Micro Trace Minerals

Eleonore Blaurock-Busch Source Hersbrucker Zeitung

MicroTrace Minerals est un laboratoire d'analyses fondé en 1975, ayant deux adresses, une en Allemagne (Röhrenstr. 20 D-91217 Hersbruck) et une aux USA au Colorado (P.O.Box 4613; Boulder, CO 80306-4613), dirigé par le Dr. Eleonore Blaurock-Busch.

Ce laboratoire propose des analyse de sang, de cheveux, de salive, des matières fécales et d'urine pour détecter les intoxications aux métaux lourds.[1]

Il fait aussi les analyses pour la Thérapie par chélation. Là, pas de traduction en français pour ce document sur l'EDTA[2]. Pour le DMPS ou Dimaval qui sert pour le test de mobilisation (ici appelé test de provocation), voir ici[3]. Ensuite vous pourrez consulter leurs pages sur la Thérapie avec Mono-DMPS et avec DMPS-ZnDTPA, ainsi que celle sur l'acide dimercaptosuccinique ou DMSA (approuvé par la FDA pour l'intoxication réelle aux métaux lourds ... mais interdite pour traiter les enfants autistes qui n'ont pas été réellement intoxiqués aux métaux lourds).

Me E Blaurock-Busch a publié, entre autres, en janvier 2014, une étude "Comparison of Chelating Agents DMPS, DMSA and EDTA for the Diagnosis and Treatment of Chronic Metal Exposure" qui conclut "Les informations fournies par notre étude indique qu'un test de provocation DMPS est utile dans le évaluation des expositions aux métaux chroniques. Les résultats des tests de provocation permettent au médecin de déterminer le type d'exposition métallique (simple ou multiple) et d'aider à la sélection de l'agent chélateur le plus approprié pour le traitement. Les résultats des tests de provocation fournissent également des informations importantes qui aident le médecin établir les programmes de traitement. Au moyen de la répétition des tests de provocation, le succès du traitement est documenté. [...][4]

Elle propose en libre accès deux livrets en français :

  • "Vaincre l'Autisme Maintenant (VAM)", titre qui est la traduction en français de Defeat Autism Now (DAN!) [5]
  • "Les pathologies liées aux métaux neurotoxiques. Autisme / Syndrome d'Asperger / TDAH" [6]

CV de Eleonor_Blaurock-Busch

Dr Eleonore Blaurock-Busch PhD
Druggist licence, Nuremberg, Germany 1964
Analytical Chemist, 3M Research Laboratory, St. Paul, Minnesota 1968 - 72
Studies Colorado University and Donsbach University 1972 - 75
PhD, Human Nutrition, Donsbach University 1975
present Founder and Consultant, Micro Trace Minerals, Germany 1975
Director & President, Trace Minerals International, Boulder, Colorado 1984 - 2001
Laboratory Director, Trace Minerals International 1986 - 2001
License in Metal Toxicology, Colorado Department of Public Health and Environment
CLIA (Clinical Laboratory Improvement Amendments) and EPA (Environmental Protection Agency) certification 1986 - 2001
Assistant Director, King James Medical Laboratory, Cleveland, Ohio 2001 - 2006
Consultant, Synlab Medical Laboratory Group, Germany since 2002
Scientific Advisor, International Board of Clinical Metal Toxicology since 2001 [IBCMT]
Scientific Advisor-Consultant, German Medical Association for Chelation Therapy since 2005 [conseiller-consultant scientifique, Ärztegesellschaft für Klinische Metalltoxikologie[7] depuis 2005].[8]

Eleonor Blaurock-Busch, l'IBCMT et l'OligoScan

Le président de l'IBSMT Peter J. Van Der Schaar a publié le 30 mars 2015 une newsletter intitulée "Eleonore Blaurock's Discontinued Association With IBCMT" (arrêt de l'association d'Eleonore Blaurock avec l'IBSMT)[9] :

"From the desk of Peter J. VanDerSchaar, president IBCMT
Our co-worker Eleonore Blaurock has put forward in several media that she does not want to be associated with IBCMT anymore. I regret this decision, because we all have cooperated many years in good harmony.
Mrs. Blaurock does not want to take part in an organization that discusses the [OligoScan|Oligoscan]] in our Textbook. She comes to that verdict on the basis that she is a scientist and has many years experience with spectrophotometry. Mrs Blaurock does not have any experience with the Oligoscan and did not want to investigate it.
Mrs Blaurock considered the Oligoscan as a scam, but without detailed argumentation. Our argumentation, based on intensive utilization of the instrumentation (more than 500 tests by Dr. Raymond Pahlplatz) was not paid attention to.
Initially I was very sceptic about the Oligoscan, but my curiosity prevailed over my scepticism. My conception is that curiosity is the basis for a scientific approach.
In our opinion the Oligoscan is not a stand-alone instrument but should always be combined with a Provocation test on toxic metals.
"

Liens externes

Références