Modifications

Aller à la navigation Aller à la recherche
746 octets supprimés ,  16 février 2018 à 15:15
Ligne 15 : Ligne 15 :     
<ref>http://doczz.fr/doc/6442573/m%C3%A9moire-en-r%C3%A9plique---next-up</ref> <ref>http://www.ehs-mcs.org/en/diagnostic-criteria-of-emfis_192.html</ref> <ref>https://alzheimertemoignage.wordpress.com/2016/10/14/encephaloscan-et-alzheimer/</ref>
 
<ref>http://doczz.fr/doc/6442573/m%C3%A9moire-en-r%C3%A9plique---next-up</ref> <ref>http://www.ehs-mcs.org/en/diagnostic-criteria-of-emfis_192.html</ref> <ref>https://alzheimertemoignage.wordpress.com/2016/10/14/encephaloscan-et-alzheimer/</ref>
  −
=== Description par le Prof Perronne lui-même de la technique permettant de réaliser un Encéphaloscan ===
  −
"''L’échodoppler pulsé centimétrique ou la Tomosphygmographie Cérébrale Ultrasonore (TSCU) est une technique d’exploration fonctionnelle cérébrale non invasive, mobile, qui consiste à détecter le pouls cérébral au moyen d’une sonde à ultrasons émettrice-réceptrice fonctionnant en régime pulsé à 2 MHz, placée en position supra-auriculaire et perpendiculairement au plan sagittal du crâne. Diverses pathologies peuvent être mises en évidence grâce à cette technique peu spécifique mais très sensible. Ainsi, selon le contexte clinique et le territoire concerné, une hypopulsatilité permettra le diagnostic précoce d’un accident vasculaire cérébral, mettra en évidence une insuffisance vertébrobasilaire, une migraine ou une tumeur cérébrale. Les maladies neurodégénératives telles l’Alzheimer ont également un profil caractéristique d’hypopulsatilité prédominant à droite.''"
      
== Les activités et l'entourage de Dominique Belpomme ==
 
== Les activités et l'entourage de Dominique Belpomme ==
Ligne 43 : Ligne 40 :     
''"L’une des plaintes aurait pour objet de dénoncer la pertinence de l’encephloscan et aurait pour origine la direction de l’agence de santé. La seconde proviendrait du Directeur du Service des Études Médicales d’EDF, Jacques Lambrozo, qui aurait souhaité alerter sur le caractère non individualisé des certificats de contre-indication concernant Linky.<br><br>L’encephaloscan, qui est un examen par ultrasons n’aurait jamais été évalué par la Haute autorité de Santé (HAS) et n’aurait jamais fait l’objet d’une publication dans une revue scientifique. Ce qui contreviendrait à l’article 33 et 39 du code de déontologie qui préconise que « Le médecin doit toujours élaborer son diagnostic avec le plus grand soin, en y consacrant le temps nécessaire, en s’aidant dans toute la mesure du possible des méthodes scientifiques les mieux adaptées » et ils « ne peuvent proposer aux malades (…] un remède ou un procédé illusoire ou insuffisamment éprouvé ».<br><br>En ce qui concerne le certificat de contre-indication, c’est le fait de reprendre à l’identique la même formulation en ne modifiant que le nom du patient et semble contrevenir à l’article 35 de ce même code. Cette pratique pourrait contrevenir au principe d’individualisation et de prise en compte de la personnalité de chaque patient garanti par le code de déontologie.<br><br>Autant pour le premier grief il semble un peu logique de remettre en cause un examen qui n’a jamais fait ses preuves, autant la question de l’individualisation semble un peu tirée par les cheveux puisque c’est une consultation spécialisée avec des malades qui ont, selon les critères de ce professeur, une même pathologie et ayant la même origine, donc en quoi une personnalisation de la contre-indication changerait quoi que ce soit… [...]"'' <ref>https://electrosensible.info/2017/12/20/le-pr-belpomme-se-serait-il-bruler-les-ailes-aupres-denedis/ Publié le 20-12-2017</ref>
 
''"L’une des plaintes aurait pour objet de dénoncer la pertinence de l’encephloscan et aurait pour origine la direction de l’agence de santé. La seconde proviendrait du Directeur du Service des Études Médicales d’EDF, Jacques Lambrozo, qui aurait souhaité alerter sur le caractère non individualisé des certificats de contre-indication concernant Linky.<br><br>L’encephaloscan, qui est un examen par ultrasons n’aurait jamais été évalué par la Haute autorité de Santé (HAS) et n’aurait jamais fait l’objet d’une publication dans une revue scientifique. Ce qui contreviendrait à l’article 33 et 39 du code de déontologie qui préconise que « Le médecin doit toujours élaborer son diagnostic avec le plus grand soin, en y consacrant le temps nécessaire, en s’aidant dans toute la mesure du possible des méthodes scientifiques les mieux adaptées » et ils « ne peuvent proposer aux malades (…] un remède ou un procédé illusoire ou insuffisamment éprouvé ».<br><br>En ce qui concerne le certificat de contre-indication, c’est le fait de reprendre à l’identique la même formulation en ne modifiant que le nom du patient et semble contrevenir à l’article 35 de ce même code. Cette pratique pourrait contrevenir au principe d’individualisation et de prise en compte de la personnalité de chaque patient garanti par le code de déontologie.<br><br>Autant pour le premier grief il semble un peu logique de remettre en cause un examen qui n’a jamais fait ses preuves, autant la question de l’individualisation semble un peu tirée par les cheveux puisque c’est une consultation spécialisée avec des malades qui ont, selon les critères de ce professeur, une même pathologie et ayant la même origine, donc en quoi une personnalisation de la contre-indication changerait quoi que ce soit… [...]"'' <ref>https://electrosensible.info/2017/12/20/le-pr-belpomme-se-serait-il-bruler-les-ailes-aupres-denedis/ Publié le 20-12-2017</ref>
 +
 +
Voir aussi l'article du mensuel Sciences et Avenir "Electrosensibilité : le Pr Belpomme poursuivi par l'Ordre des Médecins
 +
Par Camille Gaubert le 02.02.2018 <ref>https://www.sciencesetavenir.fr/sante/e-sante/electrosensibilite-le-pr-belpomme-poursuivi-par-l-ordre-des-medecins_120479</ref>.
    
== Liens externes ==
 
== Liens externes ==
12 790

modifications

Menu de navigation