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== Article sur Science Based Medicine à propos de l'ACAM publié en 2008 ==
 
== Article sur Science Based Medicine à propos de l'ACAM publié en 2008 ==
L'article est certes un peu ancien, mais reste instructif. Il est intitulé "L'organisation pseudoprofessionnelle pseudo-médicale PPO.<ref>https://sciencebasedmedicine.org/the-pseudomedical-pseudoprofessional-organization-ppo/ The Pseudomedical Pseudoprofessional Organization  (L'organisation pseudoprofessionnelle pseudo-médicale) (PPO*). Kimball Atwood on October 17, 2008</ref>[Traduction essentiellement à l'aide de Deppl:]
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L'article est certes un peu ancien, mais reste instructif. Il est intitulé "The Pseudomedical Pseudoprofessional Organization (PPO<sup>*</sup>)" (L'organisation pseudoprofessionnelle pseudo-médicale PPO<sup>*</sup>) et est signé par Kimball C. Atwood IV<ref>https://en.wikipedia.org/wiki/Kimball_Atwood</ref>.<ref>https://sciencebasedmedicine.org/the-pseudomedical-pseudoprofessional-organization-ppo/ The Pseudomedical Pseudoprofessional Organization  (L'organisation pseudoprofessionnelle pseudo-médicale) (PPO*). Kimball Atwood on October 17, 2008</ref>[Traduction essentiellement à l'aide de Deppl:]
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Cela fait partie d'une série de discussions en cours sur les pièges de la réglementation des médecins, mais j'ai décidé, dans l'intérêt de la souplesse, de modifier le titre. Il y a quelques semaines, j'ai donné quelques exemples de la façon dont des médecins qui pratiquent une médecine inférieure aux normes et peu plausible parviennent à éviter ou à retarder l'imposition de mesures disciplinaires par les Conseils médicaux étatiques. J'ai constaté que les commissions elles-mêmes semblent réticentes ou lentes à agir contre de telles pratiques, même illégales, et que cela contraste avec leurs actions rapides contre d'autres types de malversations : celles de type "fruit à portée de main". Dans un commentaire, David Gorski m'a rappelé qu'il avait déjà donné quelques raisons de cette divergence, que je partage. Néanmoins, il semble étrange que les Conseils étatiques ne fasse pas mieux.
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(<sup>*</sup>À ne pas confondre avec "Preferred Provider Organization", qui partage l'acronyme)
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Cela fait partie d'une série<big>†</big> de discussions en cours sur les pièges de la réglementation des médecins, mais j'ai décidé, dans l'intérêt de la souplesse, de modifier le titre. Il y a quelques semaines, j'ai donné quelques exemples de la façon dont des médecins qui pratiquent une médecine inférieure aux normes et peu plausible parviennent à éviter ou à retarder l'imposition de mesures disciplinaires par les Conseils médicaux étatiques. J'ai constaté que les commissions elles-mêmes semblent réticentes ou lentes à agir contre de telles pratiques, même illégales, et que cela contraste avec leurs actions rapides contre d'autres types de malversations : celles du type "cibles faciles". Dans un commentaire, David Gorski m'a rappelé qu'il avait déjà donné quelques raisons de cette divergence, que je partage. Néanmoins, il semble étrange que les Conseils étatiques ne fasse pas mieux.
    
Afin d'essayer de trouver plus d'explications, cette semaine, nous allons examiner une autre tactique des praticiens de la [[pseudo-médecine|pseudomédecine]] : se regrouper pour créer des organisations [[pseudo-médecine|pseudo-médicales]] pseudoprofessionnelles (PP0), avec des noms pseudo-légitimes, des conférences pseudo-légitimes, des sites Web pseudo-légitimes, des pseudo-"certifications de Conseil", des protocoles pour les pseudo-thérapies, des brochures pour les patients présentant des pseudothérapies, des formulaires de pseudo-consentement pour les pseudo-thérapies, des commissions d'examen pseudo-institutionnelles pour approuver les pseudo-recherches, des pseudo-revues pour publier des rapports de pseudo-recherches, des contributions financières très réelles de sociétés pseudoscientifiques pour aider à payer une publicité très réelle, un lobbying très réel, une représentation juridique réelle, et plus.
 
Afin d'essayer de trouver plus d'explications, cette semaine, nous allons examiner une autre tactique des praticiens de la [[pseudo-médecine|pseudomédecine]] : se regrouper pour créer des organisations [[pseudo-médecine|pseudo-médicales]] pseudoprofessionnelles (PP0), avec des noms pseudo-légitimes, des conférences pseudo-légitimes, des sites Web pseudo-légitimes, des pseudo-"certifications de Conseil", des protocoles pour les pseudo-thérapies, des brochures pour les patients présentant des pseudothérapies, des formulaires de pseudo-consentement pour les pseudo-thérapies, des commissions d'examen pseudo-institutionnelles pour approuver les pseudo-recherches, des pseudo-revues pour publier des rapports de pseudo-recherches, des contributions financières très réelles de sociétés pseudoscientifiques pour aider à payer une publicité très réelle, un lobbying très réel, une représentation juridique réelle, et plus.
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Il y a beaucoup plus de PPOs que nous ne pourrons en examiner, mais elles ont des caractéristiques communes. Nous verrons aussi comment certaines '''institutions qui devraient mieux savoir''' remédier aux PPOs, ce qui peut être effrayant.
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Il y a beaucoup plus de PPOs que nous ne pourrons en examiner, mais elles ont des caractéristiques communes. Nous verrons aussi comment certaines '''institutions qui devraient être plus avisées''' réagissent aux PPOs, ce qui peut être effrayant.
    
Nous avons mentionné deux PPOs représentatives dans la première partie de cette série : l'International Bio-Oxidative Medicine Foundation (IBOMF) et l'International Oxidative Medicine Association (IOMA), chacune fondée par feu Charles Farr, le "Père de la médecine oxydative", pour promouvoir le peroxyde d'hydrogène intraveineux et autres traitements douteux. Nous avons vu que l'IOMA a récemment été absorbée par une autre PPO dont Charles Farr était un des fondateurs : l'American College for Advancement in Medicine (ACAM).
 
Nous avons mentionné deux PPOs représentatives dans la première partie de cette série : l'International Bio-Oxidative Medicine Foundation (IBOMF) et l'International Oxidative Medicine Association (IOMA), chacune fondée par feu Charles Farr, le "Père de la médecine oxydative", pour promouvoir le peroxyde d'hydrogène intraveineux et autres traitements douteux. Nous avons vu que l'IOMA a récemment été absorbée par une autre PPO dont Charles Farr était un des fondateurs : l'American College for Advancement in Medicine (ACAM).
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