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Article "Florence, enquête interne au sujet du chercheur «négationniste» qui guérit le SIDA avec du yaourt" Par Alessandro Delfanti, publié le 21 mars 2012 dans Il Fatto Quotidiano<ref>http://www.ilfattoquotidiano.it/2012/03/21/firenze-inchiesta-interna-ricercatore-negazionista-cura-laids-yogurt/198915/</ref> :<br>"''Dans la ligne de mire de l'université de Florence: l'activité académique du biologiste moléculaire Marco Ruggiero, connu internationalement comme faisant partie du petit groupe de scientifiques selon lequel le virus du vih n'est pas la cause du syndrome d'immunodéficience acquise. Une thèse qui est considérée comme très dangereuse par la plupart des experts dans le domaine.<br>Il y a quelques jours le Recteur Alberto Tesi a ouvert une enquête interne sur les activités académiques de l'un de ses professeurs, le biologiste moléculaire Marco Ruggiero, à la suite à une lettre reçue d'un groupe de patients et de militants. Ruggiero, en fait, est connu au niveau international comme faisant partie d’un petit groupe de chercheurs qui nient que le VIH soit la cause du SIDA, une thèse jugée non fondé et en opposition avec celle de la plupart des experts et de la communauté universitaire et médicale.<br>Ruggiero, selon la lettre envoyée par un groupe de discussion d'un forum vih<ref>http://hivforum.info/forum/viewtopic.php%3Ff%3D22%26t%3D923&usg=ALkJrhiJPcHAxC0p-zGjm782ds2o-8Bdsw#p12548</ref>, dans son activité à l'Université de Florence donne des cours de négationnisme aux étudiants aux étudiants dont il est le directeur de thèse. Il serait également arrivé à contacter des patients sur le web en leur proposant l'utilisation de yaourt supplémenté avec la Gc-Maf, une protéine avec des effets ""renforceurs du système immunitaire" et qui permettrait à l'organisme de lutter contre le virus, sans l'utilisation d'antirétroviraux: une hypothèse irrecevable pour ceux qui fait de la recherche pour les mêmes patients. Dans la lettre, il est exprimé "une préoccupation extrême pour la légèreté avec laquelle l'Université de Florence semble affronter les théories enseignées et les activités menées par le professeur Ruggiero sur un sujet vital pour nous: celle du vih qui cause le sida".<br>En réponse à la lettre, qui demande à l'Université de se dissocier des activités du biologiste, l’Université de Florence enquêtera sur "les comportements didactique et les responsabilités" de Ruggiero, comme l'indique un porte-parole interrogé par la revue scientifique Nature. Il y a quelques mois, Ruggiero avait signé avec le chef de file des dissidants, l'Américain Peter Duesberg, un article scientifique publié dans une revue de l'Université de Florence, l’Italian Journal of Anatomy and Embryology (Ijae). La revue est dirigé par un autre biologiste de l'Université, le professeur Paul Romagnoli. Dans cet article, ils remettet en question le rôle du vih dans l'épidémie de sida en Afrique et amenuisent le rôle des antirétroviraux utilisés pour le combattre.<br>La guerre déclarée aux antirétroviraux par les dissidents est dangereuse: en mettant en question leur efficacité on risque de convaincre les patients de ne pas les utiliser. Dans une interview dans la revue Galileo, Stefano Vella, de l’Institut Supérieur de la Santé et de la Commission nationale pour la lutte contre le SIDA, souligne que dans l'étude de Ruggiero "les avantages produits par ces médicaments en termes de survie et réduction impressionnante de mortalité ne sont pas pris en compte, avantages observés à travers aussi bien dans les essais cliniques contrôlés que dans les études observationnelles, ni que l'espérance de vie des patients sous traitement est comparable à celle des personnes non infectés. C’est justement cet effet extraordinaire de la thérapie qui démontre la relation de causalité le lien de causalité entre le virus et la maladie".<br>La commission d'enquête interne de l'Université évaluera les activités éducatives de Ruggiero et se prononcera le 15 avril prochain. Il est difficile de savoir si ses décisions pourraient avoir des répercussions sur la carrière académique de Ruggiero. Cependant, deux membres internationaux du Comité scientifique de la revue de l'Université de Florence ont déjà démissionné, et pour l'instant aucune répercussion sur celui qui la dirige, le professeur Romagnoli.''"
 
Article "Florence, enquête interne au sujet du chercheur «négationniste» qui guérit le SIDA avec du yaourt" Par Alessandro Delfanti, publié le 21 mars 2012 dans Il Fatto Quotidiano<ref>http://www.ilfattoquotidiano.it/2012/03/21/firenze-inchiesta-interna-ricercatore-negazionista-cura-laids-yogurt/198915/</ref> :<br>"''Dans la ligne de mire de l'université de Florence: l'activité académique du biologiste moléculaire Marco Ruggiero, connu internationalement comme faisant partie du petit groupe de scientifiques selon lequel le virus du vih n'est pas la cause du syndrome d'immunodéficience acquise. Une thèse qui est considérée comme très dangereuse par la plupart des experts dans le domaine.<br>Il y a quelques jours le Recteur Alberto Tesi a ouvert une enquête interne sur les activités académiques de l'un de ses professeurs, le biologiste moléculaire Marco Ruggiero, à la suite à une lettre reçue d'un groupe de patients et de militants. Ruggiero, en fait, est connu au niveau international comme faisant partie d’un petit groupe de chercheurs qui nient que le VIH soit la cause du SIDA, une thèse jugée non fondé et en opposition avec celle de la plupart des experts et de la communauté universitaire et médicale.<br>Ruggiero, selon la lettre envoyée par un groupe de discussion d'un forum vih<ref>http://hivforum.info/forum/viewtopic.php%3Ff%3D22%26t%3D923&usg=ALkJrhiJPcHAxC0p-zGjm782ds2o-8Bdsw#p12548</ref>, dans son activité à l'Université de Florence donne des cours de négationnisme aux étudiants aux étudiants dont il est le directeur de thèse. Il serait également arrivé à contacter des patients sur le web en leur proposant l'utilisation de yaourt supplémenté avec la Gc-Maf, une protéine avec des effets ""renforceurs du système immunitaire" et qui permettrait à l'organisme de lutter contre le virus, sans l'utilisation d'antirétroviraux: une hypothèse irrecevable pour ceux qui fait de la recherche pour les mêmes patients. Dans la lettre, il est exprimé "une préoccupation extrême pour la légèreté avec laquelle l'Université de Florence semble affronter les théories enseignées et les activités menées par le professeur Ruggiero sur un sujet vital pour nous: celle du vih qui cause le sida".<br>En réponse à la lettre, qui demande à l'Université de se dissocier des activités du biologiste, l’Université de Florence enquêtera sur "les comportements didactique et les responsabilités" de Ruggiero, comme l'indique un porte-parole interrogé par la revue scientifique Nature. Il y a quelques mois, Ruggiero avait signé avec le chef de file des dissidants, l'Américain Peter Duesberg, un article scientifique publié dans une revue de l'Université de Florence, l’Italian Journal of Anatomy and Embryology (Ijae). La revue est dirigé par un autre biologiste de l'Université, le professeur Paul Romagnoli. Dans cet article, ils remettet en question le rôle du vih dans l'épidémie de sida en Afrique et amenuisent le rôle des antirétroviraux utilisés pour le combattre.<br>La guerre déclarée aux antirétroviraux par les dissidents est dangereuse: en mettant en question leur efficacité on risque de convaincre les patients de ne pas les utiliser. Dans une interview dans la revue Galileo, Stefano Vella, de l’Institut Supérieur de la Santé et de la Commission nationale pour la lutte contre le SIDA, souligne que dans l'étude de Ruggiero "les avantages produits par ces médicaments en termes de survie et réduction impressionnante de mortalité ne sont pas pris en compte, avantages observés à travers aussi bien dans les essais cliniques contrôlés que dans les études observationnelles, ni que l'espérance de vie des patients sous traitement est comparable à celle des personnes non infectés. C’est justement cet effet extraordinaire de la thérapie qui démontre la relation de causalité le lien de causalité entre le virus et la maladie".<br>La commission d'enquête interne de l'Université évaluera les activités éducatives de Ruggiero et se prononcera le 15 avril prochain. Il est difficile de savoir si ses décisions pourraient avoir des répercussions sur la carrière académique de Ruggiero. Cependant, deux membres internationaux du Comité scientifique de la revue de l'Université de Florence ont déjà démissionné, et pour l'instant aucune répercussion sur celui qui la dirige, le professeur Romagnoli.''"
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Autre publication sur le sujet en anglais<ref>http://www.hivforum.info/forum/images/docs/Italian_HIVers_against_Ruggiero's_yoghurt-8_February_2012.pdf Article "Italian HIVers’ call against denialist professor Marco Ruggiero’s yoghurt", publié le 8 février 2012</ref>, en français<ref>http://seroposition.canalblog.com/archives/2012/03/23/23834347.html Article "Enquête interne sur le chercheur dissident Marco Ruggiero", publié le 23 mars2012</ref> et la discussion à propos de Ruggiero sur forum des séropositifs à l'origine de la lettre de protestationitaliens<ref>http://hivforum.info/forum/viewtopic.php?f=22&t=3289 L’INIZIO DELLA FINE DEL GcMAF: LA BRUTTA ESTATE DEI CONIUGI RUGGIERO (dates diverses allant de 2007 à 2011)</ref>
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Autre publication sur le sujet en anglais<ref>http://www.hivforum.info/forum/images/docs/Italian_HIVers_against_Ruggiero's_yoghurt-8_February_2012.pdf Article "Italian HIVers’ call against denialist professor Marco Ruggiero’s yoghurt", publié le 8 février 2012</ref>, en français<ref>http://seroposition.canalblog.com/archives/2012/03/23/23834347.html Article "Enquête interne sur le chercheur dissident Marco Ruggiero", publié le 23 mars2012</ref> et la discussion à propos de Ruggiero sur forum des séropositifs à l'origine de la lettre de protestationitaliens<ref>http://hivforum.info/forum/viewtopic.php?f=22&t=3289 L’INIZIO DELLA FINE DEL GcMAF: LA BRUTTA ESTATE DEI CONIUGI RUGGIERO (dates diverses allant de 2007 à 2011)</ref>.
</ref>.
      
Suite à diverses procédures, le prof. Ruggiero et sa femme la prof. Stefania Pacini, de l'université de Florence, ont d'abord été suspendus par l'Ordre des médecins, respectivement du 1er décembre 2014 au 31 mai 2015 et du 1er décembre au 31 décembre 2014. Tous les deux ont renoncé à s'opposer à la mesure et ont présenté des demandes de radiation de l'Ordre par "démissions volontaires".<ref>http://oggiscienza.it/2015/02/10/lo-yogurt-del-prof-ruggiero-cont-2/</ref>. Ruggiero a également démissionne de l'Université de Florence le 31 décembre 2014.
 
Suite à diverses procédures, le prof. Ruggiero et sa femme la prof. Stefania Pacini, de l'université de Florence, ont d'abord été suspendus par l'Ordre des médecins, respectivement du 1er décembre 2014 au 31 mai 2015 et du 1er décembre au 31 décembre 2014. Tous les deux ont renoncé à s'opposer à la mesure et ont présenté des demandes de radiation de l'Ordre par "démissions volontaires".<ref>http://oggiscienza.it/2015/02/10/lo-yogurt-del-prof-ruggiero-cont-2/</ref>. Ruggiero a également démissionne de l'Université de Florence le 31 décembre 2014.
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