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== Richard Horowitz intervient en France ==
 
== Richard Horowitz intervient en France ==
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[[image:Horowitz-Doctors-Data.JPG|Capture d'écran <ref>https://www.youtube.com/watch?v=fqfO5QEbCKA Dr. Richard Horowitz, MD discusses Lyme & Tick-borne Diseases at the 2016 Lyme Conference at Binghamton University, Co-hosted by Southern Tier Lyme Support, Inc. May 7 2016.Dr. Richard Horowitz, MD discusses Lyme & Tick-borne Diseases at the 2016 Lyme Conference at Binghamton University, Co-hosted by Southern Tier Lyme Support, Inc. May 7 2016</ref> On peut constater que Richard Horowitz fait effectuer des tests de métaux lourds dans les urines après provocation (en français on utilise aussi le terme de  mobilisation) par le laboratoire d'analyses DOCTOR'S DATA, un laboratoire douteux utilisé par les praticiens proposant des [[Thérapie par chélation|thérapies par chélation]],
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<ref>https://www.quackwatch.org/01QuackeryRelatedTopics/Tests/doctors_data.html</ref> <ref>https://www.quackwatch.org/01QuackeryRelatedTopics/Tests/urine_toxic.html How the "Urine Toxic Metals" Test
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Is Used to Mislead Patients Stephen Barrett, M.D. (Comment le test "Urine Toxic Metals" est utilisé pour tromper les patients) </ref> <ref>http://www.sceptiques.qc.ca/quackwatch/chelation.html</ref>, les cranks de l'autisme, etc.|600px|thumb]]
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=== En 2014 à Strasbourg ===
 
=== En 2014 à Strasbourg ===
 
L'association Lyme sans frontières, dont Judith Albertat est la présidente, a organisé le 6 juin 2014 une journée d'étude à l'intention des médecins et professionnels de santé animée par le Dr Horowitz<ref>http://www.associationlymesansfrontieres.com/wp-content/uploads</ref><ref>Flyer-Horowitz-06-juin-2014.pdf</ref>.
 
L'association Lyme sans frontières, dont Judith Albertat est la présidente, a organisé le 6 juin 2014 une journée d'étude à l'intention des médecins et professionnels de santé animée par le Dr Horowitz<ref>http://www.associationlymesansfrontieres.com/wp-content/uploads</ref><ref>Flyer-Horowitz-06-juin-2014.pdf</ref>.
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25 juin 1993. CONCLUSIONS FINALES SCIENTIFIQUE FAUTE, NIH GUIDE, Volume 22, Numéro 23. Raphael B. Stricker, MD, (ancien président du groupe de Lyme ILADS).<br>Une enquête menée par l'Université a constaté que les données falsifiées Dr Stricker pour un manuscrit et une recherche de rapports de publication soutenue par PHS sur le SIDA. Dans le manuscrit, le Dr Stricker sélectivement des données supprimées qui ne supportait pas son hypothèse, et a rapporté des données toujours positives alors que l'une des quatre expériences ont donné des résultats positifs. Dr Stricker a exécuté une exclusion volontaire et la Convention de règlement dans lequel il a accepté de ne pas demander des fonds fédéraux de subventions ou d'un contrat et ne servira pas à des comités consultatifs PHS, des conseils ou des groupes d'examen par les pairs pour une période de trois ans à compter du 1er Avril 1993. Le publication "antigène plaquettaire cible chez les hommes homosexuels atteints de thrombocytopénie immunitaire" dans le New England Journal of Medicine, 313: 1315-1380, 1985 a été rentrée (New England Journal of Medicine, 325: 1487,1991).  
 
25 juin 1993. CONCLUSIONS FINALES SCIENTIFIQUE FAUTE, NIH GUIDE, Volume 22, Numéro 23. Raphael B. Stricker, MD, (ancien président du groupe de Lyme ILADS).<br>Une enquête menée par l'Université a constaté que les données falsifiées Dr Stricker pour un manuscrit et une recherche de rapports de publication soutenue par PHS sur le SIDA. Dans le manuscrit, le Dr Stricker sélectivement des données supprimées qui ne supportait pas son hypothèse, et a rapporté des données toujours positives alors que l'une des quatre expériences ont donné des résultats positifs. Dr Stricker a exécuté une exclusion volontaire et la Convention de règlement dans lequel il a accepté de ne pas demander des fonds fédéraux de subventions ou d'un contrat et ne servira pas à des comités consultatifs PHS, des conseils ou des groupes d'examen par les pairs pour une période de trois ans à compter du 1er Avril 1993. Le publication "antigène plaquettaire cible chez les hommes homosexuels atteints de thrombocytopénie immunitaire" dans le New England Journal of Medicine, 313: 1315-1380, 1985 a été rentrée (New England Journal of Medicine, 325: 1487,1991).  
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25 juin 1993. CONCLUSIONS FINALES SCIENTIFIQUE FAUTE, NIH GUIDE, Volume 22, Numéro 23. Raphael B. Stricker, MD, (ancien président du groupe de Lyme ILADS).<br>Une enquête menée par l'Université a constaté que les données falsifiées Dr Stricker pour un manuscrit et une recherche de rapports de publication soutenue par PHS sur le SIDA. Dans le manuscrit, le Dr Stricker sélectivement des données supprimées qui ne supportait pas son hypothèse, et a rapporté des données toujours positives alors que l' une des quatre expériences ont donné des résultats positifs. Dr Stricker a exécuté une exclusion volontaire et la Convention de règlement dans lequel il a accepté de ne pas demander des fonds fédéraux de subventions ou d'un contrat et ne servira pas à des comités consultatifs PHS, des conseils ou des groupes d'examen par les pairs pour une période de trois ans à compter du 1er Avril 1993. Le publication "antigène plaquettaire cible chez les hommes homosexuels atteints de thrombocytopénie immunitaire" dans le New England Journal of Medicine, 313: 1315-1380, 1985 a été rentrée (New England Journal of Medicine, 325: 1487,1991).
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25 juin 1993. CONCLUSIONS FINALES SCIENTIFIQUE FAUTE, NIH GUIDE, Volume 22, Numéro 23. Raphael B. Stricker, MD, (ancien président du groupe de Lyme ILADS).<br>Une enquête menée par l'Université a constaté que les données falsifiées Dr Stricker pour un manuscrit et une recherche de rapports de publication soutenue par PHS sur le SIDA. Dans le manuscrit, le Dr Stricker sélectivement des données supprimées qui ne supportait pas son hypothèse, et a rapporté des données toujours positives alors que l'une des quatre expériences ont donné des résultats positifs. Dr Stricker a exécuté une exclusion volontaire et la Convention de règlement dans lequel il a accepté de ne pas demander des fonds fédéraux de subventions ou d'un contrat et ne servira pas à des comités consultatifs PHS, des conseils ou des groupes d'examen par les pairs pour une période de trois ans à compter du 1er Avril 1993. Le publication "antigène plaquettaire cible chez les hommes homosexuels atteints de thrombocytopénie immunitaire" dans le New England Journal of Medicine, 313: 1315-1380, 1985 a été rentrée (New England Journal of Medicine, 325: 1487,1991).
    
== Liens externes ==
 
== Liens externes ==
 
* https://www.quackwatch.org/01QuackeryRelatedTopics/lyme.html Lyme Disease: Questionable Diagnosis and Treatment. Edward McSweegan, Ph.D.<br>L'article contient, entre autres, une liste de traitements pratiquées pour traiter la maladie de lyme inefficaces ou même dangereux (Hyperbaric Oxygen Therapy (HBOT), Colloidal Silver, Rife Machines, Dangerous Injections, Overuse of Intravenous Antibiotics), des fraudes de laboratoires d'analyse, ainsi que des cas d'actions juridiques et de sanctions ordinales contre des médecins ou des praticiens de santé déviants et précise les conséquences des pratiques de ces personnes: plusieurs décès sont mentionnés. "''En dépit des décès et des poursuites, le soutien aux LLMDs [médecins érudits/compétents/formés pour Lyme] demeure fort parmi les groupes activistes, même si certains de ces médecins tentent d'étendre l'éventail des maladies qui peuvent être attribuées à B. burgdorferi et, par conséquent, traités avec des antibiotiques à long terme. Certaines de ces maladies incluent des maladies complexes ou dégénératives telles que l'autisme, la sclérose en plaques et la sclérose latérale amyotrophique.''"
 
* https://www.quackwatch.org/01QuackeryRelatedTopics/lyme.html Lyme Disease: Questionable Diagnosis and Treatment. Edward McSweegan, Ph.D.<br>L'article contient, entre autres, une liste de traitements pratiquées pour traiter la maladie de lyme inefficaces ou même dangereux (Hyperbaric Oxygen Therapy (HBOT), Colloidal Silver, Rife Machines, Dangerous Injections, Overuse of Intravenous Antibiotics), des fraudes de laboratoires d'analyse, ainsi que des cas d'actions juridiques et de sanctions ordinales contre des médecins ou des praticiens de santé déviants et précise les conséquences des pratiques de ces personnes: plusieurs décès sont mentionnés. "''En dépit des décès et des poursuites, le soutien aux LLMDs [médecins érudits/compétents/formés pour Lyme] demeure fort parmi les groupes activistes, même si certains de ces médecins tentent d'étendre l'éventail des maladies qui peuvent être attribuées à B. burgdorferi et, par conséquent, traités avec des antibiotiques à long terme. Certaines de ces maladies incluent des maladies complexes ou dégénératives telles que l'autisme, la sclérose en plaques et la sclérose latérale amyotrophique.''"
 
* http://www.maladie-lyme-traitements.com/traitements.html Une liste de traitements proposés inquiétante: 1) L'Argent Colloïdal : un antiseptique naturel à large spectre.<ref>https://www.psiram.com/ge/index.php/Kolloidales_Silber</ref>. 2) [[Thérapie de Gerson|Gerson : une thérapie à base de jus frais bourrés d'anti-oxidants]]. 3) [[Oxygénothérapie hyperbare|HBOT : Hyperbaric Oxygen Therapy]]. 4) Machine Rife : un générateur d'ondes magnétiques<ref>https://www.psiram.com/ge/index.php/Royal_Raymond_Rife</ref>. 5) TIC TOX : une solution herbale potente [qui était vendue par le pharmacien Bernard Christophe et qui est interdite n'ayant pas été testée]. 6) Vitamine C à haute dose en intraveineuse<ref>https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/11049799 Une femme de 30 ans est décédée du fait d'un grand thrombus septique de Candida parapsilosis situé à la pointe d'un cathéter de Groshong. Le cathéter avait été en place pendant 28 mois pour l'administration d'un cours de 27 mois de céfotaxime intraveineux pour un diagnostic non fondé de la maladie de Lyme chronique.</ref>. 7) Antibiotiques, le traitement classique
 
* http://www.maladie-lyme-traitements.com/traitements.html Une liste de traitements proposés inquiétante: 1) L'Argent Colloïdal : un antiseptique naturel à large spectre.<ref>https://www.psiram.com/ge/index.php/Kolloidales_Silber</ref>. 2) [[Thérapie de Gerson|Gerson : une thérapie à base de jus frais bourrés d'anti-oxidants]]. 3) [[Oxygénothérapie hyperbare|HBOT : Hyperbaric Oxygen Therapy]]. 4) Machine Rife : un générateur d'ondes magnétiques<ref>https://www.psiram.com/ge/index.php/Royal_Raymond_Rife</ref>. 5) TIC TOX : une solution herbale potente [qui était vendue par le pharmacien Bernard Christophe et qui est interdite n'ayant pas été testée]. 6) Vitamine C à haute dose en intraveineuse<ref>https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/11049799 Une femme de 30 ans est décédée du fait d'un grand thrombus septique de Candida parapsilosis situé à la pointe d'un cathéter de Groshong. Le cathéter avait été en place pendant 28 mois pour l'administration d'un cours de 27 mois de céfotaxime intraveineux pour un diagnostic non fondé de la maladie de Lyme chronique.</ref>. 7) Antibiotiques, le traitement classique
* http://www.lymeblog.com/modules.php?name=News&file=article&sid=1041 Stalking Dr. Steere Over Lyme Disease NY Times Magazine June 17, 2001 By DAVID GRANN. Article "Harcèlement du Dr. Steere" dans le New-York Time.<br>L'an dernier, le Dr Allen Steere, l'un des plus renommés chercheurs médicaux et rhumatologues du monde [Sterre est le chercheur qui a découvert et donné son nom à la maladie de Lyme puis a commencé à la traiter avec des antibiotiques]<ref>https://en.wikipedia.org/wiki/Allen_Steere</ref>, a commencé à craindre les patients. Ce n'était pas tant ceux qu'il avait traités, bien qu'il a parfois eu à se soucier d'eux également, mais ceux qui avaient commencé à appeler son bureau, le menaçant en prétendant qu'il était responsable de leurs souffrances. Ils insistaient [arguant] qu'il leur refusait un traitement pour une forme aiguë de la maladie de Lyme chronique, une forme de l'infection d'ordinaire plus modérée, qu'ils croyaient s'être glissée dans le sang sans y être détectée et qui y reste pendant des années ce qui provoque douleurs articulaires, fatigue chronique, dépression suicidaire, paralysie et même la mort. Affirmant leurs diagnostics, il y avait un nombre croissant de patients, de groupes de défense/plaidoyer, de praticiens et de psychiatres qui ont fait valoir que la maladie était devenue une épidémie à grande échelle, un fléau des temps modernes invalidant des milliers d'Américains.<br> En tant que l'un des experts les plus éminents du monde sur la maladie, Steere ne croyait pas que beaucoup d'entre eux aient la maladie de Lyme, mais quelque chose d'autre - fatigue chronique ou maladie mentale ou fibromyalgie - et il avait refusé de les traiter avec des antibiotiques. De nombreux médecins et compagnies d'assurance avaient suivi son exemple et, par conséquent, des hordes de patients ont commencé à le harceler. Ils se sont présentés à ses engagements publics [conférences:exposés], tenant des panneaux qui disaient "Combien de personnes de plus tuerez-vous ?" Et "Évitez Steere!" Ils l'ont dépeint dans les médias comme un démon, pire que les spirochètes, la bactérie des tiques, dont ils prétendaient qu'elle habitait dans leurs corps et que, à cause de son diagnostic restrictif, ils ne pouvaient pas éliminer. [...]<br>En août 1993, le Comité sénatorial Travail et ressources humaines a demandé à Steere de discuter de ses résultats avec d'autres experts en ce domaine. L'enjeu était la direction de millions de dollars fédéraux dans la recherche, les lignes directrices juridiques pour le traitement des patients et, aux yeux d'un nombre croissant de patients, leur survie même.<br>Quand Steere arriva, la galerie était déjà remplie de spectateurs, dont beaucoup portaient des rubans verts pour indiquer leur solidarité avec les patients de Lyme. Leur attention semblait centrée sur un pratiquant peu connu de Long Island nommé Joseph Burrascano Jr. Contrairement à Steere, il n'avait jamais fait de recherche scientifique, mais il a informé le Comité qu'il avait vu plus de 1000 patients de Lyme et que son protocole avait été traduit en trois langues.<br>Comme Steere le regardait, le jeune médecin commença une tirade contre l'établissement médical. Il avertit que de nombreux chercheurs ont joué délibérément sur la gravité de la maladie de Lyme chronique. [...]
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* http://www.lymeblog.com/modules.php?name=News&file=article&sid=1041 Stalking Dr. Steere Over Lyme Disease NY Times Magazine June 17, 2001 By DAVID GRANN. Article "Harcèlement du Dr. Steere" dans le New-York Time.<br>L'an dernier, le Dr Allen Steere, l'un des plus renommés chercheurs médicaux et rhumatologues du monde [Sterre est le chercheur qui a découvert et donné son nom à la maladie de Lyme puis a commencé à la traiter avec des antibiotiques]<ref>https://en.wikipedia.org/wiki/Allen_Steere</ref>, a commencé à craindre les patients. Ce n'était pas tant ceux qu'il avait traités, bien qu'il a parfois eu à se soucier d'eux également, mais ceux qui avaient commencé à appeler son bureau, le menaçant en prétendant qu'il était responsable de leurs souffrances. Ils insistaient [arguant] qu'il leur refusait un traitement pour une forme aiguë de la maladie de Lyme chronique, une forme de l'infection d'ordinaire plus modérée, qu'ils croyaient s'être glissée dans le sang sans y être détectée et qui y reste pendant des années ce qui provoque douleurs articulaires, fatigue chronique, dépression suicidaire, paralysie et même la mort. Affirmant leurs diagnostics, il y avait un nombre croissant de patients, de groupes de défense/plaidoyer, de praticiens et de psychiatres qui ont fait valoir que la maladie était devenue une épidémie à grande échelle, un fléau des temps modernes invalidant des milliers d'Américains.<br> En tant que l'un des experts les plus éminents du monde sur la maladie, Steere ne croyait pas que beaucoup d'entre eux aient la maladie de Lyme, mais quelque chose d'autre - fatigue chronique ou maladie mentale ou fibromyalgie - et il avait refusé de les traiter avec des antibiotiques. De nombreux médecins et compagnies d'assurance avaient suivi son exemple et, par conséquent, des hordes de patients ont commencé à le harceler. Ils se sont présentés à ses engagements publics [conférences:exposés], tenant des panneaux qui disaient "Combien de personnes de plus tuerez-vous ?" Et "Évitez Steere!" Ils l'ont dépeint dans les médias comme un démon, pire que les spirochètes, la bactérie des tiques, dont ils prétendaient qu'elle habitait dans leurs corps et que, à cause de son diagnostic restrictif, ils ne pouvaient pas éliminer. [...]<br>En août 1993, le Comité sénatorial Travail et ressources humaines a demandé à Steere de discuter de ses résultats avec d'autres experts en ce domaine. L'enjeu était la direction de millions de dollars fédéraux dans la recherche, les lignes directrices juridiques pour le traitement des patients et, aux yeux d'un nombre croissant de patients, leur survie même.<br>Quand Steere arriva, la galerie était déjà remplie de spectateurs, dont beaucoup portaient des rubans verts pour indiquer leur solidarité avec les patients de Lyme. Leur attention semblait centrée sur un pratiquant peu connu de Long Island nommé Joseph Burrascano Jr. Contrairement à Steere, il n'avait jamais fait de recherche scientifique, mais il a informé le Comité qu'il avait vu plus de 1000 patients de Lyme et que son protocole avait été traduit en trois langues.<br>Comme Steere le regardait, le jeune médecin commença une tirade contre l'établissement médical. Il avertit que de nombreux chercheurs ont joué délibérément sur la gravité de la maladie de Lyme chronique. [...]
 
* https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4489928/ Antiscience and ethical concerns associated with advocacy of Lyme disease. Paul G Auwaerter, MD, Johan S Bakken, MD, PhD, Prof Raymond J Dattwyler, MD, Prof J Stephen Dumler, MD, Prof John J Halperin, MD, Edward McSweegan, MD, Prof Robert B Nadelman, MD, Susan O’Connell, MD, Prof Eugene D Shapiro, MD, Prof Sunil K Sood, MD, Prof Allen C Steere, MD, Prof Arthur Weinstein, MD, and Prof Gary P Wormser, MD Published: September 2011
 
* https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4489928/ Antiscience and ethical concerns associated with advocacy of Lyme disease. Paul G Auwaerter, MD, Johan S Bakken, MD, PhD, Prof Raymond J Dattwyler, MD, Prof J Stephen Dumler, MD, Prof John J Halperin, MD, Edward McSweegan, MD, Prof Robert B Nadelman, MD, Susan O’Connell, MD, Prof Eugene D Shapiro, MD, Prof Sunil K Sood, MD, Prof Allen C Steere, MD, Prof Arthur Weinstein, MD, and Prof Gary P Wormser, MD Published: September 2011
 
* http://sci.tech-archive.net/Archive/sci.med.diseases.lyme/2008-01/msg00210.html Updating the Rogues Gallery of LLMDs. 26 Jan 2008. [...]<br>April 23, 2002. Dr. Joseph Burrascano, following hearing before the New York State OPMC on his medical treatments of Lyme patients, was placed on probation with a practice monitor.<br>2001. Dr. Richard Horowitz, who had been in hearings with the NYS OPMC since the spring of 2001, was offered a settlement consisting of three months suspension.
 
* http://sci.tech-archive.net/Archive/sci.med.diseases.lyme/2008-01/msg00210.html Updating the Rogues Gallery of LLMDs. 26 Jan 2008. [...]<br>April 23, 2002. Dr. Joseph Burrascano, following hearing before the New York State OPMC on his medical treatments of Lyme patients, was placed on probation with a practice monitor.<br>2001. Dr. Richard Horowitz, who had been in hearings with the NYS OPMC since the spring of 2001, was offered a settlement consisting of three months suspension.
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