Différences entre les versions de « Wolfgang Ludwig »

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Ludwig a développé sa propre ligne d'appareils de [[biorésonance]]. Avec eux, Ludwig a essayé de moduler un « signal de [[biorésonance]] » sur un champ magnétique, de façon à ce qu'il en résulte des soi-disant fréquences Schumann, fréquences géoomagnétiques et fréquences solaires. Repose aussi Sur ces hypothèses une Thérapie BioInformative (BIT) pseudo-médicale. Pour quelques-uns de ses appareils de champ magnétique, il est aussi fait référence au [[Zapper]] (voir à [[Hulda Clark]]), disant qu'ils seraient supérieurs aux zappeurs classiques parce qu'ils pourraient atteindre « l'espace intracellulaire » grâce à leur champ magnétique.
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Ludwig a développé sa propre ligne d'appareils de [[biorésonance]]. Avec eux, Ludwig a essayé de moduler un « signal de [[biorésonance]] » sur un champ magnétique, de façon à ce qu'il en résulte des soi-disant fréquences Schumann, fréquences géoomagnétiques et fréquences solaires. Repose aussi Sur ces hypothèses une Thérapie BioInformative (BIT) pseudo-médicale. Pour quelques-uns de ses appareils de champ magnétique, il est aussi fait référence au Zapper (voir à [[Hulda Clark]]), disant qu'ils seraient supérieurs aux zappeurs classiques parce qu'ils pourraient atteindre « l'espace intracellulaire » grâce à leur champ magnétique.
  
Ludwig était aussi un propagateur de l'hypothèse d'une [[Jacques Benveniste|mémoire de l'eau]] souvent soutenue dans les cercles [[ésotérisme|ésotériques]]. Les processus de la vie, à son avis, ne peuvent pas s'expliquer par la chimie et la physique. Il y aurait des vibrations diverses dans l'eau : des vibrations de plasma d'électrons, de distance, d'angle et de noyau. A tel point que des molécules d'eau mûes par des vibrations s'assembleraient en amas (clusters). Par conséquent, l'eau ne serait pas H2O, mais (H2O)n. L'eau consisterait en « interactions de quanta » et cela expliquerait également qu'une "mémoire de l'eau" existerait avec une fonction en tant que support d'information.
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Ludwig était aussi un propagateur de l'hypothèse d'une [[Jacques Benveniste|mémoire de l'eau]] souvent soutenue dans les cercles [[ésotérisme|ésotériques]]. Les processus de la vie, à son avis, ne peuvent pas s'expliquer par la chimie et la physique. Il y aurait des vibrations diverses dans l'eau : des vibrations de plasma d'électrons, de distance, d'angle et de noyau. A tel point que des molécules d'eau mûes par des vibrations s'assembleraient en amas (clusters). Par conséquent, l'eau ne serait pas H2O, mais (H2O)n. L'eau consisterait en « interactions de quanta » et cela expliquerait également qu'une "mémoire de l'eau" existerait avec une fonction en tant que support d'information.  
  
 
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Version du 3 mars 2014 à 17:23

Wolfgang Ludwig (né le 24 août 1927, décédé le 28 mars 2004) était un physicien allemand titulaire d'un doctorat et inventeur d'appareils de biorésonance, d'appareils de radionique et d'appareils de thérapie par champ magnétique pour le domaine de la médecine alternative.

Les appréciations du travail de Ludwig se trouvent dans Raum & Zeit[1], dans CoMed[2] (deux journaux se cantonant à des articles de médecine alternative) et dans les publications de Fritz-Albert Popp[3].

Courte biographie

De 1943 à 1945, Ludwig était dévelopeur en électronique à Dresde. De 1955 à 1958, il a étudié la physique à Berlin et il a obtenu son doctorat en cette matière en 1961. De 1968 à 1974, Ludwig a travaillé dans l'industrie pharmaceutique. Depuis environ 1982, il a commencé à développer des équipements pour le secteur de la santé. A partir de 1984, il est devenu consultant en naturopathie indépendant. Ludwig a travaillé pendant de nombreuses années pour le fabricant d'appareils de biorésonance VEGA en tant que consultant et conférencier. Il a travaillé pendant un certain temps avec Franz Morell et Hans Brügemann.

Un neveu de Louis, le biologiste Claude Bärtels, s'est également engagé dans le domaine de la pseudo-médecine.

Activités

Ludwig a développé sa propre ligne d'appareils de biorésonance. Avec eux, Ludwig a essayé de moduler un « signal de biorésonance » sur un champ magnétique, de façon à ce qu'il en résulte des soi-disant fréquences Schumann, fréquences géoomagnétiques et fréquences solaires. Repose aussi Sur ces hypothèses une Thérapie BioInformative (BIT) pseudo-médicale. Pour quelques-uns de ses appareils de champ magnétique, il est aussi fait référence au Zapper (voir à Hulda Clark), disant qu'ils seraient supérieurs aux zappeurs classiques parce qu'ils pourraient atteindre « l'espace intracellulaire » grâce à leur champ magnétique.

Ludwig était aussi un propagateur de l'hypothèse d'une mémoire de l'eau souvent soutenue dans les cercles ésotériques. Les processus de la vie, à son avis, ne peuvent pas s'expliquer par la chimie et la physique. Il y aurait des vibrations diverses dans l'eau : des vibrations de plasma d'électrons, de distance, d'angle et de noyau. A tel point que des molécules d'eau mûes par des vibrations s'assembleraient en amas (clusters). Par conséquent, l'eau ne serait pas H2O, mais (H2O)n. L'eau consisterait en « interactions de quanta » et cela expliquerait également qu'une "mémoire de l'eau" existerait avec une fonction en tant que support d'information.

Références

  1. Ludwig W: Wie entstehen Erdstrahlen ?. Raum & Zeit 2002, Heft 118
  2. COMED Heft 5/2004
  3. Fritz-Albert Popp: Vorwort zum Buch « Informative Medizin » (Préface du livre « médecine informative »)
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