Maladie de Lyme

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Maladie de Lyme ou Borréliose de Lyme

Point sur les connaissances sur la Borréliose de Lyme publié par Santé publique France en 2016 [1]

Qu'est-ce que la borréliose de lyme ?
La borréliose de Lyme est une maladie infectieuse, non contagieuse, causée par une bactérie du complexe Borrelia (B) burgdorferi senso lato (principales espèces pathogènes en Europe : B.afzelii, B. garinii et B. burgdorferi sensu stricto), et transmise à l’Homme par piqures de tiques dures du genre Ixodes, infectées. La maladie s’exprime par diverses manifestations dermatologiques, neurologiques, articulaires et plus rarement cardiaques ou ophtalmiques. Cette zoonose est présente en Europe, Amérique du Nord et les régions tempérées de l’Asie. Elle est la première maladie vectorielle en Europe avec une estimation annuelle de 85 000 cas (http:// www.eucalb.com/).
Comment se fait la transmission ?
[...]
La borréliose de Lyme ne se transmet pas :
- de personne à personne
- par contact direct avec des animaux
- par voie alimentaire (par exemple : venaison)
- par piqure d’autres insectes
Aucun cas de borréliose de Lyme n’a été à ce jour lié à une transfusion sanguine. Des études ont cependant montré que la bactérie Borrelia burgdorferi pouvait survivre dans du sang stocké pour des dons (Nadelman RB et al. 1990 ; Johnson SE et al. 1990). Les données d’études anciennes suggérant que la borréliose de Lyme pouvaient contribuer à des issues de grossesse défavorables n’ont pas été confirmées par des études ultérieures (Maraspin V et al. 1999 ; .Strobino B et al. 1999).
En 2016, le Haut Conseil de la santé publique a émis un avis relatif à la borréliose de Lyme concernant le risque de transmission par voie materno-fœtale et lors de l’accouchement, par le lait maternel, par voie sexuelle, et via les produits sanguins labiles, les greffes d’organes, de tissus et de cellules (avis du 19/02/2016).
[...]

Avis du Haut Conseil de la santé publique relatif à la transmission de la borréliose de Lyme du 19 février 2016 [2]

Le Haut Conseil de la santé publique a reçu le 9 mars 2015 une saisine de la Direction générale de la santé relative aux différents modes de transmission des Borrelia.
Il est demandé au HCSP, en s’appuyant sur les données scientifiques disponibles, de compléter le rapport publié en décembre 2014 par l’évaluation des risques éventuels de transmission des Borrelia par voie sexuelle, par voie materno-fœtale au cours de la grossesse et lors de l’accouchement, et via les produits sanguins labiles et les greffes d’organes, de tissus et de cellules.
[...]

Transmission par le lait maternel

Aucun cas de transmission par le lait n’a été à ce jour publié. Des PCR positives à partir de deux personnes sont mentionnées par une seule publication. Cependant, la présence de bactérie vivante et infectieuse n’a jamais été démontrée.

Transmission par voie sexuelle

Un seul article publié en 2015 rapporte l’isolement en culture de Borrelia dans les sécrétions génitales humaines avec confirmation par PCR. Cette constatation ne signifie pas pour autant un risque de transmission. Il n’y a pas d’autre documentation clinique. Aucune transmission sexuelle n’a, à ce jour, été démontrée chez l’homme. Les preuves d’une transmission sexuelle de Borrelia ont été recherchées également chez le rat, sans succès.

Transmission via les produits sanguins labiles

[...]
Bien que le risque d’une transmission par transfusion ne peut être totalement exclu, l’absence de cas humain publié pourrait être expliquée par plusieurs hypothèses : une auto-exclusion des candidats au don de sang ayant présenté un syndrome pseudo-grippal ou une morsure récente de tique [...]

Transmission via les greffes d’organes, de tissus et de cellules

Un article reprend les cas publiés de borréliose de Lyme chez les transplantés mais il s’agit de cas survenus plus de deux ans après la greffe dans des contextes de morsures de tique ou dans des régions de forte endémie. Il n’est donc pas question de transmission par la greffe.

Conclusions de l'article

D’une manière générale, la transmission par le lait maternel, par voie sexuelle ou via les produits sanguins et les greffes est à ce jour non documentée chez l’homme. Seule l’infection par voie materno-fœtale a pu être suspectée dans une dizaine de cas en trente ans.
En conséquence, le HCSP recommande que :
- chez les femmes enceintes avec un diagnostic de Borréliose de Lyme, un traitement antibiotique soit prescrit pendant 14 à 21 jours ; que la prescription d’une antibioprophylaxie après piqûres de tiques multiples chez les femme enceintes en zone de forte endémie soit effectuée.
- des études complémentaires sur la transmission materno-fœtale ainsi que sur les autres modes de transmission, en particulier sexuelle, soient encouragées.

Controverse à propos de la Borréliose de Lyme

La position des autorités de santé en France est la même que celle préconisée par la communauté médicale internationale. Aux USA, cette position est représentée par les lignes directrices de l'IDSA (Infectious Diseases Society of America), adoptées également au Canada [3], en Europe et dans de nombreux autres pays. Or, aux USA, un groupe de pression (Advocacy group) très actif, l'ILADS (International Lyme and Associated Diseases Society), a émis ses propres lignes directrices qui sont en contradiction sur de nombreux points avec celles de l'IDSA. [4] [5] [6] [7]. La plupart des médecins membres de l’ILADS sont qualifiés de « Lyme literate Doctor » ou de LLMD, c'est à dire de « Lyme literate medical doctor » (Docteur en Médecine compétent/formé pour Lyme), il va de soi, formé pour Lyme selon les lignes directrices de l'ILADS.

Les Lyme Literate Medical Doctors (LLMDs)

Source: le document An Evolving Rogues' Gallery of “Lyme Literate” Quacks and Crooks[8]

Un document intitulé An Evolving Rogues’ Gallery of “Lyme Literate” Quacks and Crooks, publié en janvier 2011, fait le tour des démêlés des LLMDs avec les autorités sanitaires ou judiciaires des USA, références à l'appui [8]. Il reprend et complète le document Updating the Rogues Gallery of LLMDs". Did we miss anyone? (Avons-nous oublié quelqu'un?), publié le 26 Janvier 2008 [9]. Traduction:

3 mars 2011.
KANSAS CITY, Kan. (AP) - Trois résidents de Californie ont été condamnés à une période de probation et il leur a été ordonné de payer une restitution au Kansas pour un stratagème de commercialisation frauduleux pour guérir la maladie de Lyme. Robert Bradford, âgé de soixante-dix-neuf ans, a été condamné cette semaine à une période de probation de cinq ans et à la confiscation de 400,000 $. Sa femme, âgée de 70 ans, Carole Bradford, a eu une période de probation de cinq ans et un jugement de confiscation de 700,000 $, tandis que Brigitte Byrd de 65 ans a été condamnée à une période de probation de trois ans et une confiscation de 10,000 $. Toute la trois résidents de Chula Vista, en Californie, ont également été condamnés à payer plus de 40 000 $ en restitution. Les trois ont travaillé avec le docteur du Texas, John Toth de Topeka, qui a été condamné le mois dernier à une peine de prison déjà accomplie [pendant l'instruction?]. Toth a reconnu que lui et les trois co-accusés ont vendu un microscope qu'ils ont dit pourrait diagnostiquer la maladie de Lyme et ont promu un plan de traitement médicamenteux qu'ils prétendaient pourrait la guérir.

2 mars 2011.
[Par] Phil. Inq. Un docteur condamné pour attentat à la pudeur sur des patients. Les autorités ont dit qu'un docteur qui pratiquait à Kennett Square et était connu pour traiter la maladie de Lyme avait une autre spécialité: faire des avances indésirables aux patientes. Peter Fabulian, 63 ans, de Strasburg, qui a plaidé coupable en décembre à propos de deux à deux accusations d'attentat à la pudeur, a été condamné mardi à un mois en prison et à cinq mois d'assignation à résidence avec une surveillance électronique, suivie d'une période de probation de deux ans.

9 février 2011.
KANSAS CITY, Kan. (AP) - Un médecin du Kansas a été condamné à une peine déjà accomplie [pendant l'instruction?] après avoir plaidé coupable de faire partie d'un plan pour vendre un système faux/bidon pour diagnostiquer et guérir la maladie de Lyme. Le procureur US [U.S. Attorney], Barry Grissom, a déclaré mercredi que John Toth, âgé de 61 ans, de Topeka, avait également été condamné à deux ans de mise en liberté surveillée et a été condamné à une amende de 25 100 $. Toth a déjà purgé 26 mois de prison après avoir plaidé coupable pour les accusations d'homicide involontaire de l'État en 2007 après le décès d'un patient. Il a été libéré en 2010. Dans l'affaire fédérale, Toth a admis en octobre que lui et les trois co-accusés ont commencé à vendre un microscope qu'ils ont dit pouvoir diagnostiquer la maladie de Lyme. Ils ont également promu un plan de traitement médicamenteux qu'ils prétendaient pouvoir guérir la maladie.

26 octobre 2010.
Le docteur qui offrait un faux remède contre la maladie de Lyme plaide

KANSAS CITY, Kan. (AP) - Un médecin du Kansas a plaidé coupable de faire partie d'un plan visant à vendre un système faux/bidon pour diagnostiquer et guérir la maladie de Lyme. Le procureur U.S. [U.S. Attorney] Barry Grissom dit que John R. Toth, âgé de 61 ans, de Topeka, a plaidé coupable lundi d'avoir participé à la fraude. Il a accepté de payer une amende de 30 000 $. La peine doit être prononcée le 18 janvier. Toth a admis que, à partir de septembre 2001, lui et les trois co-accusés ont commencé à vendre un microscope qu'ils ont dit pouvoir diagnostiquer la maladie de Lyme. Ils ont également promu un plan de traitement médicamenteux qu'ils prétendaient pouvoir guérir la maladie. Toth a facturé aux patients l'utilisation du microscope et les médicaments. Les autorités disent que les médicaments ont causé la mort d'un résident du Kansas et une insuffisance rénale chez un autre. Les trois co-accusés de Toth ont plaidé coupable et attendent le prononcé de la peine. [références figurant dans le document:[10][11]]

26 octobre 2010.
Le docteur qui offrait un faux remède contre la maladie de Lyme plaide

KANSAS CITY, Kan. (AP) - Un médecin du Kansas a plaidé coupable de faire partie d'un plan visant à vendre un système faux pour diagnostiquer et guérir la maladie de Lyme. Le procureur U.S. [U.S. Attorney] Barry Grissom dit que John R. Toth, âgé de 61 ans, de Topeka, a plaidé coupable lundi d'avoir participé à la fraude. Il a accepté de payer une amende de 30 000 $. La peine doit être prononcée le 18 janvier. Toth a admis que, à partir de septembre 2001, lui et les trois co-accusés ont commencé à vendre un microscope qu'ils ont déclaré pouvoir diagnostiquer la maladie de Lyme. Ils ont également promu un plan de traitement médicamenteux qu'ils prétendaient pouvoir guérir la maladie. Toth a facturé aux patients l'utilisation du microscope et les médicaments. Les autorités disent que les médicaments ont causé la mort d'un résident du Kansas et une insuffisance rénale chez un autre. Les trois co-accusés de Toth ont plaidé coupable et attendent le prononcé de la peine. [références figurant dans le document:[12][13][14].]

27 septembre 2010.
Un médecin de la rive Est fait face à la mise en probation sur des cas de maladie de Lyme
The Virginian-Pilot
[Deux références figuraient dans le document, voici la seule disponible en 2017:[15]]
Un médecin sur la rive est, connu pour traiter les personnes atteintes de la maladie de Lyme, a été mis en probation pour une durée illimitée par le Conseil de médecine de l'état de Virginie et interdit à vie de prescrire des stupéfiants. Le Dr. Geoffrey Gubb, qui a un cabinet [médical] familial à Belle Haven, a été accusé par le Conseil d'avoir traité 15 patients avec des médicaments contre la douleur très puissants, tout en omettant de surveiller leur état ou de documenter correctement les diagnostics. Gubb, 73 ans, a jusqu'au 16 octobre pour faire appel à ce sujet. S'il ne le fait pas, le prononcé devient définitif ce jour-là. Dans une interview, la semaine dernière, Gubb a déclaré qu'il avait décidé de fermer son cabinet [médical] familial à la fin du mois. Il a dit qu'il traite environ 800 patients dont la plupart proviennent de Virginie, du Maryland et du Delaware. Environ 600 ont la maladie de Lyme, at-il dit, et beaucoup ont traversé le Chesapeake Bay Bridge-Tunnel de Hampton Roads pour obtenir un type de traitement que la plupart des médecins refusent de prescrire parce que cela va à l'encontre des lignes directrices recommandées. http://pilotonline.com/news/local/health/with-chronic-lyme-disease-debate-over-diagnosis-treatment/article_daded0be-54b7-5365-ad9e-cec2b8e00132.html With chronic Lyme disease, debate over diagnosis, treatment. Elizabeth Simpson 21 février 2010.

17 septembre 2010. [Il] plaide coupable dans un système de maladie de Lyme
Par BRAD COOPER, The Kansas City Star
[référence figurant dans le document[16]]
Un homme de Californie a plaidé coupable vendredi devant la cour fédérale pour avoir manigancé de vendre un équipement médical et des traitements médicamenteux pour une fausse épidémie de maladie de Lyme.
Les procureurs ont dit que l'escroquerie avait conduit à un décès et à une personne souffrant d'insuffisance rénale. Robert W. Bradford, 79 ans, a plaidé coupable à Kansas City, Kansas, à l'accusation de conspiration pour commettre une fraude par courrier et pour introduire des médicaments mal étiquetés dans le commerce entre États, ont dit les procureurs fédéraux. Bradford a admis que lui et ses co-accusés ont fait plus de 400,000 $ en vendant un microscope qu'ils prétendaient pouvoir être utilisé pour diagnostiquer la maladie Lyme, et un plan de traitement qu'ils prétendaient pouvoir guérir la maladie. Bradford a fondé une société qui faisait du commerce en tant que [ou sous le nom de] Américain Biologics. Elle a distribué des documents de marketing appelant la maladie de Lyme « le fléau du 21e siècle ». Plus de 50 pour cent des gens chroniquement malades souffriraient de la maladie Lyme prétendait la société.

16 mars 2010. Joseph G. Jemsek, M.D., requérant. Domaine d'activité: Médecine interne (Charlotte, NC). Refus de demande de licence médicale [autorisation d'exercicer]. Le Conseil [du Maryland] a trouvé que les infractions de conduite contraire à la profession dans le diagnostic et le traitement des patients, à savoir, avoir omis d'informer adéquatement ses patients des risques de son traitement et ne pas d'être conformé aux normes normes acceptables et prévalentes de la pratique médicale, [infractions] pour lesquelles il a été discipliné en Caroline du Nord, sont des infractions aux fondements de la Loi médicale [Medical Act] du Maryland et constituent des raisons de refuser sa demande de licence.
[référence figurant dans le document [17]]

17 février 2010.
L'État Discipline le Docteur Au Centre De la Dispute sur la Maladie de Lyme
Par ARIELLE LEVIN BECKER. The Hartford Courant
HARTFORD - Le Conseil médical de l'État a voté mardi pour discipliner le Dr Charles Ray Jones, un pédiatre de New Haven connu pour son soutien à une forme controversée de traitement de la maladie de Lyme. La mesure disciplinaire - une amende de 10 000 $ et une probation de licence de quatre ans au cours de laquelle la pratique de Jones sera surveillée - ne prendra pas effet avant que le Conseil ne signe la décision, ce qui devrait se produire le mois prochain. Ce sera la deuxième fois en trois ans que le Conseil aura discipliné Jones, 80 ans. [référence figurant dans le document [18]]

17 juin 2009.
Jenn Dombrowski, KFOX Las Cruces Bureau Reporter
LAS CRUCES, N.M. [Nouveau Mexique] -- Un homme de Las Cruses qui prétendait guérir les patients atteint de la maladie de Lyme a été arrêté sur des accusations de fraude. Les patients de Carl Haese ont dit qu'ils sont tombés malades après qu'il leur ait été facturé des milliers de dollars pour un remède, selon des documents de la Cour. Le Service de police de Las Cruces a lancé un mandat à l'encontre de Haese la semaine dernière après des mois d'investigations par le gouvernement fédéral. Formellement accusé par le gouvernement fédéral de fraude, les documents de la Cour montrent que Haese, âgé de 33 ans, est accusé de facturer aux patients des milliers de dollars pour guérir la maladie Lyme qu'il a dit aux patients avoir marché pour des milliers de gens. "Nous n'avons pas de milliers de cas au Nouveau Mexique," a dit Chris Minnick, le porte-parole du Nouveau Mexique le Ministère de la Santé.[référence figurant dans le document[19]


24 janvier 2008. Atlanta Journal-Constitution. Un médecin de Stone Mountain, initialement accusé d'avoir injecté à ses patients du désherbant de qualité commerciale, a été condamné jeudi à cinq ans de probation pour fraude dans les soins de santé. Totada R. Shanthaveerappa, 73 ans, qui a été suspendu par la Commission des licences médicales de l'Etat après son inculpation en 2005, a traité des patients en phase terminale à sa clinique à Stockbridge. Il a plaidé coupable en octobre d'avoir fraudé des compagnies d'assurance de 650 000 $ en présentant des demandes fausses et trompeuses. Parmi les accusations initiales de Shanthaveerappa, il y avait d'avoir donné illégalement aux patients du Dinitrophénol (DNP), un tueur de mauvaises herbes et insecticide. Mais Shanthaveerappa ne n'a pas plaidé [coupable] pour cette accusation. Samuel a dit que le médecin a donné du DNP à cinq patients qui avaient reçu un diagnostic de maladie de Lyme.

19 décembre 2007. Newsweek. Doc puni pour le traitement de la maladie de Lyme. Les régulateurs du Connecticut réprimandent et infligent une amende à un pédiatre pour son traitement de la maladie de Lyme. Un pédiatre de New Haven qui a été loué par les patients mais critiqué par l'établissement médical pour la façon dont il traite la maladie de Lyme a été réprimandé, condamné à une amende 10 000 $ et placé pendant deux ans sous probation par les régulateurs de l'état [autorités de régulation de l'État].

23 novembre 2007. Topeka, KS (AP) - Un médecin de Topeka ne conteste pas l'accusation d'homicide involontaire par imprudence au sujet de la mort d'une femme qu'il soignait la maladie de Lyme en utilisant une méthode non autorisée. Toth a traité [des patients de lyme] avec une perfusion intraveineuse d'un « métal lourd » connu sous le nom de bismuth qui n'avait pas été approuvé pour une telle utilisation.

13 mai 2007. Three Lakes, WI. Gregory Hoffmann, MD du Wisconsin, fait l'objet d'une enquête menée par le service de régulation et et d'octroi des licences [autorisation d'exercer] du Wisconsin et du Comité d'enquête médicale du Wisconsin pour son traitement de la maladie de Lyme.

8 décembre 2006. Associated Press. Un médecin du New Jersey et son assistante ont été reconnus coupables vendredi de prendre des milliers de dollars de patients en promettant de les guérir de la maladie de Lou Gehrig avec une thérapie de cellules souches qu'il n'a pas pu ou ne pouvait pas livrer. Un jury fédéral a trouvé Charlene DeMarco et son aide, Elizabeth Lerner, tous deux d'Egg Harbor City, coupables de tous les 11 chefs d'accusation dont ils étaient accusés, notamment de complot, fraude postale, fraude et blanchiment d'argent. [Note:. DeMarco est connu pour son travail sur la maladie de Lyme et, en 2003, a été nommé au Conseil consultatif sur à la maladie de Lyme du gouverneur].

17 septembre 2006. À la fin de 2005, le département d'état de la santé publique a accusé [Charles Ray] Jones d'avoir violé « la norme de soins » pour son traitement de deux jeunes frères et sœurs qui vivent dans le Nevada. Après avoir enquêté sur la plainte, le département de la santé a porté plainte au conseil médical, affirmant qu'il a diagnostiqué la maladie de Lyme chez les enfants sans les examiner, qu'il n'a pas tenu compte d'autres causes de leurs symptômes, et qu'il a prescrit des antibiotiques de manière incorrecte. (Hartford Courant, Northeast Magazine section.)

22 Août 2006. Un médecin de Topeka, accusé de meutre, a fait sa première comparution devant le tribunal. Lors de sa mise en accusation, le Dr John Toth a entendu les accusations de meurtre contre lui après que les procureurs ont fait valoir/soutenu qu'il a donné l'un de ses patients des injections de Bismacine pour traiter la maladie de Lyme. La Bismacine contient de grandes quantités de bismuth, un produit chimique métallique qui peut être toxique et qui n'est pas approuvé par la FDA. Le Conseil de l'art de guérir du Kansas a suspendu sa licence l'an dernier après que deux autres patients aient subi des complications potentiellement mortelles. (WIBW - Topeka, KS, 13 News)

19 Juillet 2006. La veuve d'un homme qui est mort du cancer de la prostate en 2004, alors que sous les soins du Dr James Shortt a conclu une entente de principe avec lui dans des procès fédéraux distincts. Lundi, Shortt a été condamné dans une affaire criminelle fédérale distincte à un an et un jour de prison. Il a plaidé coupable en mars pour complot en vue de distribuer des stéroïdes et des hormones de croissance humaine aux athlètes de la NFL, les culturistes et les autres. La veuve de Bate, Janet Bate, du comté de Richland, soutient dans un procès que Shortt a fait preuve de négligence lors de la mort de son mari de 66 ans, le 21 juillet 2004. Shortt lui a donné des traitements de peroxyde d'hydrogène par voie intraveineuse et l'a faussement diagnostiqué comme ayant une maladie de Lyme, ont dit les conclusions du procès. En Juin 2004, la testostérone prescrit Shortt, qui a causé son cancer de la prostate pour faire avancer rapidement et a donné lieu à sa mort environ six semaines plus tard, ont dit les conclusions du procès. ((The State, S.C.)

16 Juin 2006. Lyme médecin a jugé coupable. Le NC Medical Board jeudi a suspendu le permis d'un médecin du comté de Mecklenburg pendant un an après avoir constaté qu'il a quitté les méthodes de traitement en vigueur la maladie de Lyme. Le conseil d' administration de 12 membres a également conclu le Dr Joseph Jemsek n'a pas informé adéquatement les patients que son approche, notamment à garder les patients sur les antibiotiques par voie intraveineuse pendant des mois ou des années, est peu orthodoxe. Jemsek, 57 ans, n'a pas fait qu'il est difficile pour le conseil d'administration de le déclarer coupable. Il a témoigné à plusieurs reprises qu'il est le seul médecin dans l'état qui diagnostique systématiquement les patients ayant même Lyme chronique si elles ne testent pas positifs lors de dépistage avec des tests de laboratoire standard. Jemsek a également dit qu'il est seul à attaquer la maladie transmise par les tiques avec un traitement antibiotique à long terme. La plupart des médecins ont besoin des résultats positifs et croient Lyme doit être traitée sans plus des deux cours de quatre semaines. Cinq patients, y compris le veuf d'une femme qui est morte d' une intoxication à la morphine alors que sous les soins de Jemsek, a témoigné pour l'accusation. (Nouvel Observateur, Caroline du Nord)

31 Mars 2006. Un médecin sud du New Jersey a pris l'argent des patients atteints de la maladie de Lou Gehrig en les amenant à payer jusqu'à 35 000 $ pour un traitement de cellules souches qu'elle ne pouvait pas - et n'a pas - effectuer , selon un acte d' accusation fédéral non scellé hier. Charlene DeMarco de Egg Harbor City et son assistante et coloc, Elizabeth Copperman, ont été arrêtés hier et accusé de 11 chefs d' accusation de complot, de fraude postale, fraude et blanchiment d'argent pour des actes qu'ils sont accusés d'avoir commis entre 2002 et 2004. DeMarco est connu pour son travail sur la maladie de Lyme et en 2003 , a été nommé par le gouverneur James E. McGreevey au Conseil consultatif des maladies de Lyme du gouverneur. (Associated Press)

28 Avril 2005. Un grand jury fédéral à Camden, New Jersey a rendu un acte d'accusation de 17 chef d'accusation deux hommes du New Jersey complot en vue de frauder les États-Unis, l'évasion fiscale, et l'omission volontaire de rendre compte et payer les taxes sur l'emploi IRS retenues sur les salaires de leurs employés. L'acte d' accusation allègue que Anthony Lionetti, qui résidait à Hammonton, New Jersey, a été le propriétaire et président de deux centres de traitement de la maladie de Lyme, et que Donald DuBeck, qui résidait dans Shamong, New Jersey, a été vice-président et directeur de bureau des entreprises . Elle leur reproche le revenu retenu, la sécurité sociale et les impôts Medicare des salaires des employés du Centre de traitement de la maladie de Lyme et les tiques du groupe Born maladie, et fait que des paiements partiels des taxes sur l' emploi recueillies en 1999 et 2001. (www.usdoj.gov)

14 novembre 2002. le Dr Perry Orens, dont le permis a été révoqué en novembre 1999 à la suite de ses audiences devant l'office d'Etat de New York de déontologie médicale (SVPM), a son permis rétabli par la cour d' appel de la Cour suprême de l'Etat de New York.

23 avril 2002. Le Dr Joseph Burrascano, après audition devant la New York State SVPM sur ses traitements médicaux des patients de Lyme, a été placé en liberté surveillée avec un moniteur de pratique.

2001. Le Dr Richard Horowitz, qui avait été dans les audiences avec le NYS SVPM depuis le printemps 2001, a été proposé un règlement consistant en suspension de trois mois.

29 janvier 2002. Conseil d'État du Texas des médecins légistes Mesures disciplinaires contre William Cowden, MD (2002). William L. Cowden, MD, qui pratique à Fort Worth, au Texas, a été réprimandé à deux reprises par le Conseil d'État du Texas des médecins légistes. En 1996, il a été placé sur deux ans de probation pour (a) l'injection d'un patient atteint de la maladie de Hodgkin avec un produit homéopathique qui manquait approbation de la FDA et (b) prescrire Cytomel (une hormone de la thyroïde) à un patient « sans indication ou la documentation appropriée » que le patient a hypothyroïdie. En 2002, il a reçu une amende de 2500 $ et placé sur la probation de trois ans pour avoir omis de tenir des dossiers médicaux adéquats ou d'obtenir un consentement adéquat lié à sa gestion de trois patients.

« Lee Cowden, MD, de Fort Worth, au Texas, a établi ce qui est devenu connu comme l'un des principaux traitements de Lyme chronique de notre temps. Connu comme le Protocole Cowden, cette série de traitements se compose principalement de divers extraits de plantes, y compris Cumanda et Samento ainsi que le traitement hyperbare, la thérapie d'ozone et d' autres interventions. »

1998. Dr Joseph Natole (Michigan) avait son permis suspendu pour 90 jours, mais a également été condamné à une amende 50 000 $. Il a ensuite été mis en examen et a plaidé coupable à des accusations fédérales de plus de compagnies d'assurance de facturation.

2 février 1996. Brewer Donna du ministère de la Santé publique Ct Etat a dit qu'ils ont déterminé qu'il n'y avait pas « preuve suffisante d'une violation de la norme de diligence qui justifie l' action » contre la licence du Dr Phil Watsky. Le Hartford Courant cite une partie de sa lettre: « Le ministère est néanmoins préoccupé par certaines questions concernant votre traitement de« SM » Le Bristol Press poursuit la citation de la lettre de Brewer, « Le département est concerné au sujet de votre diagnostic continu de la maladie de Lyme malgré la fait que le patient n'a pas été testé positif pour une période de temps considérable, votre sélection d'antibiotiques utilisés dans le traitement, la fréquence et la durée du traitement antibiotique, et les éventuels effets à long terme d' un tel traitement « .

12 août 1995. Le Trenton Times. « Etat cherche licence de la maladie de Lyme Docteur. » Ce fut John D. Bleiweiss, MD. Le bon suicidé médecin peu après.

25 juin 1993. CONCLUSIONS FINALES SCIENTIFIQUE FAUTE, NIH GUIDE, Volume 22, Numéro 23. Raphael B. Stricker, MD, (ancien président du groupe de Lyme ILADS).
Une enquête menée par l'Université a constaté que les données falsifiées Dr Stricker pour un manuscrit et une recherche de rapports de publication soutenue par PHS sur le SIDA. Dans le manuscrit, le Dr Stricker sélectivement des données supprimées qui ne supportait pas son hypothèse, et a rapporté des données toujours positives alors que l'une des quatre expériences ont donné des résultats positifs. Dr Stricker a exécuté une exclusion volontaire et la Convention de règlement dans lequel il a accepté de ne pas demander des fonds fédéraux de subventions ou d'un contrat et ne servira pas à des comités consultatifs PHS, des conseils ou des groupes d'examen par les pairs pour une période de trois ans à compter du 1er Avril 1993. Le publication "antigène plaquettaire cible chez les hommes homosexuels atteints de thrombocytopénie immunitaire" dans le New England Journal of Medicine, 313: 1315-1380, 1985 a été rentrée (New England Journal of Medicine, 325: 1487,1991).

1998. Dr Joseph Natole (Michigan) avait son permis suspendu pour 90 jours, mais a également été condamné à une amende 50 000 $. Il a ensuite été mis en examen et a plaidé coupable à des accusations fédérales de plus de compagnies d'assurance de facturation.

2 février 1996. Brewer Donna du ministère de la Santé publique Ct Etat a dit qu'ils ont déterminé qu'il n'y avait pas « preuve suffisante d'une violation de la norme de diligence qui justifie l'action » contre la licence du Dr Phil Watsky. Le Hartford Courant cite une partie de sa lettre: « Le ministère est néanmoins préoccupé par certaines questions concernant votre traitement de« SM » Le Bristol Press poursuit la citation de la lettre de Brewer, « Le département est concerné au sujet de votre diagnostic continu de la maladie de Lyme malgré la fait que le patient n'a pas été testé positif pour une période de temps considérable, votre sélection d'antibiotiques utilisés dans le traitement, la fréquence et la durée du traitement antibiotique, et les éventuels effets à long terme d' un tel traitement « .

12 août 1995. Le Trenton Times. « Etat cherche licence de la maladie de Lyme Docteur. » Ce fut John D. Bleiweiss, MD. Le bon suicidé médecin peu après.

25 juin 1993. CONCLUSIONS FINALES SCIENTIFIQUE FAUTE, NIH GUIDE, Volume 22, Numéro 23. Raphael B. Stricker, MD, (ancien président du groupe de Lyme ILADS).
Une enquête menée par l'Université a constaté que les données falsifiées Dr Stricker pour un manuscrit et une recherche de rapports de publication soutenue par PHS sur le SIDA. Dans le manuscrit, le Dr Stricker sélectivement des données supprimées qui ne supportait pas son hypothèse, et a rapporté des données toujours positives alors que l' une des quatre expériences ont donné des résultats positifs. Dr Stricker a exécuté une exclusion volontaire et la Convention de règlement dans lequel il a accepté de ne pas demander des fonds fédéraux de subventions ou d'un contrat et ne servira pas à des comités consultatifs PHS, des conseils ou des groupes d'examen par les pairs pour une période de trois ans à compter du 1er Avril 1993. Le publication "antigène plaquettaire cible chez les hommes homosexuels atteints de thrombocytopénie immunitaire" dans le New England Journal of Medicine, 313: 1315-1380, 1985 a été rentrée (New England Journal of Medicine, 325: 1487,1991).

Liens externes

Références

  1. http://invs.santepubliquefrance.fr/Dossiers-thematiques/Maladies-infectieuses/Maladies-a-transmission-vectorielle/Borreliose-de-lyme/Points-sur-les-connaissances Article "BORRÉLIOSE DE LYME"Publié le 16/09/2013 - Dernière mise à jour le 13/10/2016
  2. http://social-sante.gouv.fr/IMG/pdf/hcspa20160219_borreliosedelymemodestransmiss.pdf
  3. https://www.canada.ca/fr/sante-publique/services/maladies/maladie-lyme/pour-professionnels-sante-maladie-lyme.html "En 2011, l'Association pour la microbiologie médicale et l'infectiologie Canada a approuvé en totalité les lignes directrices de la Infectious Diseases Society of America (en anglais seulement). Ainsi, les résultats du transfert Western doivent être interprétés selon ces lignes directrices."
  4. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4489928/ Article "Antiscience and ethical concerns associated with advocacy of Lyme disease Paul G Auwaerter, MD, Johan S Bakken, MD, PhD, Prof Raymond J Dattwyler, MD, Prof J Stephen Dumler, MD, Prof John J Halperin, MD, Edward McSweegan, MD, Prof Robert B Nadelman, MD, Susan O’Connell, MD, Prof Eugene D Shapiro, MD, Prof Sunil K Sood, MD, Prof Allen C Steere, MD, Prof Arthur Weinstein, MD, and Prof Gary P Wormser, MD. Publié dans The Lancet Infectious Diseases en septembre 2011
  5. http://www.sceptiques.qc.ca/quackwatch/maladielyme.htm La maladie de Lyme: diagnostic et traitement douteux. Edward McSweegan, Ph.D.
  6. http://www.amjmed.com/article/S0002-9343(17)30138-9/fulltext?rss=yes Article "False and Misleading Information About Lyme Disease" (Informations fausses et trompeuses sur la maladie de Lyme). Auteurs: Eugene D. Shapiro, MD, Phillip J. Baker, PhD, Gary P. Wormser, M. Publié en janvier 2017 dans The American Journal of Medicine
  7. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4490322/ Unorthodox Alternative Therapies Marketed to Treat Lyme Disease (Thérapies alternatives non orthodoxes commercialisées pour traiter la maladie de Lyme). Auteurs Paul M. Lantos, Eugene D. Shapiro, Paul G. Auwaerter, Phillip J. Baker, John J. Halperin, Edward McSweegan, and Gary P. Wormser. Publié le 6 avril 2015 dans Clinical Infectious Diseases (An Official Publication of the Infectious Diseases Society of America)
  8. 8,0 et 8,1 An Evolving Rogues’ Gallery of “Lyme Literate” Quacks and Crooks
  9. http://sci.tech-archive.net/Archive/sci.med.diseases.lyme/2008-01/msg00210.html
  10. http://cjonline.com/news-state/2010-09-17/man-pleads-lyme-cure-fraud Article "Man pleads in Lyme cure fraud" Posted September 17, 2010. By Kevin Elliott.
    [...] Robert W. Bradford, 79, of Chula Vista, Calif., pleaded guilty to conspiracy to commit mail fraud and to introduce misbranded drugs into interstate commerce.
    Bradford admitted he and his co-defendants made more than $400,000 selling a microscope they claimed could be used to diagnose Lyme disease and a drug treatment plan they claimed could cure it. Bradford was founder of a company doing business as American Biologics, which distributed marketing materials calling Lyme disease the "Plague of the 21st Century" and claiming more than 50 percent of chronically ill people may be suffering from it. [...] The treatment, marketed as Bismacine, was found to be a solution of Bismuth citrate — a toxic metallic element. Those treatments were "manufactured in a make-shift laboratory" operated by American Biologics and included several chemicals that weren't certified or intended for use in food, drugs or cosmetics for humans or animals, according to the indictment. [...]
  11. http://www.casewatch.org/board/med/toth/consentorder.shtml
  12. http://cjonline.com/news-state/2010-09-17/man-pleads-lyme-cure-fraud Article "Man pleads in Lyme cure fraud" Posted September 17, 2010. By Kevin Elliott.
    [...] Robert W. Bradford, 79, of Chula Vista, Calif., pleaded guilty to conspiracy to commit mail fraud and to introduce misbranded drugs into interstate commerce.
    Bradford admitted he and his co-defendants made more than $400,000 selling a microscope they claimed could be used to diagnose Lyme disease and a drug treatment plan they claimed could cure it. Bradford was founder of a company doing business as American Biologics, which distributed marketing materials calling Lyme disease the "Plague of the 21st Century" and claiming more than 50 percent of chronically ill people may be suffering from it. [...] The treatment, marketed as Bismacine, was found to be a solution of Bismuth citrate — a toxic metallic element. Those treatments were "manufactured in a make-shift laboratory" operated by American Biologics and included several chemicals that weren't certified or intended for use in food, drugs or cosmetics for humans or animals, according to the indictment. [...]
  13. http://www.casewatch.org/board/med/toth/consentorder.shtml
  14. http://www.casewatch.org/board/med/toth/consentorder.shtml John R. Toth, M.D., Agrees to Inactivate Medical License. Consent Order of December 12, 2005.
    In April 2005, the Kansas Board of Healing Arts reprimanded John R. Toth, M.D., of Topeka, Kansas, for not timely responding to hospital pages. Two months later, the board issued an emergency suspension followed by an emergency order limiting his practice. The situation arose after two of his patients he treated with intravenous Bismacine were hospitalized with life-threatening complications. One whom he had treated for 11 years for Lyme disease, had kidney failure. The other's heart stopped beating in Toth's office. Two weeks later, the board concluded that the first patient had been misdiagnosed and that the bismuth product contained a toxic metal and lacked FDA approval. The hospital summarily suspended Toth's privileges, and the board issued an emergency order limiting what Toth could do.
    In December 2005, Toth signed a consent agreement (shown below) under which he inactivated his license and cannot resume practice unless he undergoes remedial education and petitions the board for reactivation. He also agreed that if permitted to resume practice, he will (a) do so in a group setting, (b) refrain from diagnosing or treating Lyme disease without prior approval by an infectious disease specialist, (c) refrain from prescribing intravenous bismuth to any patient, (d) use only methods that are generally accepted by the medical community. In July 2006, the FDA issued a public warning not to use Bismacine (a/k/a Chromacine).
    In 2008, Toth was sentenced to prison for manslaughter related to the patient who had died. In 2011, after having served 26 months in prison for the manslaughter case, he was sentenced to time served and some financial penalties on a federal charge of conspiring to commit mail fraud and introduce unapproved drugs and a misbranded medical device in interstate commerce.
  15. http://pilotonline.com/news/local/health/eastern-shore-doctor-faces-probation-over-lyme-disease-cases/article_fe629389-cc2b-5246-994a-e81afa26c0e7.html
  16. http://www.kansascity.com/2010/09/17/2232002/guilty-plea-in-lymedisease-scheme.html
  17. http://www.mbp.state.md.us/forms/spring2010.pdf
  18. http://articles.courant.com/2010-02-17/health/hc-lyme-doctor-jones-0217.artfeb17_1_dr-charles-ray-jones-medical-board-diagnoses
  19. http://www.casewatch.org/doj/haese/complaint.shtml Lyme Disease Quack Arrested (Un charlatan de la maladie de Lyme arrêté). Stephen Barrett, M.D.
    En 2009, Carl E. Haese, propriétaire et exploitant de la clinique Haese de médecine intégrative à Cruces, Nouveau-Mexique, a été accusé de fraude en relation avec le diagnostic et le traitement de personnes pour la maladie de Lyme. La plainte pénale (montrée ci-dessous) indiquait:
    - Haese déclarait faussement aux patients qu'il avait guéri 100% des 3000 personnes qu'il prétendait avoir traitées pour la maladie de Lyme.
    - Haese fait son diagnostic après avoir examiné un échantillon de sang avec un microscope à haute résolution à projection variable de Bradford, un appareil non approuvé par la FDA pour le diagnostic d'aucune pathologie.
    - Le prétendu traitement est un cocktail intraveineux qui contient du dioxychlorure et de la sulfoxine, substances qui n'ont pas l'approbation de la FDA à quelque fin que ce soit.
    - Les patients payent généralement environ 5 000 $ pour les services de Haese.< br>Le Dioxychlorure, la sulfoxine, et le système de microscope ont été commercialisés par American Biologics, une société qui a vendu des produits douteux depuis plus de 30 ans. La société affirmait que le Dioxychlor était « un antibiotique naturel qui tue les bactéries en fournissant des quantités généreuses d'oxygène à... des organismes qui ne nécessitent pas d'oxygène pour leur croissance et peuvent même mourir en sa présence ». En 2006, Santé Canada déconseillait l'utilisation de ces produits et du microscope Bradford.
    En 2010, Haese a plaidé coupable à une accusation de fraude électronique/informatique. En 2012, il a été condamné à 27 mois de prison suivie de trois ans de liberté surveillée. Il a également été condamné à une amende 10 000 $ et il lui a été ordonné de verser un dédommagement de 164522 $ au total aux 21 victimes.
    This page was revised on May 29, 2016
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