Rupert Sheldrake

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Rupert Sheldrake Source calla-viar

Rupert Sheldrake[1], né le 28 Juni 1942 à Newark-on-Trent, est titulaire d'un doctorat en biochimie de l’Université de Cambridge (1967), mais aussi auteur et chercheur dans le domaine de la parapsychologie. Il dirige le projet Perrott-Warrick pour les capacitées inexpliquées des êtres humains et animaux qui est financé par une fondation du Trinity College à Cambridge.

La parution de son premier ouvrage son premier ouvrage "Une Nouvelle Science de la Vie: l’Hypothèse de la Résonance Morphique" fait l’objet de débats dans des publications scientifiques et religieuses variées et reçoit des critiques mitigées. Puis en 1981, le journal Nature publie un éditorial intitulé : « Un livre à brûler? » écrit par son principal éditeur John Maddox. Il y écrit : « L’étude de Sheldrake est un exercice pseudo-scientifique. Beaucoup de lecteurs penseront qu’il a réussi à trouver une place pour la magie dans les débats scientifiques, et c’est sûrement l’un des objectifs de l’écriture d’un tel ouvrage. »

Sheldrake est connu dans les cercles ésotériques, en particulier pour la théorie des champs morphiques (aussi appelés champs morphogénétiques)[2], un terme de son invention. Les prétendus champs morphiques n'ont pas pu, jusqu'à présent, être démontrés scientifiquement, ni par lui-même, ni par d'autres. Il suit la même philosophie que le chercheur japonais Emoto qui prétend que l'eau et toute construction cellulaire posséderaient une mémoire inhérente, issue de précédents systèmes similaires. Les lois de la nature ne sont que des habitudes, selon le Dr. Sheldrake, car tout est enfermé dans des champs morphiques. Il est annoncé comme conférencier au 2° congrès des "thérapies quantiques" organisé par Marion Kaplan, devant se tenir à Lyon en novembre 2011.

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