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==2007: Maresa T. L. de Bergame (Italie)==
 
==2007: Maresa T. L. de Bergame (Italie)==
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[[image:Maresa.jpg|Maresa L. (Bergamo)|thumb]]
 
L’italienne Maresa L. (née en 1959), chimiste diplomée, fréquentait depuis trois ans un cours de la GNM à Aulla en Ligurie (voir Dr. Lupi plus haut dans le texte), quand, en 2004, alors qu’elle était âgée de 48 ans, on lui  annonça, suite à un examen histologique, qu’elle était atteinte d’un cancer du sein. On lui recommanda une opération, qu’elle refusa avec véhémence. Elle refusa aussi toute autre visite médicale et examens complémentaires. Elle refusait tout traitement par la médecine scientifique et se fiait entièrement à la NMG. Elle abandonna son poste de travail dans une entreprise allemande de chimie et devint professeur de Tai-Chi. Elle se fit traiter à la fois par un thérapeute du nom de P. P. à Bergame et par le président de l’association pro-NMG ALBA de Genève Marco Pfister, qui n’a aucune formation professionnelle en médecine, et avec lequel, d’après les indications de ses proches parents, elle était en contact téléphonique presque tous les jours. En juin 2007 son état de santé s’aggrava dramatiquement. Elle ne pouvait plus marcher et en aout 2007 sa peau prit une couleur de plus en plus jaunâtre (ictère hépatique). Pfister lui fit savoir qu’il n’y avait aucune raison de s’inquiéter. Elle serait devenue « jaune » de rage parce qu’elle n’avait pas eu la possibilité de participer à un voyage à Ischia, où elle avait déjà loué à l’avance une maison de vacances. Toujours selon Pfister, il y aurait seulement une raison « esthétique » pour une opération. Le 27 aout elle fut transportée d’urgence à l’hôpital de Bergame (Ospedali Riuniti di Bergamo) où on lui fit une transfusion de sang. Le sein gauche était plein de tumeurs, le mamelon rétracté. Des métastases s’étaient formées en plusieurs endroits de son corps. Le 28 aout 2007 après-midi, elle tomba en coma hépatique et mourut le même jour après avoir subi des douleurs épouvantables. Un examen un jour avant sa mort indiquait que son foie était détruit presque complètement par une métastase, ce qui était la cause de l’ictère (couleur jaune de la peau).
 
L’italienne Maresa L. (née en 1959), chimiste diplomée, fréquentait depuis trois ans un cours de la GNM à Aulla en Ligurie (voir Dr. Lupi plus haut dans le texte), quand, en 2004, alors qu’elle était âgée de 48 ans, on lui  annonça, suite à un examen histologique, qu’elle était atteinte d’un cancer du sein. On lui recommanda une opération, qu’elle refusa avec véhémence. Elle refusa aussi toute autre visite médicale et examens complémentaires. Elle refusait tout traitement par la médecine scientifique et se fiait entièrement à la NMG. Elle abandonna son poste de travail dans une entreprise allemande de chimie et devint professeur de Tai-Chi. Elle se fit traiter à la fois par un thérapeute du nom de P. P. à Bergame et par le président de l’association pro-NMG ALBA de Genève Marco Pfister, qui n’a aucune formation professionnelle en médecine, et avec lequel, d’après les indications de ses proches parents, elle était en contact téléphonique presque tous les jours. En juin 2007 son état de santé s’aggrava dramatiquement. Elle ne pouvait plus marcher et en aout 2007 sa peau prit une couleur de plus en plus jaunâtre (ictère hépatique). Pfister lui fit savoir qu’il n’y avait aucune raison de s’inquiéter. Elle serait devenue « jaune » de rage parce qu’elle n’avait pas eu la possibilité de participer à un voyage à Ischia, où elle avait déjà loué à l’avance une maison de vacances. Toujours selon Pfister, il y aurait seulement une raison « esthétique » pour une opération. Le 27 aout elle fut transportée d’urgence à l’hôpital de Bergame (Ospedali Riuniti di Bergamo) où on lui fit une transfusion de sang. Le sein gauche était plein de tumeurs, le mamelon rétracté. Des métastases s’étaient formées en plusieurs endroits de son corps. Le 28 aout 2007 après-midi, elle tomba en coma hépatique et mourut le même jour après avoir subi des douleurs épouvantables. Un examen un jour avant sa mort indiquait que son foie était détruit presque complètement par une métastase, ce qui était la cause de l’ictère (couleur jaune de la peau).
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==2007: Jacqueline Starck (Belgique)==
 
==2007: Jacqueline Starck (Belgique)==
 
La Belge Nathalie de Reuck raconte dans son livre ""On a tué ma mère"  la mort de sa mère Jacqueline Starck, une victime de la Biologie totale selon Claude Sabbah, un ancien élève de Ryke Geerd Hamer. La télévision belge (francophone) RTBF, le journaliste Philippe Dutilleul et Nathalie de Reuck ont réalisé un long reportage sur le sujet. La fille de Jacqueline Stark a retrouvé les thérapeutes de sa mère.  Plus précisément, la fille Nathalie raconte dans son livre et dans le documentaire sa rencontre avec les trois charlatans, parmi eux un kinésithérapeute ostéopathe bruxellois. (Citation d’un enregistrement sur bande audio : ...  Moi, ce qui est certain, c’est que chimio ou radio, je ne le ferais pas. Tu sais, tu peux enlever la tumeur [...] pfffft [...] si tu n’as pas résolu le conflit, ça continue…”). Jacqueline Starck, âgée 60 ans, avait un cancer du sein, elle en est morte en 2007. La tumeur ne fut pas soignée de façon conventionnelle, car les thérapeutes l’avaient convaincue qu’elle „avait rien“ et que les symptômes démontraient seulement un „conflit intérieur“ dont il fallait trouver l’origine. Les thérapeutes travaillent par radiesthésie, magie noire, kinésiologie, pendules, ... Tout était bon pourvu que ce ne soit pas de la médecine. Même l’aspirine n’était pas autorisée. Un des thérapeutes la „soigne“ à distance par téléphone, à partir d’un centre français et s’est fait payer en liquide par payement postaux. Deux mois avant sa mort, Jacqueline Starck se rend compte d’avoir été dupée par un groupe d’escrocs et demande à sa fille de révéler l’escroquerie et de dénoncer les responsables. Elle confie à sa fille tous les documents et  bandes audio des conversations qu’elle avait enregistrées de ses „gourous“.
 
La Belge Nathalie de Reuck raconte dans son livre ""On a tué ma mère"  la mort de sa mère Jacqueline Starck, une victime de la Biologie totale selon Claude Sabbah, un ancien élève de Ryke Geerd Hamer. La télévision belge (francophone) RTBF, le journaliste Philippe Dutilleul et Nathalie de Reuck ont réalisé un long reportage sur le sujet. La fille de Jacqueline Stark a retrouvé les thérapeutes de sa mère.  Plus précisément, la fille Nathalie raconte dans son livre et dans le documentaire sa rencontre avec les trois charlatans, parmi eux un kinésithérapeute ostéopathe bruxellois. (Citation d’un enregistrement sur bande audio : ...  Moi, ce qui est certain, c’est que chimio ou radio, je ne le ferais pas. Tu sais, tu peux enlever la tumeur [...] pfffft [...] si tu n’as pas résolu le conflit, ça continue…”). Jacqueline Starck, âgée 60 ans, avait un cancer du sein, elle en est morte en 2007. La tumeur ne fut pas soignée de façon conventionnelle, car les thérapeutes l’avaient convaincue qu’elle „avait rien“ et que les symptômes démontraient seulement un „conflit intérieur“ dont il fallait trouver l’origine. Les thérapeutes travaillent par radiesthésie, magie noire, kinésiologie, pendules, ... Tout était bon pourvu que ce ne soit pas de la médecine. Même l’aspirine n’était pas autorisée. Un des thérapeutes la „soigne“ à distance par téléphone, à partir d’un centre français et s’est fait payer en liquide par payement postaux. Deux mois avant sa mort, Jacqueline Starck se rend compte d’avoir été dupée par un groupe d’escrocs et demande à sa fille de révéler l’escroquerie et de dénoncer les responsables. Elle confie à sa fille tous les documents et  bandes audio des conversations qu’elle avait enregistrées de ses „gourous“.
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