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* http://cortecs.org/wp-content/uploads/2011/12/CorteX_Monvoisin_Critique_Med_Alt_homeopathie.pdf
 
* http://cortecs.org/wp-content/uploads/2011/12/CorteX_Monvoisin_Critique_Med_Alt_homeopathie.pdf
 
* [http://archive.wikiwix.com/cache/?url=http://www.union-rationaliste.org/index.php/Les-Cahiers-Rationalistes/Emission-Radio-Les-medecines-paralleles.html&title=http%3A%2F%2Fwww.union-rationaliste.org%2Findex.php%2FLes-Cahiers-Rationalistes%2FEmission-Radio-Les-medecines-paralleles.html  Transcription d'une interview radiophonique de Marcel-Francis KAHN, PUPH honoraire de rhumatologie (Paris), ancien président de la Société Française de Rhumatologie sur Les médecines parallèles, et en l'occurrence sur l'homéopathie (1998).] ''... '''Quand l'homéopathie est née, ä la fin du XVIIIe siècle'', sur les théories vitalistes de Hannemann''' qui d'ailleurs reprenait des travaux antérieurs, (on trouve même la trace de cela dans Hippocrate), la médecine officielle thérapeutique était une véritable catastrophe. '''Les médicaments utilisés étaient en petit nombre et ils étaient dangereux: citons les saignées répétées, le mercure. Bref, la médecine officielle''' qui a connu un fantastique développement pour tout ce qui a concerné l'isolement des maladies et les méthodes de diagnostic, surtout vers la fin du XIXe siècle, '''était totalement carente''' [?] '''en matière de thérapeutique. Et non seulement elle était carente mais elle était dangereuse. Par conséquent à tout prendre, il valait mieux ne rien faire que d'appliquer une méthode dangereuse, et c'est ce qui a fait le succès de l'homéopathie.''' ...''
 
* [http://archive.wikiwix.com/cache/?url=http://www.union-rationaliste.org/index.php/Les-Cahiers-Rationalistes/Emission-Radio-Les-medecines-paralleles.html&title=http%3A%2F%2Fwww.union-rationaliste.org%2Findex.php%2FLes-Cahiers-Rationalistes%2FEmission-Radio-Les-medecines-paralleles.html  Transcription d'une interview radiophonique de Marcel-Francis KAHN, PUPH honoraire de rhumatologie (Paris), ancien président de la Société Française de Rhumatologie sur Les médecines parallèles, et en l'occurrence sur l'homéopathie (1998).] ''... '''Quand l'homéopathie est née, ä la fin du XVIIIe siècle'', sur les théories vitalistes de Hannemann''' qui d'ailleurs reprenait des travaux antérieurs, (on trouve même la trace de cela dans Hippocrate), la médecine officielle thérapeutique était une véritable catastrophe. '''Les médicaments utilisés étaient en petit nombre et ils étaient dangereux: citons les saignées répétées, le mercure. Bref, la médecine officielle''' qui a connu un fantastique développement pour tout ce qui a concerné l'isolement des maladies et les méthodes de diagnostic, surtout vers la fin du XIXe siècle, '''était totalement carente''' [?] '''en matière de thérapeutique. Et non seulement elle était carente mais elle était dangereuse. Par conséquent à tout prendre, il valait mieux ne rien faire que d'appliquer une méthode dangereuse, et c'est ce qui a fait le succès de l'homéopathie.''' ...''
* [http://www.academie-medecine.fr/publication100035253/ Publication de l'Académie nationale de Médecine sur l'homéopathie (2004)]
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* [http://www.academie-medecine.fr/faut-il-continuer-a-rembourser-les-preparations-homeopathiques/ "Faut-il continuer à rembourser les préparations homéopathiques ?" Publication de l'Académie nationale de Médecine sur l'homéopathie : (Séance du 29 juin 2004)]
 
* http://lhomeopathie.fr/ Une analyse critique Une grande partie des informations de ce site sont issues de l'excellent ouvrage L'homéopathie du Dr Jean-Jacques Aulas
 
* http://lhomeopathie.fr/ Une analyse critique Une grande partie des informations de ce site sont issues de l'excellent ouvrage L'homéopathie du Dr Jean-Jacques Aulas
 
* http://www.pseudo-sciences.org/spip.php?article886 : L’image de l’homéopathie est celle d’une médecine « douce », « naturelle », « traditionnelle ». [...] C’est pourquoi elle est la médecine préférée des écologistes « sentimentaux ». Cette image est d’ailleurs soigneusement entretenue par l’industrie homéopathique. [...] Passons sur le premier de ces termes, l’utilisation de l’adjectif « douce » n’étant là que pour faire paraître « dure » la médecine moderne. En fait une technique médicale n’est ni « dure », ni « douce », elle est, ou n’est pas, efficace. [...] Le qualificatif de médecine naturelle mérite lui, plus d’attention. D’abord parce qu’il s’appuie sur l’inconscient rousseauiste, pour lequel la nature est bonne et les créations humaines mauvaises. Le mythe du bon sauvage a encore frappé ! Peu importe l’éradication de la variole, la disparition de la polio, la maîtrise des maladies infectieuses, les progrès des anticancéreux et des antiviraux. Peu importe la libération des enfants-bulles grâce à l’apport des thérapies géniques. Peu importe que les peuples encore privés, hélas, des progrès médicaux survivent dans des conditions désastreuses avec une espérance de vie deux fois plus faible que la nôtre... De plus, elle est loin de n’utiliser que des végétaux : broyât d’abeilles, de vers de terre, de puces de chats et de chiens ou de chenilles processionnaires sont aussi au programme. Tout cela évoque plus la caverne de la sorcière que l’herboristerie provençale. Bien entendu, les homéopathes se gardent bien d’insister sur ces détails peu ragoûtants et, dignes héritiers du « médecin malgré lui », [...] D’ailleurs l’opposition médecine naturelle médecine moderne est un faux problème. En effet nombre de médicaments actuels sont extraits ou copiés de molécules présentes dans la nature. Depuis l’aspirine, héritière de la décoction de feuilles de saule, jusqu’à l’extrait de pervenches et aux taxoïdes de l’écorce d’if utilisés en chimiothérapie anticancéreuse. Ce que fait le chimiste, c’est extraire la molécule active, la synthétiser, ou en trouver une nouvelle qui présente des groupes fonctionnels équivalents, dans l’espoir d’en éviter les inconvénients, ou de rendre le remède plus efficace. [...]
 
* http://www.pseudo-sciences.org/spip.php?article886 : L’image de l’homéopathie est celle d’une médecine « douce », « naturelle », « traditionnelle ». [...] C’est pourquoi elle est la médecine préférée des écologistes « sentimentaux ». Cette image est d’ailleurs soigneusement entretenue par l’industrie homéopathique. [...] Passons sur le premier de ces termes, l’utilisation de l’adjectif « douce » n’étant là que pour faire paraître « dure » la médecine moderne. En fait une technique médicale n’est ni « dure », ni « douce », elle est, ou n’est pas, efficace. [...] Le qualificatif de médecine naturelle mérite lui, plus d’attention. D’abord parce qu’il s’appuie sur l’inconscient rousseauiste, pour lequel la nature est bonne et les créations humaines mauvaises. Le mythe du bon sauvage a encore frappé ! Peu importe l’éradication de la variole, la disparition de la polio, la maîtrise des maladies infectieuses, les progrès des anticancéreux et des antiviraux. Peu importe la libération des enfants-bulles grâce à l’apport des thérapies géniques. Peu importe que les peuples encore privés, hélas, des progrès médicaux survivent dans des conditions désastreuses avec une espérance de vie deux fois plus faible que la nôtre... De plus, elle est loin de n’utiliser que des végétaux : broyât d’abeilles, de vers de terre, de puces de chats et de chiens ou de chenilles processionnaires sont aussi au programme. Tout cela évoque plus la caverne de la sorcière que l’herboristerie provençale. Bien entendu, les homéopathes se gardent bien d’insister sur ces détails peu ragoûtants et, dignes héritiers du « médecin malgré lui », [...] D’ailleurs l’opposition médecine naturelle médecine moderne est un faux problème. En effet nombre de médicaments actuels sont extraits ou copiés de molécules présentes dans la nature. Depuis l’aspirine, héritière de la décoction de feuilles de saule, jusqu’à l’extrait de pervenches et aux taxoïdes de l’écorce d’if utilisés en chimiothérapie anticancéreuse. Ce que fait le chimiste, c’est extraire la molécule active, la synthétiser, ou en trouver une nouvelle qui présente des groupes fonctionnels équivalents, dans l’espoir d’en éviter les inconvénients, ou de rendre le remède plus efficace. [...]
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