Différences entre les versions de « Protocole Ruggiero-Klinghardt »

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Dans cette méthode qui n'est pas utilisée en médecine scientifique en raison de l'absence de preuves d'adéquation et d'efficacité, on trouve les éléments suivants:
 
Dans cette méthode qui n'est pas utilisée en médecine scientifique en raison de l'absence de preuves d'adéquation et d'efficacité, on trouve les éléments suivants:
 
*  L'"Autonomic Response Testing" (dit aussi ''Autonomic Response Testing'' selon Klinghardt), une variante de la [[kinésiologie]] similaire au test de [[radiesthésie]] pour identifier les microbes pathogènes. Citation: ''.. At Sophia Health Institute, we use a manual biofeedback technique, that has the goal of assessing denominated Autonomic Response Testing (ART) that has the goal of assessing the presence and/or the persistence of spirochete and other infectious agents that may be associated with persistent Lyme disease..[.]..However, we noticed quite often that, while ART suggested the presence of pathogens, such a presence was not confirmed by the PCR-based DNA test performed on urine samples..''<br>(Traduction: Au Sophia Health Institute, nous utilisons une technique de biofeedback manuelle qui a pour but d'évaluer le dénommé Autonomic Response Testing (ART) qui a le but d'évaluer la présence et/ou la persistance de spirochetes et d'autres agents infectieux qui peuvent être associés à la maladie Lyme persistante..[.]..Cependant, nous avons remarqué assez souvent que, tandis que l'ART suggérait la présence de pathogènes, une telle présence n'a pas été confirmée par le test PCR-ADN effectué sur des échantillons d'urine ..)
 
*  L'"Autonomic Response Testing" (dit aussi ''Autonomic Response Testing'' selon Klinghardt), une variante de la [[kinésiologie]] similaire au test de [[radiesthésie]] pour identifier les microbes pathogènes. Citation: ''.. At Sophia Health Institute, we use a manual biofeedback technique, that has the goal of assessing denominated Autonomic Response Testing (ART) that has the goal of assessing the presence and/or the persistence of spirochete and other infectious agents that may be associated with persistent Lyme disease..[.]..However, we noticed quite often that, while ART suggested the presence of pathogens, such a presence was not confirmed by the PCR-based DNA test performed on urine samples..''<br>(Traduction: Au Sophia Health Institute, nous utilisons une technique de biofeedback manuelle qui a pour but d'évaluer le dénommé Autonomic Response Testing (ART) qui a le but d'évaluer la présence et/ou la persistance de spirochetes et d'autres agents infectieux qui peuvent être associés à la maladie Lyme persistante..[.]..Cependant, nous avons remarqué assez souvent que, tandis que l'ART suggérait la présence de pathogènes, une telle présence n'a pas été confirmée par le test PCR-ADN effectué sur des échantillons d'urine ..)
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* Une utilisation d'ondes ultrasonores pour quasiment mobiliser des microbes latents (selon Ruggiero)
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* Des Tests-PCR des échantillons d'urine après des "massages profonds des tissus" (Rolfing) chez la firme DNA Connexions (Blanche Grube/Christopher Shade/Quicksilver Scientific) pour la détection de l'ADN de borrelia burgdorferi et d'autres bactéries.
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* une autre utilisation d'ultrasons pour distribuer/répartir des médicaments (qui ne sont pas décrits précisément) dans les tissus du patient
  
 
== Voir aussi ==
 
== Voir aussi ==

Version du 14 octobre 2017 à 16:31

Dietrich Klinghardt avec le ART-Test

Le Protocole Ruggiero-Klinghardt, en anglais Ruggiero-Klinghardt Protocol (RK-Protocol), en allemand Ruggiero-Klinghardt Protokoll est apparu en 2017, un protocole de diagnostic et de traitement pourtant resté jusqu'à présent purement expérimental de Dietrich Klinghardt et Marco Ruggiero. La méthode est décrite par ses inventeurs comme une possibilité pour un changement de paradigme dans le diagnostic et dans la thérapie.

Dietrich Klinghardt, en mars 2017 était avec Marco Ruggiero auteur d'un article Ruggiero-Klinghardt (RK) Protocol for the Diagnosis and Treatment of Chronic Conditions with Particular Focus on Lyme Disease publié dans le journal douteux American Journal of Immunology.[1] Pour Ruggiero, dans l'article, il est indiqué comme lieu de travail le ""Sophia Health Institute" de Klinghardt. L'article traite du diagnostic et aussi en partie de la thérapie de la borréliose de Lyme dans le cadre de leur propre méthode Ruggiero-Klinghardt Methode, laquelle n'est citée dans aucune ligne directrice des sociétés spécialisées compétentes et n'a jamais été évaluée. Il s'agit donc par conséquent d'une méthode purement expérimentale. Une traduction allemande de l'article peut être trouvée ici. Étonnamment ce protocole RK n'est pas seulement destiné à permettre le diagnostic et le traitement de la maladie de Lyme, mais aussi - en outre - serait efficace contre le cancer et pour éliminer les "toxines" du corps.

Citation: ..Das RK-Protokoll ermöglicht darüber hinaus eine Lokalisierung und Eliminierung von Toxinen, Krebszellen und anderen Geweben.. [2]
(Traduction: Le RK-Protocol permet en outre la localisation et l'élimination des toxines, des cellules cancéreuses et d'autres tissus)

Méthode

Dans cette méthode qui n'est pas utilisée en médecine scientifique en raison de l'absence de preuves d'adéquation et d'efficacité, on trouve les éléments suivants:

  • L'"Autonomic Response Testing" (dit aussi Autonomic Response Testing selon Klinghardt), une variante de la kinésiologie similaire au test de radiesthésie pour identifier les microbes pathogènes. Citation: .. At Sophia Health Institute, we use a manual biofeedback technique, that has the goal of assessing denominated Autonomic Response Testing (ART) that has the goal of assessing the presence and/or the persistence of spirochete and other infectious agents that may be associated with persistent Lyme disease..[.]..However, we noticed quite often that, while ART suggested the presence of pathogens, such a presence was not confirmed by the PCR-based DNA test performed on urine samples..
    (Traduction: Au Sophia Health Institute, nous utilisons une technique de biofeedback manuelle qui a pour but d'évaluer le dénommé Autonomic Response Testing (ART) qui a le but d'évaluer la présence et/ou la persistance de spirochetes et d'autres agents infectieux qui peuvent être associés à la maladie Lyme persistante..[.]..Cependant, nous avons remarqué assez souvent que, tandis que l'ART suggérait la présence de pathogènes, une telle présence n'a pas été confirmée par le test PCR-ADN effectué sur des échantillons d'urine ..)
  • Une utilisation d'ondes ultrasonores pour quasiment mobiliser des microbes latents (selon Ruggiero)
  • Des Tests-PCR des échantillons d'urine après des "massages profonds des tissus" (Rolfing) chez la firme DNA Connexions (Blanche Grube/Christopher Shade/Quicksilver Scientific) pour la détection de l'ADN de borrelia burgdorferi et d'autres bactéries.
  • une autre utilisation d'ultrasons pour distribuer/répartir des médicaments (qui ne sont pas décrits précisément) dans les tissus du patient

Voir aussi

  • Protocole Rerum
  • Protocole Ruggiero

Liens externes

Références

  1. Klinghardt D, Ruggiero M: Ruggiero-Klinghardt (RK) Protocol for the Diagnosis and Treatment of Chronic Conditions with Particular Focus on Lyme Disease American Journal of Immunology 2017, 13 (2): 114.126 DOI: 10.3844/ajisp.2017.114.126 Volltext
  2. https://sophiamed.de/assets/Sonderdruck_Ruggiero-Klinghardt-Protokoll-e0426c5447c089b858d59c9d006b2140e472abfcc971d9bd87df15db68e43168.pdf
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