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Aucun cas de transmission par le lait n’a été à ce jour publié. Des PCR positives à partir de deux personnes sont mentionnées par une seule publication. Cependant, la présence de bactérie vivante et infectieuse n’a jamais été démontrée.
 
Aucun cas de transmission par le lait n’a été à ce jour publié. Des PCR positives à partir de deux personnes sont mentionnées par une seule publication. Cependant, la présence de bactérie vivante et infectieuse n’a jamais été démontrée.
 
=== Transmission par voie sexuelle ===
 
=== Transmission par voie sexuelle ===
Un seul article publié en 2015 rapporte l’isolement en culture de Borrelia dans les sécrétions génitales humaines avec confirmation par PCR. Cette constatation ne signifie pas pour autant un risque de transmission. Il n’y a pas d’autre documentation clinique. Aucune transmission sexuelle n’a, à ce jour, été démontrée chez l’homme. Les preuves d’une transmission sexuelle de Borrelia ont été recherchées également chez le rat, sans succès
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Un seul article publié en 2015 rapporte l’isolement en culture de Borrelia dans les sécrétions génitales humaines avec confirmation par PCR. Cette constatation ne signifie pas pour autant un risque de transmission. Il n’y a pas d’autre documentation clinique. Aucune transmission sexuelle n’a, à ce jour, été démontrée chez l’homme. Les preuves d’une transmission sexuelle de Borrelia ont été recherchées également chez le rat, sans succès.
 
=== Transmission via les produits sanguins labiles ===
 
=== Transmission via les produits sanguins labiles ===
 
[...]<br>'''Bien que le risque d’une transmission par transfusion ne peut être totalement exclu, l’absence de cas humain publié pourrait être expliquée par plusieurs hypothèses : une auto-exclusion des candidats au don de sang ayant présenté un syndrome pseudo-grippal ou une morsure récente de tique [...]
 
[...]<br>'''Bien que le risque d’une transmission par transfusion ne peut être totalement exclu, l’absence de cas humain publié pourrait être expliquée par plusieurs hypothèses : une auto-exclusion des candidats au don de sang ayant présenté un syndrome pseudo-grippal ou une morsure récente de tique [...]
 
=== Transmission via les greffes d’organes, de tissus et de cellules ===
 
=== Transmission via les greffes d’organes, de tissus et de cellules ===
Un article reprend les cas publiés de borréliose de Lyme chez les transplantés mais il s’agit de cas survenus plus de deux ans après la greffe dans des contextes de morsures de tique ou dansdes régions de forte endémie. Il n’est donc pas question de transmission par la greffe
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Un article reprend les cas publiés de borréliose de Lyme chez les transplantés mais il s’agit de cas survenus plus de deux ans après la greffe dans des contextes de morsures de tique ou dans des régions de forte endémie. Il n’est donc pas question de transmission par la greffe.
    
=== Conclusions de l'article ===
 
=== Conclusions de l'article ===
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'''17 février 2010.'''<br>L'État Discipline le Docteur Au Centre De la Dispute sur la Maladie de Lyme<br>Par ARIELLE LEVIN BECKER. The Hartford Courant<br>HARTFORD - Le Conseil médical de l'État a voté mardi pour discipliner le Dr Charles Ray Jones, un pédiatre de New Haven connu pour son soutien à une forme controversée de traitement de la maladie de Lyme. La mesure disciplinaire - une amende de 10 000 $ et une probation de licence de quatre ans au cours de laquelle la pratique de Jones sera surveillée - ne prendra pas effet avant que le Conseil ne signe la décision, ce qui devrait se produire le mois prochain. Ce sera la deuxième fois en trois ans que le Conseil aura discipliné Jones, 80 ans.
 
'''17 février 2010.'''<br>L'État Discipline le Docteur Au Centre De la Dispute sur la Maladie de Lyme<br>Par ARIELLE LEVIN BECKER. The Hartford Courant<br>HARTFORD - Le Conseil médical de l'État a voté mardi pour discipliner le Dr Charles Ray Jones, un pédiatre de New Haven connu pour son soutien à une forme controversée de traitement de la maladie de Lyme. La mesure disciplinaire - une amende de 10 000 $ et une probation de licence de quatre ans au cours de laquelle la pratique de Jones sera surveillée - ne prendra pas effet avant que le Conseil ne signe la décision, ce qui devrait se produire le mois prochain. Ce sera la deuxième fois en trois ans que le Conseil aura discipliné Jones, 80 ans.
 
[référence figurant dans le document <ref>http://articles.courant.com/2010-02-17/health/hc-lyme-doctor-jones-0217.artfeb17_1_dr-charles-ray-jones-medical-board-diagnoses</ref>]
 
[référence figurant dans le document <ref>http://articles.courant.com/2010-02-17/health/hc-lyme-doctor-jones-0217.artfeb17_1_dr-charles-ray-jones-medical-board-diagnoses</ref>]
 
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'''17 juin 2009.'''<br>''Jenn Dombrowski, KFOX Las Cruces Bureau Reporter''<br> LAS CRUCES, N.M. [Nouveau Mexique] -- Un homme de Las Cruses qui prétendait guérir les patients atteint de la maladie de Lyme a été arrêté sur des accusations de fraude. Les patients de Carl Haese ont dit qu'ils sont tombés malades après qu'il leur ait été facturé des milliers de dollars pour un remède, selon des documents de la Cour. Le Service de police de Las Cruces a lancé un mandat à l'encontre de Haese la semaine dernière après des mois d'investigations par le gouvernement fédéral. Formellement accusé par le gouvernement fédéral de fraude, les documents de la Cour montrent que Haese, âgé de 33 ans, est accusé de facturer aux patients des milliers de dollars pour guérir la maladie Lyme qu'il a dit aux patients avoir marché pour des milliers de gens. "Nous n'avons pas de milliers de cas au Nouveau Mexique," a dit Chris Minnick, le porte-parole du Nouveau Mexique le Ministère de la Santé.[référence figurant dans le document<ref>http://www.casewatch.org/doj/haese/complaint.shtml Lyme Disease Quack Arrested (Un charlatan de la maladie de Lyme arrêté). Stephen Barrett, M.D.<br>En 2009, Carl E. Haese, propriétaire et exploitant de la clinique Haese de médecine intégrative à Cruces, Nouveau-Mexique, a été accusé de fraude en relation avec le diagnostic et le traitement de personnes pour la maladie de Lyme. La plainte pénale (montrée ci-dessous) indiquait:<br> - Haese déclarait faussement aux patients qu'il avait guéri 100% des 3000 personnes qu'il prétendait avoir traitées pour la maladie de Lyme.<br> - Haese fait son diagnostic après avoir examiné un échantillon de sang avec un microscope à haute résolution à projection variable de Bradford, un appareil non approuvé par la FDA pour le diagnostic d'aucune pathologie.<br> - Le prétendu traitement est un cocktail intraveineux qui contient du dioxychlorure et de la sulfoxine, substances qui n'ont pas l'approbation de la FDA à quelque fin que ce soit.<br> - Les patients payent généralement environ 5 000 $ pour les services de Haese.< br>Le Dioxychlorure, la sulfoxine, et le système de microscope ont été commercialisés par American Biologics, une société qui a vendu des produits douteux depuis plus de 30 ans. La société affirmait que le Dioxychlor était « un antibiotique naturel qui tue les bactéries en fournissant des quantités généreuses d'oxygène à... des organismes qui ne nécessitent pas d'oxygène pour leur croissance et peuvent même mourir en sa présence ». En 2006, Santé Canada déconseillait l'utilisation de ces produits et du microscope Bradford.<br>En 2010, Haese a plaidé coupable à une accusation de fraude électronique/informatique. En 2012, il a été condamné à 27 mois de prison suivie de trois ans de liberté surveillée. Il a également été condamné à une amende 10 000 $ et il lui a été ordonné de verser un dédommagement de 164522 $ au total aux 21 victimes.<br>This page was revised on May 29, 2016</ref>
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24 janvier 2008. Atlanta Journal-Constitution. Un médecin de Stone Mountain, initialement accusé d'avoir injecté à ses patients du désherbant de qualité commerciale, a été condamné jeudi à cinq ans de probation pour fraude dans les soins de santé. Totada R. Shanthaveerappa, 73 ans, qui a été suspendu par la Commission des licences médicales de l'Etat après son inculpation en 2005, a traité des patients en phase terminale à sa clinique à Stockbridge. Il a plaidé coupable en octobre d'avoir fraudé des compagnies d'assurance de 650 000 $ en présentant des demandes fausses et trompeuses. Parmi les accusations initiales de Shanthaveerappa, il y avait d'avoir donné illégalement aux patients du Dinitrophénol (DNP), un tueur de mauvaises herbes et insecticide. Mais Shanthaveerappa ne n'a pas plaidé [coupable] pour cette accusation. Samuel a dit que le médecin a donné du DNP à cinq patients qui avaient reçu un diagnostic de maladie de Lyme.
 
24 janvier 2008. Atlanta Journal-Constitution. Un médecin de Stone Mountain, initialement accusé d'avoir injecté à ses patients du désherbant de qualité commerciale, a été condamné jeudi à cinq ans de probation pour fraude dans les soins de santé. Totada R. Shanthaveerappa, 73 ans, qui a été suspendu par la Commission des licences médicales de l'Etat après son inculpation en 2005, a traité des patients en phase terminale à sa clinique à Stockbridge. Il a plaidé coupable en octobre d'avoir fraudé des compagnies d'assurance de 650 000 $ en présentant des demandes fausses et trompeuses. Parmi les accusations initiales de Shanthaveerappa, il y avait d'avoir donné illégalement aux patients du Dinitrophénol (DNP), un tueur de mauvaises herbes et insecticide. Mais Shanthaveerappa ne n'a pas plaidé [coupable] pour cette accusation. Samuel a dit que le médecin a donné du DNP à cinq patients qui avaient reçu un diagnostic de maladie de Lyme.
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