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'''Medical Veritas''' est une revue médicale anglaise à comité de lecture.
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'''Medical Veritas'''<ref>http://www.medicalveritas.org/MedicalVeritas/Volume_7%3B_Number_1_January,_2010.html Site de Medical Veritas</ref> est une revue médicale bi-annuelle anglaise à comité de lecture dont l'éditeur en chef est en 2014 Leonard G. Horowitz.
  
Font partie du comité de lecture, [[Andrew Wakefield]] http://leftbrainrightbrain.co.uk/2010/02/09/wakefields-research-from-the-lancet-to-medical-veritas/ le site leftbrainrightbrain de Kevin Leitch et co-auteurs ironise : La recherche de Wakefield. Du Lancet à Médical Veritas.</ref>, [[Lorène Amet]], [[Marc Girard, [[Michel Odent]] etc.
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Font partie du comité de lecture, [[Andrew Wakefield]]<ref>http://leftbrainrightbrain.co.uk/2010/02/09/wakefields-research-from-the-lancet-to-medical-veritas/ le site leftbrainrightbrain de Kevin Leitch et co-auteurs ironise : La recherche de Wakefield. Du Lancet à Médical Veritas.</ref>, [[Lorène Amet]], [[Marc Girard]], [[Michel Odent]] [[Boyd Haley]], etc. Le journal a approuvé le dénialisme en publiant un rapport de Mohammed Al-Bayati, pathologiste comparatiste, qui prétendait de le décès d'Eliza Jane Scovill n'avait pas été causé par le VIH/SIDA mais par une réaction allergique à l'amoxicilline<ref>https://en.wikipedia.org/wiki/Medical_Veritas</ref>.
  
Le site Quackwatch de Stephen Barrette met Medical Veritas sur sa liste des périodiques non recommandables. Il est précisé :''"Je considère que ces publications ne sont pas dignes de confiance car elles favorisent la désinformation, épousent des théories non scientifiques, contiennent des conseils sans fondement, ne sont pas assez sceptique et/ou ne savent pas faire la distinction entre les sources d'avis fiables et celles non fiables. Certaines ne sont plus publiées. Les magazines et journaux marqués d'un astérisque (*) ont fait de la publicité pour des potions, services, livres et/ou publications douteuses. Peu de bulletins [d'informations] dont de la publicité pour des produits. Celles marquées d'un double astérisque (**) ont été accompagnées de sollicitations douteuses."''<ref>http://www.quackwatch.org/04ConsumerEducation/nonrecperiodicals.html</ref>
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Le site Quackwatch de Stephen Barrett met Medical Veritas sur sa liste des périodiques non recommandables. Il est précisé :''"Je considère que ces publications ne sont pas dignes de confiance car elles favorisent la désinformation, épousent des théories non scientifiques, contiennent des conseils sans fondement, ne sont pas assez sceptique et/ou ne savent pas faire la distinction entre les sources d'avis fiables et celles non fiables. Certaines ne sont plus publiées. Les magazines et journaux marqués d'un astérisque (*) ont fait de la publicité pour des potions, services, livres et/ou publications douteuses. Peu de bulletins [d'informations] dont de la publicité pour des produits. Celles marquées d'un double astérisque (**) ont été accompagnées de sollicitations douteuses."''<ref>http://www.quackwatch.org/04ConsumerEducation/nonrecperiodicals.html</ref>
  
 
== Références ==
 
== Références ==

Version du 1 septembre 2014 à 14:38

Medical Veritas[1] est une revue médicale bi-annuelle anglaise à comité de lecture dont l'éditeur en chef est en 2014 Leonard G. Horowitz.

Font partie du comité de lecture, Andrew Wakefield[2], Lorène Amet, Marc Girard, Michel Odent Boyd Haley, etc. Le journal a approuvé le dénialisme en publiant un rapport de Mohammed Al-Bayati, pathologiste comparatiste, qui prétendait de le décès d'Eliza Jane Scovill n'avait pas été causé par le VIH/SIDA mais par une réaction allergique à l'amoxicilline[3].

Le site Quackwatch de Stephen Barrett met Medical Veritas sur sa liste des périodiques non recommandables. Il est précisé :"Je considère que ces publications ne sont pas dignes de confiance car elles favorisent la désinformation, épousent des théories non scientifiques, contiennent des conseils sans fondement, ne sont pas assez sceptique et/ou ne savent pas faire la distinction entre les sources d'avis fiables et celles non fiables. Certaines ne sont plus publiées. Les magazines et journaux marqués d'un astérisque (*) ont fait de la publicité pour des potions, services, livres et/ou publications douteuses. Peu de bulletins [d'informations] dont de la publicité pour des produits. Celles marquées d'un double astérisque (**) ont été accompagnées de sollicitations douteuses."[4]

Références