Modifications

Aller à la navigation Aller à la recherche
457 octets ajoutés ,  12 septembre 2017 à 18:54
aucun résumé des modifications
Ligne 35 : Ligne 35 :  
Il ne peut pas être attribué à des effets mutagènes directs ou génotoxiques directs des effets cancérigènes possibles des champs électromagnétiques tels qu'ils sont utilisés pour la téléphonie mobile ou la radio. Les fréquences (et donc les énergies) utilisées dans la technologie de la communication mobile ou de la radio ne suffisent pas pour endommager directement les biomolécules comme l'ADN par fracture des liaisons atomiques covalentes ou par "cassure". <ref>Bernhardt J. H. (1992). "Non-ionizing radiation safety: radiofrequency radiation, electric and magnetic fields." Phys Med Biol 37(4): 807-844.</ref><ref>Tenforde T. S. (1990). "Biological responses to static and time-varying magnetic fields", in Wilson B. W., Stevens R. G., Anderson L. E. (Eds.) Extremely-Low-Frequency Electromagnetic Fields: The Question of Cancer, Battelle Press, Columbus, OH, 1990, 291.</ref><ref>Tenforde T. S. (1991). "Biological interactions of extremely-low-frequency electric and magnetic fields", Bioelectrochemistry Bioenergetics, 25, 1.</ref><ref>Tenforde T. S. (1992). "Biological interactions and potential health effects of extremely-lowfrequency magnetic fields from power lines and other common sources." Annu Rev Public Health 13: 173-196.</ref><ref>Cridland N. A. (1993). "Electromagnetic fields and Cancer: A Review of Relevant Cellular Studies", Rep. No. NRPB-R256, National Radiological Protection Board, Chilton, Didcot, Oxon, UK, 1993</ref><ref>Heikkinen P., V. M. Kosma, et al. (2001). "Effects of mobile phone radiation on X-ray-induced tumorigenesis in mice." Radiat Res 156(6) : S. 775-785.</ref>
 
Il ne peut pas être attribué à des effets mutagènes directs ou génotoxiques directs des effets cancérigènes possibles des champs électromagnétiques tels qu'ils sont utilisés pour la téléphonie mobile ou la radio. Les fréquences (et donc les énergies) utilisées dans la technologie de la communication mobile ou de la radio ne suffisent pas pour endommager directement les biomolécules comme l'ADN par fracture des liaisons atomiques covalentes ou par "cassure". <ref>Bernhardt J. H. (1992). "Non-ionizing radiation safety: radiofrequency radiation, electric and magnetic fields." Phys Med Biol 37(4): 807-844.</ref><ref>Tenforde T. S. (1990). "Biological responses to static and time-varying magnetic fields", in Wilson B. W., Stevens R. G., Anderson L. E. (Eds.) Extremely-Low-Frequency Electromagnetic Fields: The Question of Cancer, Battelle Press, Columbus, OH, 1990, 291.</ref><ref>Tenforde T. S. (1991). "Biological interactions of extremely-low-frequency electric and magnetic fields", Bioelectrochemistry Bioenergetics, 25, 1.</ref><ref>Tenforde T. S. (1992). "Biological interactions and potential health effects of extremely-lowfrequency magnetic fields from power lines and other common sources." Annu Rev Public Health 13: 173-196.</ref><ref>Cridland N. A. (1993). "Electromagnetic fields and Cancer: A Review of Relevant Cellular Studies", Rep. No. NRPB-R256, National Radiological Protection Board, Chilton, Didcot, Oxon, UK, 1993</ref><ref>Heikkinen P., V. M. Kosma, et al. (2001). "Effects of mobile phone radiation on X-ray-induced tumorigenesis in mice." Radiat Res 156(6) : S. 775-785.</ref>
   −
Cela dit, il existe des résultats d'études publiées régulièrement qui ont démontré à l'aide d'une procédure de test appelé "COMET assay <ref>https://en.wikipedia.org/wiki/Comet_assay</ref> neutre ou alcalin" des cassures de brins d'ADN. Cependant, ces résultats de laboratoire n'ont pas permis ou ne permettent pas de tirer des conclusions quant à l'émergence de maladies causées par un tel rayonnement <ref>http://www.powerwatch.org.uk/pdfs/20041222_reflex.pdf (Compte-rendu complet de d'étude REFLEX en anglais)</ref>. Dans certains cas, dans les études, il a supposé ou suspecté que des "radicaux libres" (radicaux oxygène réactifs/ROS) ou que le type de modulation du rayonnement joueraient un rôle. Sont à citer les études sur les rats ou les cultures de cellules de Lai et Singh <ref>Lai H. and N. P. Singh (1995). "Acute low-intensity microwave exposure increases DNA single-strand breaks in rat brain cells." Bioelectromagnetics 16: S. 207-210.</ref> <ref>Lai H. and N. P. Singh (1996) "Single- and double-strand DNA breaks in rat brain cells after acute exposure to radiofrequency electromagnetic radiation." Int. J. Rad. Biol. 69 (4): 513-521.</ref> et de Verschaeve et al. <ref>Verschaeve L., D. Slaets, et al. (1994). "In vitro and in vivo genetic effects of microwaves from mobile phone frequencies in human and rat peripheral blood lymphocytes", in: Proceedings of Cost 244 Meetings on Mobile Communication and Extremely Low Frequency field: Instrumentation and measurements in Bioelectromagnetics Research. (ed.: Simunic D.), S. 74-83.</ref>. Des influences thermiques ainsi que des artefacts (influences dues aux divers types de mise à mort dans les expérimentations animales) ne peuvent pas toujours être exclus.
+
Cela dit, il existe des résultats d'études publiées régulièrement qui ont démontré à l'aide d'une procédure de test appelé "COMET assay <ref>https://en.wikipedia.org/wiki/Comet_assay</ref> neutre ou alcalin" des cassures de brins d'ADN. Cependant, ces résultats de laboratoire n'ont pas permis ou ne permettent pas de tirer des conclusions quant à l'émergence de maladies causées par un tel rayonnement <ref>http://www.powerwatch.org.uk/pdfs/20041222_reflex.pdf (Compte-rendu complet de d'étude REFLEX en anglais)</ref>. Dans certains cas, dans les études, il a supposé ou suspecté que des "radicaux libres" (radicaux oxygène réactifs/ROS) ou que le type de modulation du rayonnement joueraient un rôle. Sont à citer les études sur les rats ou les cultures de cellules de Lai et Singh <ref>Lai H. and N. P. Singh (1995). "Acute low-intensity microwave exposure increases DNA single-strand breaks in rat brain cells." Bioelectromagnetics 16: S. 207-210.</ref> <ref>Lai H. and N. P. Singh (1996) "Single- and double-strand DNA breaks in rat brain cells after acute exposure to radiofrequency electromagnetic radiation." Int. J. Rad. Biol. 69 (4): 513-521.</ref> et de Verschaeve et al. <ref>Verschaeve L., D. Slaets, et al. (1994). "In vitro and in vivo genetic effects of microwaves from mobile phone frequencies in human and rat peripheral blood lymphocytes", in: Proceedings of Cost 244 Meetings on Mobile Communication and Extremely Low Frequency field: Instrumentation and measurements in Bioelectromagnetics Research. (ed.: Simunic D.), S. 74-83.</ref>. Des influences thermiques ainsi que des artefacts (influences dues aux divers modes de mise à mort dans les expérimentations animales) ne peuvent pas toujours être exclus.
 +
 
 +
Cependant, le grand nombre de résultats de tests publiés (dont des tests de réplication directe des études mentionnées ci-dessus) montrent que les résultats expérimentaux positifs montrent que les ruptures de fil d'ADN ne se produisent pas avec une irradiation à haute fréquence (même jusqu'à 100 watts/kg). Toutefois, peuvent être montrées les résultats secondaires des influences des divers modes de mise à mort des études sur animaux.
 +
 
 +
 
     
6 955

modifications

Menu de navigation