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Cela dit, il existe des résultats d'études publiées régulièrement qui ont démontré à l'aide d'une procédure de test appelé "COMET assay <ref>https://en.wikipedia.org/wiki/Comet_assay</ref> neutre ou alcalin" des cassures de brins d'ADN. Cependant, ces résultats de laboratoire n'ont pas permis ou ne permettent pas de tirer des conclusions quant à l'émergence de maladies causées par un tel rayonnement <ref>http://www.powerwatch.org.uk/pdfs/20041222_reflex.pdf (Compte-rendu complet de d'étude REFLEX en anglais)</ref>. Dans certains cas, dans les études, il a supposé ou suspecté que des "radicaux libres" (radicaux oxygène réactifs/ROS) ou que le type de modulation du rayonnement joueraient un rôle. Sont à citer les études sur les rats ou les cultures de cellules de Lai et Singh <ref>Lai H. and N. P. Singh (1995). "Acute low-intensity microwave exposure increases DNA single-strand breaks in rat brain cells." Bioelectromagnetics 16: S. 207-210.</ref> <ref>Lai H. and N. P. Singh (1996) "Single- and double-strand DNA breaks in rat brain cells after acute exposure to radiofrequency electromagnetic radiation." Int. J. Rad. Biol. 69 (4): 513-521.</ref> et de Verschaeve et al. <ref>Verschaeve L., D. Slaets, et al. (1994). "In vitro and in vivo genetic effects of microwaves from mobile phone frequencies in human and rat peripheral blood lymphocytes", in: Proceedings of Cost 244 Meetings on Mobile Communication and Extremely Low Frequency field: Instrumentation and measurements in Bioelectromagnetics Research. (ed.: Simunic D.), S. 74-83.</ref>. Des influences thermiques ainsi que des artefacts (influences dues aux divers modes de mise à mort dans les expérimentations animales) ne peuvent pas toujours être exclus.
 
Cela dit, il existe des résultats d'études publiées régulièrement qui ont démontré à l'aide d'une procédure de test appelé "COMET assay <ref>https://en.wikipedia.org/wiki/Comet_assay</ref> neutre ou alcalin" des cassures de brins d'ADN. Cependant, ces résultats de laboratoire n'ont pas permis ou ne permettent pas de tirer des conclusions quant à l'émergence de maladies causées par un tel rayonnement <ref>http://www.powerwatch.org.uk/pdfs/20041222_reflex.pdf (Compte-rendu complet de d'étude REFLEX en anglais)</ref>. Dans certains cas, dans les études, il a supposé ou suspecté que des "radicaux libres" (radicaux oxygène réactifs/ROS) ou que le type de modulation du rayonnement joueraient un rôle. Sont à citer les études sur les rats ou les cultures de cellules de Lai et Singh <ref>Lai H. and N. P. Singh (1995). "Acute low-intensity microwave exposure increases DNA single-strand breaks in rat brain cells." Bioelectromagnetics 16: S. 207-210.</ref> <ref>Lai H. and N. P. Singh (1996) "Single- and double-strand DNA breaks in rat brain cells after acute exposure to radiofrequency electromagnetic radiation." Int. J. Rad. Biol. 69 (4): 513-521.</ref> et de Verschaeve et al. <ref>Verschaeve L., D. Slaets, et al. (1994). "In vitro and in vivo genetic effects of microwaves from mobile phone frequencies in human and rat peripheral blood lymphocytes", in: Proceedings of Cost 244 Meetings on Mobile Communication and Extremely Low Frequency field: Instrumentation and measurements in Bioelectromagnetics Research. (ed.: Simunic D.), S. 74-83.</ref>. Des influences thermiques ainsi que des artefacts (influences dues aux divers modes de mise à mort dans les expérimentations animales) ne peuvent pas toujours être exclus.
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Cependant, le grand nombre de résultats de tests publiés (dont des tests de réplication directe des études mentionnées ci-dessus) montrent que les résultats expérimentaux positifs montrent que les ruptures de fil d'ADN ne se produisent pas avec une irradiation à haute fréquence (même jusqu'à 100 watts/kg). Toutefois, peuvent être montrées les résultats secondaires des influences des divers modes de mise à mort des études sur animaux.
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Cependant, le grand nombre de résultats de tests publiés (dont des tests de réplication directe des études mentionnées ci-dessus) montrent que les résultats expérimentaux positifs montrent que les ruptures de fil d'ADN ne se produisent pas avec une irradiation à haute fréquence (même jusqu'à 100 watts/kg). Toutefois, peuvent être montrées les résultats secondaires des influences des divers modes de mise à mort des expérimentations animales. <ref>Malyapa R. S., E. W. Ahern, et al. (1997). "Measurement of DNA damage after exposure to 2450 MHz electromagnetic radiation." Radiat. Res. 148(6): 608-617.</ref> <ref>Malyapa R. S., E. W. Ahern, et al. (1997). "Measurement of DNA damage after exposure to electromagnetic radiation in the cellular phone communication frequency band (835.62 and 847.74 MHz)." Radiat Res 148(6): 618-627.</ref> <ref>Malyapa R. S., E. W. Ahern, et al. (1998). "DNA damage in rat brain cells after in vivo exposure to 2450 MHz electromagnetic radiation and various methods of euthanasia." Radiat Res 149(6): 637-645.</ref> <ref>Li L., K. S. Bisht, et al. (2001). "Measurement of DNA damage in mammalian cells exposed in vitro to radiofrequency fields at SARs of 3-5 W/kg." Radiat Res. 56(3): 328-332.</ref> <ref>Malyapa R. S., L. Li, et al. (2001). "Measurement of DNA damage after exposure to electromagnetic radiation in the cellular phone communication frequency band (835.62 and 847.74 MHz)." Radiat Res 156(3): 328-332.</ref> <ref>Vijayalaxmi, B. Z. Leal, et al. (2000). "Primary DNA damage in human blood lymphocytes exposed in vitro to 2450 MHz radiofrequency radiation." Radiat Res 153(4): 479-486.</ref> <ref>McNamee J. P., P. V. Bellier, et al. (2002). "DNA damage and micronucleus induction in human leukocytes after acute in vitro exposure to a 1.9 GHz continuous-wave radiofrequency field." Radiat Res 158(4): 523-533.</ref> <ref>McNamee J. P., P. V. Bellier, et al. (2002). "DNA damage in human leukocytes after acute in vitro exposure to a 1.9 GHz pulse-modulated radiofrequency field." Radiat Res 158(4): 534-537.</ref> <ref>Tice R. R., G. G. Hook, et al. (2002). "Genotoxicity of radiofrequency signals. I. Investigation of DNA damage and micronuclei induction in cultured human blood cells." Bioelectromagnetics 23(2): 113-126.</ref> <ref>Roti Roti J.L. (2004). "2450 MHz (CW) exposure and effects on DNA crosslinking." Radiation Research 161: 201-214.</ref> <ref>f alkali-labile DNA damage and protein-DNA crosslinks after 2450 MHz microwave and low-dose gamma irradiation in vitro." Radiat Res 161(2): S. 201-214.</ref> <ref>McNamee J. P., P. V. Bellier, et al. (2003). "No evidence for genotoxic effects from 24 h exposure of human leukocytes to 1.9 GHz radiofrequency fields." Radiat Res 159(5): 693-697.</ref> <ref>Hook, G. J., P. Zhang, et al. (2004). "Measurement of DNA damage and apoptosis in Molt-4 cells after in vitro exposure to radiofrequency radiation." Radiat Res 161(2): 193-200.</ref> <ref>Hook, G. J., P. Zhang, et al. (2004). "Measurement of DNA damage and apoptosis in mammalian cells exposed to radiofrequency fields at high SAR in vitro." Radiat Res. 161: S. 193-200.</ref> <ref>Miyakoshi, R. S., et al. (2002/2004). "2.4 GHz (CW) and 1.5 GHz (PDC) exposure on micronucleus formation, sister chromatid exchange, chromosome aberrations, DNA damage, and genetic mutation as well cell cycle, signal transduction, transformation and cell division." Electrical Engineering in Japan (2002) 141: 9-15, Mutation Research (2004) 541: 81-89.</ref> <ref>Sound Exposure & Risk Assessment of Wireless Network Devices - FP7-ENV-2009-1, 2013</ref>
     
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