Modifications

Aller à la navigation Aller à la recherche
1 octet ajouté ,  23 août 2013 à 13:39
m
aucun résumé des modifications
Ligne 6 : Ligne 6 :  
(Signature de Pierre Tubéry)''
 
(Signature de Pierre Tubéry)''
   −
== Les Drs Pierre Tubéry et Mari-Anne Tubéry, parcours professionnel ==  
+
== Les Drs Pierre Tubéry et Marie-Anne Tubéry, parcours professionnel ==  
 
Au cours de leur travail pendant quatre ans et demi (1959/1963) dans un dispensaire hôpital du Cameroun, les Docteurs Pierre et Anne-Marie TUBERY ont appris les résultats surprenants que le desmodium adscendens obtient dans la phase ictérique des hépatites virales, et se sont aussi intéressés à deux autres plantes, le Securidaca longepedonculata et le Gnidia kraussiana. De retour en France, avec d’autres scientifiques, ils commencent des recherches botaniques, phytochimiques, toxicologiques et pharmacologiques. Certes, trois études du Centre International de Toxicologie d’Évreux, montrant une totale absence de toxicité, sont confirmées par des scientifiques de Metz et de Montpellier, mais l'étude sur l'homme et la mise sur le marché est une entreprise longue et coûteuse. Il fonde en 1982, avec Mr Jacqueline Ragot, Dr en pharmacie, le CRP (Centre de Recherches Phytothérapiques) à Toulouse, dans le but d’effectuer des recherches et de produire des produits de santé<ref>http://www.desmopar.com/103-laboratoire-desmopar-complements-alimentaires-plantes.html</ref> et <ref>http://www.solidaritemalades.fr/</ref>. Ils commencent à fournir des extraits du desmodium à des malades avant autorisation de mise sur le marché, ce qui attire l'attention des autorités de santé<ref>http://www.ladepeche.fr/article/1999/10/27/227201-La-molecule-africaine-agace-les-pharmaciens.html</ref>.
 
Au cours de leur travail pendant quatre ans et demi (1959/1963) dans un dispensaire hôpital du Cameroun, les Docteurs Pierre et Anne-Marie TUBERY ont appris les résultats surprenants que le desmodium adscendens obtient dans la phase ictérique des hépatites virales, et se sont aussi intéressés à deux autres plantes, le Securidaca longepedonculata et le Gnidia kraussiana. De retour en France, avec d’autres scientifiques, ils commencent des recherches botaniques, phytochimiques, toxicologiques et pharmacologiques. Certes, trois études du Centre International de Toxicologie d’Évreux, montrant une totale absence de toxicité, sont confirmées par des scientifiques de Metz et de Montpellier, mais l'étude sur l'homme et la mise sur le marché est une entreprise longue et coûteuse. Il fonde en 1982, avec Mr Jacqueline Ragot, Dr en pharmacie, le CRP (Centre de Recherches Phytothérapiques) à Toulouse, dans le but d’effectuer des recherches et de produire des produits de santé<ref>http://www.desmopar.com/103-laboratoire-desmopar-complements-alimentaires-plantes.html</ref> et <ref>http://www.solidaritemalades.fr/</ref>. Ils commencent à fournir des extraits du desmodium à des malades avant autorisation de mise sur le marché, ce qui attire l'attention des autorités de santé<ref>http://www.ladepeche.fr/article/1999/10/27/227201-La-molecule-africaine-agace-les-pharmaciens.html</ref>.
  
12 777

modifications

Menu de navigation