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Né dans une famille catholique de vignerons, il fit des études pour devenir instituteur, et envisagea aussi un moment une carrière ecclésiastique. Dès son plus jeune âge, il manifesta des dons pour la musique, et eut l’occasion d’apprendre à jouer de l’orgue, du piano et du violon.
 
Né dans une famille catholique de vignerons, il fit des études pour devenir instituteur, et envisagea aussi un moment une carrière ecclésiastique. Dès son plus jeune âge, il manifesta des dons pour la musique, et eut l’occasion d’apprendre à jouer de l’orgue, du piano et du violon.
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Il s'intéressa aussi à l'astronomie et à la littérature mystique et occulte. Il connaissait les oeuvres de Jakob Boehme, de Johann Tennhard, d'Emanuel Swedenborg,et de Johann Heinrich Jung-Stilling. Il lisait les livres du médecin Julius Kerner (qui publia plusieurs livres traitant du magnétisme animal et un livre sur Franz Anton Mesmer <ref>http://www.zetetique.fr/index.php/dossiers/75-magnetisme-animal</ref>) et du franc-maçon Johann Baptist Krebs ,alias Johann Baptiste Kerning).
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Il s'intéressa aussi à l'astronomie et à la littérature mystique et occulte. Il connaissait les oeuvres de Jakob Boehme, de Johann Tennhard, d'Emanuel Swedenborg,et de Johann Heinrich Jung-Stilling. Il lisait les livres du médecin Julius Kerner (qui publia plusieurs livres traitant du magnétisme animal et un livre sur Franz Anton Mesmer <ref>http://www.zetetique.fr/index.php/dossiers/75-magnetisme-animal</ref>) et du franc-maçon Johann Baptist Krebs (alias Johann Baptiste Kerning).
    
Lorber occupa quelques temps un poste de précepteur dans une famille à Graz, puis, abandonnant l’enseignement, vécut très modestement en donnant quelques leçons de musique et en accordant des pianos, ne quittant Graz que pour de courtes périodes. Il se produisait quelquefois en concert et à l’occasion écrivait des critiques musicales dans le journal local. En 1840 il reçut un appel de Dieu.  
 
Lorber occupa quelques temps un poste de précepteur dans une famille à Graz, puis, abandonnant l’enseignement, vécut très modestement en donnant quelques leçons de musique et en accordant des pianos, ne quittant Graz que pour de courtes périodes. Il se produisait quelquefois en concert et à l’occasion écrivait des critiques musicales dans le journal local. En 1840 il reçut un appel de Dieu.  
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