fois à un mois de mise à pied, le 12 février 1999, par l'instance régionale et à trois mois par l'instance nationale, le 8 février 2001. "L'aggravation de la peine, fait rare, fait suite au recours du Conseil départemental qui estimait que "la dangerosité des opinions et du mode d'exercice du Dr Bry était insuffisamment sanctionnée en première instance."<br>'''Il n'y a pas eu de plainte de patients'''. Le Dr BRY a été dénoncé par un confrère pédiatre de Tours, très engagé dans la lutte contre les sectes, pour avoir prescrit un traitement isothérapique (à base de [[homéopathie|dilutions homéopathiques]] de vaccins) à un enfant qui présentait une grande fatigue à la suite de toute une série de vaccinations.<br>C'est là un comble: accuser quelqu'un de mettre la vie en danger, alors qu'il tente de soigner un patient dont la vie a été mise en danger par des vaccins. Les  accusateurs mesurent-ils le paradoxe? [...] L'Ordre des Médecins l'a donc accusé d'utiliser des procédés insuffisamment éprouvés faisant courir des risques injustifiés aux patients (Code de déontologie art. 39 et 40) ! [...]<br>Philippe BRY, pour sa part, analyse la mesure qui le frappe comme un procès en sorcellerie: "On m'a déjà enlevé mes cours auprès des sages-femmes, on m'a supprimé les gardes pédiatriques et mes interventions à l'hôpital Clocheville. J'ai été parmi les premiers à tiquer contre le vaccin de l'hépatite B. Il y a un tabou médical sur les vaccins, il ne faut pas entacher le dogme selon lequel le vaccin va sauver le monde. Je paie pour ma liberté de parole". [...]''"<br>Et courrier N° 33 d'ALIS/article du journal concluait: "''Tous ceux qui veulent manifester leur soutien au Dr Bry peuvent lui envoyer un petit d'encouragement par l'intermédiaire d'ALIS (Ecrire au siège à RIOM).''"
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L'association [[critique de la vaccination|anti-vaccination]] [[ALIS]] avait pris sa défense dans son courrier N° 33 de 2001 reproduisant un article paru dans le journal Nouvelle République du Centre Ouest signé Marie-Paule Memy<ref name='ordre'>http://ddata.over-blog.com/xxxyyy/3/27/09/71/dec-2011/Un-pediatre-devant-l-Ordre-des-Medecins.pdf</ref>. On y lisait: "''Nous connaissons le Dr Philippe BRY et savons qu'il est la conscience professionnelle même. Que lui reprochent ses confrères de l'Ordre ? Tout simplement "'''de jeter la suspicion sur l'utilité des vaccinations'''". Le médecin est condamné une première fois à un mois de mise à pied, le 12 février 1999, par l'instance régionale et à trois mois par l'instance nationale, le 8 février 2001. "L'aggravation de la peine, fait rare, fait suite au recours du Conseil départemental qui estimait que "la dangerosité des opinions et du mode d'exercice du Dr Bry était insuffisamment sanctionnée en première instance."<br>'''Il n'y a pas eu de plainte de patients'''. Le Dr BRY a été dénoncé par un confrère pédiatre de Tours, très engagé dans la lutte contre les sectes, pour avoir prescrit un traitement isothérapique (à base de [[homéopathie|dilutions homéopathiques]] de vaccins) à un enfant qui présentait une grande fatigue à la suite de toute une série de vaccinations.<br>C'est là un comble: accuser quelqu'un de mettre la vie en danger, alors qu'il tente de soigner un patient dont la vie a été mise en danger par des vaccins. Les  accusateurs mesurent-ils le paradoxe? [...] L'Ordre des Médecins l'a donc accusé d'utiliser des procédés insuffisamment éprouvés faisant courir des risques injustifiés aux patients (Code de déontologie art. 39 et 40) ! [...]<br>Philippe BRY, pour sa part, analyse la mesure qui le frappe comme un procès en sorcellerie: "On m'a déjà enlevé mes cours auprès des sages-femmes, on m'a supprimé les gardes pédiatriques et mes interventions à l'hôpital Clocheville. J'ai été parmi les premiers à tiquer contre le vaccin de l'hépatite B. Il y a un tabou médical sur les vaccins, il ne faut pas entacher le dogme selon lequel le vaccin va sauver le monde. Je paie pour ma liberté de parole". [...]''"<br>Et l'article du journal cité dans le courrier N° 33 d'ALIS concluait: "''Tous ceux qui veulent manifester leur soutien au Dr Bry peuvent lui envoyer un petit d'encouragement par l'intermédiaire d'ALIS (Ecrire au siège à RIOM).''"
    
=== Soutien de la [[LNPLV]] en 2001 ===
 
=== Soutien de la [[LNPLV]] en 2001 ===
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