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→Le baquet de Mesmer
[[image:Baquet de Mesmer.jpg|Baquet de Mesmer Source: Musée d'Histoire de la médecine et de la Pharmacie de Lyon|450px|thumb]]
[[image:Baquet de Mesmer.jpg|Baquet de Mesmer Source: Musée d'Histoire de la médecine et de la Pharmacie de Lyon|450px|thumb]]
[[image:Baquet_schema.jpg|Source <ref>https://hypnose-clinique.ca/conference/hypnosis2018/</ref>|400px|thumb]]
[[image:Baquet_schema.jpg|Source <ref>https://hypnose-clinique.ca/conference/hypnosis2018/</ref>|400px|thumb]]
En 1780, ayant en France plus de patients qu'il n'en peut traiter individuellement, Mesmer introduit la méthode de traitement collectif dite du « baquet ».
En 1780, ayant en France plus de patients qu'il n'en peut traiter individuellement, Mesmer introduit la méthode de traitement collectif dite du « baquet ». <ref>https://fr.wikipedia.org/wiki/Franz-Anton_Mesmer</ref>
La cuve en bois, garni de morceaux de fer magnétisables à l'intérieur, était rempli d'eau jusqu'au bord. A travers un couvercle perforé, des barres de fer courbées ont été insérées, qui ont été effilées aux extrémités supérieures orientées vers l'extérieur. Des fils de soie étaient attachés aux barres de fer à l'intérieur des baquets. Il est souvent ignoré que Mesmer n'utilisait pas seulement des aimants permanents, mais a également exposé les patients à de faibles décharges électriques. À cette fin, dans sa cuve se trouvaient des bouteilles dites de Leyde, des condensateurs pouvant stocker des charges électriques <ref>https://fr.wikipedia.org/wiki/Bouteille_de_Leyde</ref>, lesquelles pouvaient ensuite être déchargées via des électrodes accessibles.
La cuve en bois, garni de morceaux de fer magnétisables à l'intérieur, était rempli d'eau jusqu'au bord. A travers un couvercle perforé, des barres de fer courbées ont été insérées, qui ont été effilées aux extrémités supérieures orientées vers l'extérieur. Des fils de soie étaient attachés aux barres de fer à l'intérieur des baquets. Il est souvent ignoré que Mesmer n'utilisait pas seulement des aimants permanents, mais a également exposé les patients à de faibles décharges électriques. À cette fin, dans sa cuve se trouvaient des bouteilles dites de Leyde, des condensateurs pouvant stocker des charges électriques <ref>https://fr.wikipedia.org/wiki/Bouteille_de_Leyde</ref>, lesquelles pouvaient ensuite être déchargées via des électrodes accessibles.