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En mars 1986, Hamer s’installa à Cologne. L'autorisation médicale (approbation) lui fut retirée le 8 avril 1986. Le tribunal du district de Coblence se référait là à l'article 5 du règlement fédéral médical (voir Urteilsbegründug Az 9 K/215/87) ainsi qu’à deux expertises psychiatriques du Prof. B. Pflug de l'université de Francfort du 27 novembre 1985 et du 12 février 1986. Selon la décision de justice du tribunal administratif supérieur (OVG), la révocation de l'approbation résulte de ''[...] pour le retrait de l'approbation, aurait été considéré exclusivement la structure de personnalité particulière du plaignant (Hamer) et non pas un attachement à la théorie de la loi d’airain du cancer [...]'' Plus loin il est dit : ''[...] le décisif n’est pas – que ce soit souligné encore une fois étant donné le contenu de l'acte d'appel - que le demandeur n'utilise pas et ne propage pas « des connaissances scientifiques incontestées", mais avec quelle attitude et comment il le fait [...]''. Sur la même problème, le service d'examen d’état de l'Hesse écrivait le 10 août 2007 à Hamer : ''[...]en raison de votre certitude délirante que vos connaissances scientifiques sont inattaquables/intouchables, vous n'étiez plus en état d'exécuter vos traitements médicaux pratiques dans des conditions médicales [...]''. Le retrait de l'agrémentation est à considérer en relation avec les dénonciations de deux médecins qui ont compris les conditions/état scandaleuses de sa clinique privée de Katzenelnbogen, déclarée comme pension, et qui l’ont dénoncé quelques mois avant le retrait de l’agrémentation. (voir là-dessus : documentation sur la NMG)
 
En mars 1986, Hamer s’installa à Cologne. L'autorisation médicale (approbation) lui fut retirée le 8 avril 1986. Le tribunal du district de Coblence se référait là à l'article 5 du règlement fédéral médical (voir Urteilsbegründug Az 9 K/215/87) ainsi qu’à deux expertises psychiatriques du Prof. B. Pflug de l'université de Francfort du 27 novembre 1985 et du 12 février 1986. Selon la décision de justice du tribunal administratif supérieur (OVG), la révocation de l'approbation résulte de ''[...] pour le retrait de l'approbation, aurait été considéré exclusivement la structure de personnalité particulière du plaignant (Hamer) et non pas un attachement à la théorie de la loi d’airain du cancer [...]'' Plus loin il est dit : ''[...] le décisif n’est pas – que ce soit souligné encore une fois étant donné le contenu de l'acte d'appel - que le demandeur n'utilise pas et ne propage pas « des connaissances scientifiques incontestées", mais avec quelle attitude et comment il le fait [...]''. Sur la même problème, le service d'examen d’état de l'Hesse écrivait le 10 août 2007 à Hamer : ''[...]en raison de votre certitude délirante que vos connaissances scientifiques sont inattaquables/intouchables, vous n'étiez plus en état d'exécuter vos traitements médicaux pratiques dans des conditions médicales [...]''. Le retrait de l'agrémentation est à considérer en relation avec les dénonciations de deux médecins qui ont compris les conditions/état scandaleuses de sa clinique privée de Katzenelnbogen, déclarée comme pension, et qui l’ont dénoncé quelques mois avant le retrait de l’agrémentation. (voir là-dessus : documentation sur la NMG)
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Des participants à des séminaires à Cologne relatent qu'Hamer a raconté après le retrait de l’agrément qu'il est lui-même, depuis le retrait de l’agrément, dans une constellation schizophrénique à cause du district, qui provoque un délire de la persécution.
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Des participants à des séminaires à Cologne relatent qu'Hamer a raconté après le retrait de l’agrément qu'il est lui-même, depuis le retrait de l’agrément, ''dans une constellation schizophrénique à cause du district'', qui provoque un délire de la persécution.
    
==Le temps après le retrait de l’approbation/agrément==
 
==Le temps après le retrait de l’approbation/agrément==
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Depuis le retrait de l'agrément, Hamer a traité cependant d’autres patients sans qualification en tant que médecin ou thérapeute. Ainsi Hamer a fondé en 1990 à Burgau (Styrie-Autriche), un centre de conseil, qu'il a appelé Centre de la Médecine Nouvelle, et s’est fait là-bas un nom, car il a aidé l'épouse du maire de Burgau Wallner à une «conflit-olyse".
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Depuis le retrait de l'agrément, Hamer a traité cependant d’autres patients sans qualification en tant que médecin ou thérapeute. Ainsi Hamer a fondé en 1990 à Burgau (Styrie-Autriche), un centre de conseil, qu'il a appelé ''Centre de la Médecine Nouvelle'', et s’est fait là-bas un nom, car il a aidé l'épouse du maire de Burgau Wallner à une «conflit-olyse".
 
En signe de gratitude, le maire a mis à la disposition d’Hamer quelques pièces dans le vieux château de Burgau pour ses essais de traitement. L'autorisation de l’exploitation d’une clinique manquait cependant aussi ici. Sur le papier en-tête de son institution de Burgau, Hamer (sans approbation) se présente en tant que chef. Plusieurs médecins autrichiens le soutenaient : sont connus Willibald Stangl et Wilhelm Limberger. Officiellement il déclarait son centre comme une agence de sa maison d'édition Amici di Dirk, les bureaux de Cologne étaient auparavant les lieux de pratique à Cologne. En fait Hamer conseillait là-bas principalement des cancéreux dont il recevait en contrepartie soi-disant seulement des "cadeaux". Des virements étaient cependant faits régulièrement à son compte en Autriche. Plusieurs plaintes/dénonciations pour charlatanisme ont été rejetées. Plusieurs plaintes pour concurrence malhonnête et calomnie d'un médecin de Graz se sont terminées par des amendes qui ne purent être encaissées pour cause d’insolvabilité. En 1995 le centre de conseils de Burgau est fermé par les autorités. Là, près de 6500 dossiers ont été saisis par la police, et selon Hamer, par un examen des patients près de 6000 retrouvés vivants. Cela signifie que "92% des patients étaient encore en vie." De là, Hamer tire le chiffre que 90-95% de ses patients auraient survécu à sa thérapie.
 
En signe de gratitude, le maire a mis à la disposition d’Hamer quelques pièces dans le vieux château de Burgau pour ses essais de traitement. L'autorisation de l’exploitation d’une clinique manquait cependant aussi ici. Sur le papier en-tête de son institution de Burgau, Hamer (sans approbation) se présente en tant que chef. Plusieurs médecins autrichiens le soutenaient : sont connus Willibald Stangl et Wilhelm Limberger. Officiellement il déclarait son centre comme une agence de sa maison d'édition Amici di Dirk, les bureaux de Cologne étaient auparavant les lieux de pratique à Cologne. En fait Hamer conseillait là-bas principalement des cancéreux dont il recevait en contrepartie soi-disant seulement des "cadeaux". Des virements étaient cependant faits régulièrement à son compte en Autriche. Plusieurs plaintes/dénonciations pour charlatanisme ont été rejetées. Plusieurs plaintes pour concurrence malhonnête et calomnie d'un médecin de Graz se sont terminées par des amendes qui ne purent être encaissées pour cause d’insolvabilité. En 1995 le centre de conseils de Burgau est fermé par les autorités. Là, près de 6500 dossiers ont été saisis par la police, et selon Hamer, par un examen des patients près de 6000 retrouvés vivants. Cela signifie que "92% des patients étaient encore en vie." De là, Hamer tire le chiffre que 90-95% de ses patients auraient survécu à sa thérapie.
  
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