| Gregorian Bivolaru est né en 1952 à Tărtăşeşti, une petite ville roumaine (dans le circonscription administrative de'Ilfov, aujourd'hui Dâmboviţa) à 30 km au nord-ouest de Bucarest, et a fréquenté une école à Bucarest. Il affirme avoir vécu dans son enfance une exprérience de révélation: il lui aurait été révélé qu'il était un yogi tibétain. Bivolaru affirme avoir étudié un grand nombre d'oeuvres qui lui auraient inspiré en 1978 la création d'une forme originale de yoga. Il a d'abord travaillé en tant que plombier. Plus tard, il commença à s'intéresser au yoga. En 1977, il a été accusé de diffuser des images pornographiques et condamné à un an de prison, mais il a pu bénéficier d'une amnistie pendant la dictature de Nicolae Ceauşescu. En 1984, il a été à nouveau condamné, soi-disant pour un complot contre Ceausescu. | | Gregorian Bivolaru est né en 1952 à Tărtăşeşti, une petite ville roumaine (dans le circonscription administrative de'Ilfov, aujourd'hui Dâmboviţa) à 30 km au nord-ouest de Bucarest, et a fréquenté une école à Bucarest. Il affirme avoir vécu dans son enfance une exprérience de révélation: il lui aurait été révélé qu'il était un yogi tibétain. Bivolaru affirme avoir étudié un grand nombre d'oeuvres qui lui auraient inspiré en 1978 la création d'une forme originale de yoga. Il a d'abord travaillé en tant que plombier. Plus tard, il commença à s'intéresser au yoga. En 1977, il a été accusé de diffuser des images pornographiques et condamné à un an de prison, mais il a pu bénéficier d'une amnistie pendant la dictature de Nicolae Ceauşescu. En 1984, il a été à nouveau condamné, soi-disant pour un complot contre Ceausescu. |
| En Janvier 1990 (après la fin du communisme de Ceausescu en Roumanie en 1989) Bivolaru a fondé à Bucarest son "Mişcarea de Integrare Spirituală în Absolut", ou "[[MISA|Mouvement d'Intégration Spirituelle dans l'Absolu]]", en abrégé [[MISA]] ou M.I.S.A.<ref>Mişcarea de Integrare Spirituală în Absolut, Şoseaua Sălaj Nr.2, Bl.126A, parter Sector 5, Bucureşti. telefon/fax (+40) 21- 424 23 69 </ref>, qui a pour mission la diffusion du Yoga et de l'[[Ayurveda]]. Bivolaru a réussi à attirer un grand nombre d'adeptes et même à développer ses activités à l'étranger, où il a ouvert des succursales, en particulier dans les pays nordiques. Suite aux critiques dans les médias roumains, Bivolaru s'est retiré officiellement en 1995 de la direction du mouvement, mais il en reste cependant son leader spirituel. Le mouvement a compté jusqu'à 40 ashrams ou «centres de recherche, d'enseignement et de guérison», avec environ 200 instructeurs. Dans la Roumanie postcommuniste, [[MISA]], avec ses étranges activités ésotériques, s'est heurté à une levée de boucliers. Furent reprochés, entre autres, le "blasphème" et des activités "anti-chrétiennes». | | En Janvier 1990 (après la fin du communisme de Ceausescu en Roumanie en 1989) Bivolaru a fondé à Bucarest son "Mişcarea de Integrare Spirituală în Absolut", ou "[[MISA|Mouvement d'Intégration Spirituelle dans l'Absolu]]", en abrégé [[MISA]] ou M.I.S.A.<ref>Mişcarea de Integrare Spirituală în Absolut, Şoseaua Sălaj Nr.2, Bl.126A, parter Sector 5, Bucureşti. telefon/fax (+40) 21- 424 23 69 </ref>, qui a pour mission la diffusion du Yoga et de l'[[Ayurveda]]. Bivolaru a réussi à attirer un grand nombre d'adeptes et même à développer ses activités à l'étranger, où il a ouvert des succursales, en particulier dans les pays nordiques. Suite aux critiques dans les médias roumains, Bivolaru s'est retiré officiellement en 1995 de la direction du mouvement, mais il en reste cependant son leader spirituel. Le mouvement a compté jusqu'à 40 ashrams ou «centres de recherche, d'enseignement et de guérison», avec environ 200 instructeurs. Dans la Roumanie postcommuniste, [[MISA]], avec ses étranges activités ésotériques, s'est heurté à une levée de boucliers. Furent reprochés, entre autres, le "blasphème" et des activités "anti-chrétiennes». |