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Le décès de Fréchet fin décembre 1997, 4 mois après avoir écrit cette lettre, alors que, lors de sa dernière année à l'höpital Paul Brousse de Villejuif, nous savons qu'il ne recevait plus de patients et se contentait de poursuivre ses recherches, car il savait qu'il allait cesser son travail, ainsi qu'une lettre de [[Ryke Geerd Hamer]] <ref>http://www.ariplex.com/ama/ama_ha59.htm Vers le milieu de cette page web on trouve le texte d'une sorte d'article nécrologique qu'Hamer à fait à propos de Fréchet. En voici la traduction:<br> <br>Mémorial pour les victimes de la macabre répression de la connaissance/science <br> <br>«Seigneur, peux-tu leur pardonner - même si ils ne savent pas ce qu'ils
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Le décès de Fréchet vers la mi-janvier 1998, à peine 5 mois après avoir écrit cette lettre, alors que, lors de sa dernière année à l'höpital Paul Brousse de Villejuif, nous savons qu'il ne recevait plus de patients et se contentait de poursuivre ses recherches "car il savait qu'il allait cesser son travail", ainsi qu'une lettre de [[Ryke Geerd Hamer]] <ref>http://www.ariplex.com/ama/ama_ha59.htm Vers le milieu de cette page web on trouve le texte d'une sorte d'article nécrologique qu'Hamer à fait à propos de Fréchet. En voici la traduction:<br> <br>Mémorial pour les victimes de la macabre répression de la connaissance/science <br> <br>«Seigneur, peux-tu leur pardonner - même si ils ne savent pas ce qu'ils
 
font? " <br> <br>Marc Fréchet avait été chargé par son chef Mathé, l'un des trois chefs avec le Pr Israël et le Pr Schwarzenberg du centre public de traitement du cancer de Paris Villejuif bien connu de tous, de déterminer combien de patients meurent quand « on ne fait absolument rien ». <br> <br>Il devait prendre en charge psychologiquement deux groupes, l'un de patients traités par chimiothérapie et l'autre de (patients) non-traités. Mais bien sûr, les patients non-traités, pour la plupart ne pouvant pas être traités, donc les cas incurables, avaient déjà aussi subit le choc du diagnostic et du pronostic. Généralement, ces patients meurent dans le même pourcentage que ceux malmenés par la chimio. <br> <br>Il n'était pas prévu que Marc Fréchet leur explique la [[MNG|NOUVELLE MEDECINE]]. Quand finalement il s'ébruita ce qu'il y avait fait là, et que plus de 85% des non-traités, ceux qui avaient découvert la sortie de la panique au moyen de la [[MNG|NOUVELLE MÉDECINE]], survivaient, (que) même 28% des (patients) maltraités par la chimio, qui avait également découvert la sortie de la panique au moyen de la [[MNG|NOUVELLE MÉDECINE]], et avaient survécu, il se fit immédiatement éjecter de l'hôpital. <br> <br>La tragédie: Fréchet voulait maintenant publier sa documentation/dossier, avait cependant souffert du conflit dû à la mise à la porte, "Je n'y arrive pas" avec des ostéolyses au col du fémur au niveau organique. (Voir Tableau: O.R. + l.b.4) <br> <br>Quelques jours avant la fin de sa documentation/dossier, "maintenant, j'y suis arrivé", son ostéolyse est entré dans la phase de guérison et l'aine enfla. <br> <br>Bien qu'ayant connaissance de la [[MNG|Nouvelle Médecine]], il est allé de manière inconsidérée dans un hôpital de Paris pour se faire examiner. Là-bas, il se passa quelque chose de très étrange. Ils lui ont donné, éventuellement aussi sous un prétexte, peut-être aussi à son insu - de la morphine, après (cela) il ne s'est plus réveillé. Après 10 jours, à la mi-janvier, il était mort. <br> <br>Particulièrement macabre: Son chef, le professeur Mathé, donc l'un des chefs du centre de traitement du cancer Villejuif près de Paris, s'est fait lui-même thérapier - sans chimio -, il y a plus de 10 ans, par un de mes amis et moi, pour un carcinome bronchique selon la [[MNG|Nouvelle Médicine]] (voir tableau: rra2). Depuis qu'il est à nouveau en bonne santé, il continue à faire de nouveau chez les patients de la chimio - bien que connaissant pertinemment la mortalité de 98% de la pseudo-thérapie. <br> <br>Marc Fréchet est mort en martyr pour la [[MNG|Médecine Nouvelle]].<br> <br>Le Dr Hamer</ref> à son sujet disant qu'il était atteint d'ostéolyses au col du fémur <ref>http://fr.wikipedia.org/wiki/Ost%C3%A9olyse</ref> <ref name="Lettre de Fréchet en allemand" />, c'est à dire une destruction du tissu osseux pouvant être provoquée par un cancer appelé tumeur ostéolytique et ses métastases, permettent d'affirmer que son décès à l'âge de 50 ans est très probablement dû à un cancer. On comprend mieux l'intérêt que portait Fréchet à [[Ryke Geerd Hamer|Hamer]] et ses théories, ainsi que son investissement sur le sujet du cancer: un cancéreux voulant à tout prix guérir, prêt à croire, comme beaucoup d'autres, à toute théorie l'assurant qu'elle peut le guérir. Fréchet avait préparé un compte-rendu de ses recherches et de sa théorie, et était sur le point de les publier quand il est décédé.  
 
font? " <br> <br>Marc Fréchet avait été chargé par son chef Mathé, l'un des trois chefs avec le Pr Israël et le Pr Schwarzenberg du centre public de traitement du cancer de Paris Villejuif bien connu de tous, de déterminer combien de patients meurent quand « on ne fait absolument rien ». <br> <br>Il devait prendre en charge psychologiquement deux groupes, l'un de patients traités par chimiothérapie et l'autre de (patients) non-traités. Mais bien sûr, les patients non-traités, pour la plupart ne pouvant pas être traités, donc les cas incurables, avaient déjà aussi subit le choc du diagnostic et du pronostic. Généralement, ces patients meurent dans le même pourcentage que ceux malmenés par la chimio. <br> <br>Il n'était pas prévu que Marc Fréchet leur explique la [[MNG|NOUVELLE MEDECINE]]. Quand finalement il s'ébruita ce qu'il y avait fait là, et que plus de 85% des non-traités, ceux qui avaient découvert la sortie de la panique au moyen de la [[MNG|NOUVELLE MÉDECINE]], survivaient, (que) même 28% des (patients) maltraités par la chimio, qui avait également découvert la sortie de la panique au moyen de la [[MNG|NOUVELLE MÉDECINE]], et avaient survécu, il se fit immédiatement éjecter de l'hôpital. <br> <br>La tragédie: Fréchet voulait maintenant publier sa documentation/dossier, avait cependant souffert du conflit dû à la mise à la porte, "Je n'y arrive pas" avec des ostéolyses au col du fémur au niveau organique. (Voir Tableau: O.R. + l.b.4) <br> <br>Quelques jours avant la fin de sa documentation/dossier, "maintenant, j'y suis arrivé", son ostéolyse est entré dans la phase de guérison et l'aine enfla. <br> <br>Bien qu'ayant connaissance de la [[MNG|Nouvelle Médecine]], il est allé de manière inconsidérée dans un hôpital de Paris pour se faire examiner. Là-bas, il se passa quelque chose de très étrange. Ils lui ont donné, éventuellement aussi sous un prétexte, peut-être aussi à son insu - de la morphine, après (cela) il ne s'est plus réveillé. Après 10 jours, à la mi-janvier, il était mort. <br> <br>Particulièrement macabre: Son chef, le professeur Mathé, donc l'un des chefs du centre de traitement du cancer Villejuif près de Paris, s'est fait lui-même thérapier - sans chimio -, il y a plus de 10 ans, par un de mes amis et moi, pour un carcinome bronchique selon la [[MNG|Nouvelle Médicine]] (voir tableau: rra2). Depuis qu'il est à nouveau en bonne santé, il continue à faire de nouveau chez les patients de la chimio - bien que connaissant pertinemment la mortalité de 98% de la pseudo-thérapie. <br> <br>Marc Fréchet est mort en martyr pour la [[MNG|Médecine Nouvelle]].<br> <br>Le Dr Hamer</ref> à son sujet disant qu'il était atteint d'ostéolyses au col du fémur <ref>http://fr.wikipedia.org/wiki/Ost%C3%A9olyse</ref> <ref name="Lettre de Fréchet en allemand" />, c'est à dire une destruction du tissu osseux pouvant être provoquée par un cancer appelé tumeur ostéolytique et ses métastases, permettent d'affirmer que son décès à l'âge de 50 ans est très probablement dû à un cancer. On comprend mieux l'intérêt que portait Fréchet à [[Ryke Geerd Hamer|Hamer]] et ses théories, ainsi que son investissement sur le sujet du cancer: un cancéreux voulant à tout prix guérir, prêt à croire, comme beaucoup d'autres, à toute théorie l'assurant qu'elle peut le guérir. Fréchet avait préparé un compte-rendu de ses recherches et de sa théorie, et était sur le point de les publier quand il est décédé.  
  
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