Médecine Nouvelle Germanique

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le guérisseur allemand Ryke Geerd Hamer

La médecine nouvelle germanique, ou Méthode Hamer est une méthode pseudoscientifique qui prétend apporter des solutions extraordinaires aux maladies les plus graves, comme le cancer. Elle a été inventée par l'ancien medecin (radié) allemand et guérisseur Ryke Geerd Hamer. Elle se base sur des lois biologiques de Hamer, une théorie pseudomédicale qui stipule l’absolue prédominance du psychisme sur la vie de l’individu. Hamer prétend qu'un soi-disant choc émotionnel est à l'origine du cancer et qu'il peut être soigné par la soi-disante résolution de ce conflit psychologique sans apport des thérapies de la médecine conventionnelle qui, selon lui, aggrave l'état des patients. Les entretiens avec le malade permettraient de déterminer la cause de ce conflit, de le résoudre, entraînant ainsi la guérison sans intervention médicale classique.

Hamer n'a jamais pu demontrer des preuves pour ces hypothèses. Pour justifier cette absence de preuves concrètes, R. G. Hamer et ses disciples se posent en martyrs d’un complot médico-scientifique organisé par les lobbies pharmaceutiques défendant des intérêts politiques, financiers surtout de la part de juifs.

Histoire

Cette « médecine nouvelle » a fait son apparition en automne 1981 en Allemagne. Hamer avait fait la une des journaux en 1995 avec l'affaire d'une petite cancéreuse autrichienne Olivia Pihar, âgée de 8 ans, qui avait failli mourir faute d'opération appropriée, parce que ses parents suivaient ses consignes. En 1997, Hamer fut condamné à 19 mois de prison en Allemagne, et à l'interdiction d'exercer la médecine en Allemagne, mais également en Autriche.

En 2001, Hamer, le guérisseur allemand, a été condamné en France par défaut à 18 mois d'emprisonnement dont 9 mois fermes et 50.000 francs d’amende pour « complicité d’ exercice illégal de la médecine » en première instance. Lors du procès, ce dernier ne s’était pas déplacé devant le juge, justifiant son absence par un certificat médical. Cet ancien médecin a été condamné en Allemagne à 19 mois de prison pour « exercice illégal de la médecine » suite à la mort de patients atteints de cancers. Le 24 septembre 2003, l’accusé de nouveau absent pour « raisons médicales », la cour d’appel avait décidé le report du procès en mai 2004. Une audience qui a finalement eu lieu sans le principal intéressé, demeuré une nouvelle fois en Espagne. Le 1er juillet 2004, la cour d’Appel de Chambéry a prononcé la condamnation définitive du guérisseur à 3 ans de prison ferme. Le 9 septembre 2004, R. G. Hamer a été arrêté en Espagne. Il a été extradé vers la France et incarcéré à la prison de Fleury-Mérogis afin d’y purger sa peine.

Les victimes de la Nouvelle Médecine Germanique

L’idéologie pseudo-médicale de la Nouvelle Médecine Germanique (NMG) a été inventée l’automne 1981 par l’ancien médecin Ryke Geerd Hamer, qui, en raison de nombreuses fautes professionnelles, perdra plus tard, en 1986, l’autorisation d’exercer la médecine. Hamer a promis et continue actuellement (2010) à promettre une guérison miraculeuse de maladies graves comme le cancer dans plus de 90% des cas. (Actuellement, en Allemagne l’espérance moyenne de survie à longue terme d’un malade du cancer est d’environ 55-60%, en Finlande ou en USA les espérances moyennes de survie dépassent les 60%). Les promesses fantastiques avancés par Hamer et son dogme, jamais prouvées scientifiquement, ont malheureusement convaincu de nombreux malades du cancer dans beaucoup de pays, surtout en Allemagne, Autriche, France, Belgique, Italie, Espagne et Suisse, tandis qu’elles n’ont presque pas trouvé d’audience dans les pays anglophones ou dans l’Europe de l’est.

L’histoire, les développements documentés des maladies des personnes qui se sont soumis à un tel régime NMG montrent clairement que les promesses faites n’ont rien à faire avec la triste réalité. Elles montrent plutôt les espoirs d’un seul médecin mégalomane affecté d’un délire de persécution et anti-sémite acharné et de ses disciples et élèves comme Claude Sabbah.

En tout, le nombre total de personnes atteintes d’une maladie grave et qui sont décédés après avoir choisi le chemin pseudo-thérapeutique de la NMG, est malheureusement longue. Une recherche montre une chiffre d'au moins 140 personnes (140-160, chiffres de Aribert Deckers, Bremerhaven). En même temps, il faut craindre de nombreux cas supplémentaires inconnus. Aucun cas documenté n’est connu d’une guérison d’une maladie grave qui puisse être attribuée à Hamer et son idéologie. Pendant plusieurs années, plusieurs personnes ont fait des appels publics sur l’internet qui invitaient des anciens malades guéris à publier leur guérison. Personne n’a réagit à ces appels.

Une partie des victimes de la NMG (par exemple l’Allemand Sören Wechselbaum) serait aujourd’hui encore en vie, s’ils n’avaient pas suivi les conseils de Hamer. Malheureusement, beaucoup de malades ont dû souffrir inutilement de façon très cruelle avant de mourir. (Voir aussi: la documentation angoissante et triste d’anciennes collaboratrices de Hamer). Leur souffrance inutile est documentée ici dans les différents rapports dans ce texte. Un exemple en est le martyre de madame Michaela Jakubczyk-Eckert.

Nous documentons ici par ordre chronologique des cas bien documentés comme exemples de la réalité de la NMG. Beaucoup d’autre cas ne sont pas énumérés, faute de témoins et documents sérieux. Les rapports que nous montrons sont en relation soit avec Hamer lui-même, soit avec son élève Claude Sabbah (biologie totale, une doctrine très voisine de celle de la NMG), la méta-médecine et de thérapeutes qui s’orientent vers la NMG.

Le premier cas: sa femme

Selon Hamer lui-même, le premier cas à être traité de selon les méthodes de la NMG, a été celui de sa femme Sigrid Oldenburg, atteinte d’un cancer au sein. Elle mourra néanmoins plus tard, en 1985.

Le début: L’échec total de la NMG dans plusieurs cliniques de Hamer dans les années 80

La Nouvelle Médecine Germanique échouait de façon spectaculaire durant les premiers essais humains de Hamer, quand il était le seul médecin responsable des cliniques privées.

Deux journalistes de l’ hebdomadaire allemand « Der Stern" ont pu identifier 50 patients de Hamer dans sa clinique de „Rosenhof“, à Bad Krozingen. Quelque mois après la fermeture de l’établissement, sur ces 50 personnes, seules 7 étaient encore en vie.

De nombreuses personnes (surtout françaises venues de Chambéry) sont décédées dans la clinique privée de Hamer (seul médecin responsable) à Katzenelnbogen. (voir à ce propos: la documentation d’anciennes collaboratrices de Hamer à Katzenelnbogen).

1995: Olivia Pilhar (Autriche)

La petite autrichienne Olivia Pilhar avait six ans, quand en mai 1995, elle eut un néphroblastome (tumeur de Wilms“) à un rein. Une thérapie anticancéreuse fut suggérée avec un bon pronostic d’environ 90%. Mais, la thérapie est douloureuse et une néphrectomie à un rein est nécessaire, de plus une chimiothérapie provoque la perte temporaire des cheveux. Les parents de Olivia se mettaient en contact avec une femme médecin de Vienne (Wien, très probablement Elisabeth Rozkydal). Celle-ci les mettait en contact avec Hamer, qui à ce moment-là avait déjà perdu l’autorisation d’exercer la médecine depuis neuf ans. Hamer promettait au début ce que les parents espéraient: l’origine des douleurs d’Olivia était des simples flatulences (météorismes), et il fallait seulement caresser et masser le ventre. L’enfant, selon Hamer, guérirait toute seule, sans thérapie particulière. Le „diagnostic à distance“ de Hamer: un „conflit de famine“ ('Verhungerungskonflikt'), parce que Olivia n’aimait pas la nourriture préparée par la grand-mère (après un déménagement, la grand-mère préparait les repas). Selon le diagnostic à distance de Hamer, Olivia aurait un cancer du foie supplémentaire, apparu en très peu de temps. A cause du temps nécessaire à la formation d’un cancer (temps de latence), ceci est scientifiquement impossible. Hamer a conseillé à la mère de ne plus travailler et de rester auprès de l‘enfant – ce geste suffirait à guérir Olivia. Les parents évitaient de parler du contact avec Hamer avec les médecins d’Olivia. Ensuite les parents ont fuit avec leur enfant à l‘aide de quatre membres de la secte religieuse Fiat Lux a Kärnten (Autriche), et enfin, via Munich (München), à Malaga chez Hamer (qui vivait a l’époque près de Malaga en Espagne). Mais, en Espagne, la guérison n’arrivait pas. La tumeur grossissait de plus en plus et la situation s’aggravait. Le volume de début de la tumeur était de 250 ml (un quart de litre), à Malaga le volume augmenta jusqu’à 4,2 litres et plus tard à 6 litres, le volume d’un ballon de football. Olivia avait de plus en plus de problèmes pour respirer, car la tumeur poussait d’en bas sur les poumons qui commençaient à s‘enflammer. Les jambes étaient gonflées, le sang ne pouvait plus retourner sans obstacle vers le cœur. Ensuite le poumon de droite s’écroulait complètement. „Le ventre était gonflé comme celui d’une femme enceinte qui attends des gémelles“ disaient les médecins. Et Olivia avait de fortes douleurs. La TV allemande „Spiegel-TV“ arriva à trouver la famille Pilhar en Espagne. Hamer en profitait pour se présenter au monde. Il poussa la petite fille à se montrer durant une promenade le long de la plage de Malaga pour montrer qu’Olivia allait bien et que sa méthode fonctionnerait. Entre temps, en Autriche, un tribunal enlevait aux parents leurs droits de garde pour sept ans. A l’aide de la police, l’enfant fut transportée en Autriche où elle a subi une intervention chirurgicale et une chimiothérapie avec succès. Olivia est en bonne sante aujourd’hui (2010), 15 ans après la thérapie.

La presse de l’époque portait un grand intérêt au cas d’Olivia et à ses souffrances. Le père, Helmut Pilhar, envoyait des photos de sa fille à la presse pour influence l’opinion publique et vendait des droits de film pour une somme de 500000 Schilling.

Hamer essayait de renforcer les liens entre les parents et lui-même en divulguant des messages menaçants: les médecins, selon-lui, essayaient d’exécuter leur fille, disait-il. Selon Hamer, les médecins auraient provoqué des métastases (qui n’étaient pas présentes – donc inventées par lui) : métastases au foie, au cerveau et dans le péricarde. La chimiothérapie tuerait à 95%. Toutes ces interventions contredisent clairement la doctrine hamérienne qui préconise de ne pas terroriser le malade, et d’établir un contact empathique et respectueux envers lui.

Les parents d’Olivia furent à la fin condamnés à une peine de 8 mois de prison avec probation. Le père, Helmut Pilhat, vit actuellement de la vente de livres, œuvres et conférences à propos de la NMG. C’est un ancien ingénieur qui ne possède aucune formation professionnelle en médecine, pas plus que sa femme. Il est resté un des fidèles d'airain de Hamer, et répète aussi les affirmations antisémites et anti-juives de Hamer. Hamer, en mars 2010, a déclaré Helmut Pilhar „agrégé“ de l’université de Sandefjord en matière „théorie de la nouvelle médecine“. La soi-disant université de Sandefjord est une simple entreprise pour la vente des livres de Hamer, enregistrée a l’adresse privée de Hamer et comprend une seule personne: le „recteur Hamer“.

Olivia est actuellement en bonne santé et est devenue une femme adulte. En 2008, elle a été élue durant un concours parmi 3000 filles à cause de sa „beauté captivante“ dans le groupe gagnant. Dans une interview avec l’hebdomadaire autrichien Madonna elle disait qu’elle allait très bien. L’interview n’avait pas plu au père d’Olivia. En 2010 il demandait, selon une source, une somme de 800000 a 1000000 Euro pour une interview de Olivia pour le journal autrichien „News“.

1995: Helena Lumbreras (Espagne)

La Barcelonaise Hélène (Elena) Lumbreras avait 51 ans, quand, en 1987 une tumeur au sein gauche fut détectée. Elle essaya plusieurs méthodes non conventionnelles ou alternatives contre son cancer. Mais, l’opposante contre Franco, professeur universitaire et assistante de régie de Fellini e Rosi mourut dans de terribles souffrances, laissant derrière elle son mari et deux filles. Au début elle essaya une cure d’un curandero (guérisseur spirituel) local qui voyait des dangers dans les canalisations d’alimentation en eau de la ville de Barcelone et voulu guérir son cancer avec de la musique de Mozart et des photos de cathédrales qui devaient être appliquées contre sa poitrine. Mais ces manoeuvres ne furent pas payées de succès. Le cancer continua à se développer et il se forma une métastase dans la colonne vertébrale. Ce n’est qu’à ce moment là, et très tard, qu’Elena décida de commencer une thérapie conventionnelle. Elle commença une chimiothérapie et une thérapie interventionnelle en radiologie. Mais, après ces interventions, elle retourna de nouveau aux méthodes alternatives. Elle essaya une cure hyperthermique qui cause une fièvre artificielle qu’elle ne supporta pas très bien et qui ne montra aucune efficacité. A la fin elle tomba sur Hamer, qui à cette époque vivait près de Malaga (pratiquement en fuite des autorités autrichiennes), mais qui depuis 1986 ne pouvait plus exercer légalement la profession de médecin. Le tuyau venait d’un copain qui travaillait dans une station TV. Sa fille Valeria racontera plus tard, que sa mère Elena avait pris contact avec un „centre Hamer“ à Malaga, où „on“ la consola avec une promesse fantastique: „en trois semaines tu seras guérie si tu suis la méthode du Dr. Hamer“. Elena obéit de façon aveugle les conseils téléphoniques d’une voix lointaine et anonyme avec fort accent allemand. Le 12 mars elle s’isola dans sa chambre, car elle ne pouvait pratiquement plus marcher. La voix allemande de Malaga donna l’ordre de ne pas utiliser des médicaments contre la douleur (thérapie analgésique) et surtout d’éviter la chimiothérapie. A cause des douleurs, Elena dormait seulement une heure par jour et ne voulait plus manger. Après deux mois d’ordres et de conseils téléphoniques, un médecin NMG se présenta soudain, le Dr. Vicenç Herrera de Barcelona. Herrera était de l’avis que la tumeur du sein gauche serait un signe d’un soi-disant „conflit mère-enfant“. Entretemps les douleurs d’Elena augmentaient. L’expert en NMG Herrera voyait dans ces douleurs une relation avec l’hypothèse d’un processus de re-calcification (processus de calcification) qui serait un signe positif de guérison. En juin, la situation s’aggrava encore et le 20.6.1995 Elena fut transportée d’urgence à l’hôpital. C’est là qu’elle voit par hasard à la télévision une émission à propos de la petite Olivia Pilhar (voir plus en haut). Elle apprend par la TV que Hamer n’avait plus le droit d’exercer la médecine. Elle dit alors à sa fille Valéria: «Ojalá lo hubiera sabido antes», (Ojalá si je l’avais su auparavant). Le dernier médecin qui la traitait selon la doctrine de la NMG était Vicenç Herrera Adell (agé de 43 ans à l’époque). Le 4 aout 1995 Elena meurt en souffrance. Les deux médecins NMG Juan Puget Valencia et Vicenç Herrera furent dénoncé à la police par la famille Lumbreras. Puget Valencia se désolidarisera alors de la NMG. Mais l‘information judiciaire fut stoppée. Le Colegio de Médicos de Barcelona a ensuite défendu pour deux ans à Herrera d’exercer des thérapies selon la NMG en cas de cancer, et de faire de la publicité pour Hamer et sa méthode. Herrera n’accepta pas le verdict et se pourvoit en recours au Consejo del Colegio de Médicos de Catalunya, qui à la fin lui retire l’autorisation d’exercer la médecine- (probablement seulement pour une période limitée).

Sources: [1][2]

1997: Dunja Huszar (Autriche)

Dunja Huszar de Graz (Autriche) avait 17 ans, quand, en 1993 ,se déclare une leucémie. En même temps, elle était enceinte et, pour des raisons compréhensibles, elle refusait une chimiothérapie avec transplantation de moelle, car cette thérapie aurait menacé la vie du phoetus. Son frère aurait pu offrir les cellules nécessaires. Dunja met au monde un enfant sain. Ensuite elle entre en contact avec le monde des disciples de Hamer. Dunja refuse alors toute thérapie conventionnelle. Sa mère la renforce dans sa décision de se fier à la doctrine de Hamer. Sans prendre de médicaments et sans thérapie, elle meurt à l’âge de 21 ans, peu de temps après la naissance d’un deuxième enfant.

2000: Gaby J., la fille de Rose-Laure Huber (Suisse)

La chaine TV RBB du „Land“ (c’est à dire la région ou département) Berlin-Brandenburg transmettait le 10 novembre 2005 dans le cadre des émissions „Kontraste“ un film à propos de la mort affreuse de l‘infirmière suisse Gaby J. (le nom est connu à l’auteur de ce texte, mais la famille ne veut pas qu’on mentionne le nom de famille de Gaby). Gaby est née en 1952. Elle était malade d’un cancer du sein et refusa toute thérapie conventionnelle supplémentaire à une opération d’ablation du sein. Elle était convaincue pur et dur par la Nouvelle Médecine Germanique. Du côté des personnes liés a la NMG, on lui dit que les symptômes n’étaient que des „signes“ d’une auto-guérison. Il fallait seulement tenir ferme disaient-ils. Mais, elle meurt le jour 5 juin 2000 dans de terribles souffrances.

Sa mère, Rose-Laure Huber a expliqué les derniers jours de sa fille dans la transmission qui suit:

[commentaire: traduction proche de l’original parlé]

Elle était seulement un squelette avec la peau et quelque cheveux. Elle avait l’aspect d’une personne de 90 ans. Toute la poitrine était ouverte, putride, plein de sang et de pus, le dos également – une seule grande plaie . On voyait presque les os, tout était parti. Les douleurs étaient certainement terribles.“

Selon Rose-Laure Huber, la NMG est responsable de la mort de sa fille:

„Je les accuse d’accepter que beaucoup de personnes meurent de façon terrible. Sans aide médicale. Ce sont des menteurs, ce sont des gens qui méprisent l‘homme. Je ne sais pas quoi dire de plus.

2000: Karin von Gunten (Suisse)

Karin von Gunten avait cancer du col de l’utérus et était une convaincue de la NMG. Elle meurt le 15 novembre 2000. Elle croyait en un „conflit“ comme origine du cancer, et en croyant d‘avoir trouvé son „conflit“ elle refusait toute thérapie conventionnelle. Très tard, un an après le diagnostic et après de nombreuses tentatives d’auto-guérison, elle se rendait compte qu’une intervention chirurgicale pourrait être utile. Au début, elle fut aidée par sa famille. Plus tard, durant les dernières deux semaine de vie, elle se sépara de la famille et fut aidé par une amie.


2000-2001: femme inconnue (Suisse)

Le journal suisse „Tages-Anzeiger“ informait ses lecteurs en 2003 de la mort cruelle d’une femme suisse ayant un cancer du sein et qui s’était confiée à la nouvelle médecine germanique.

Chronologie: la femme, agée de 47 ans de la région de Mutschellen (Zurich) fut informée le 4 aout 2000 qu’elle avait un cancer au sein gauche. Une ponction révèla qu’il s’agissait d’un cas de tumeur maligne. Par des „amis“ elle apprend l’existence de la NMG et elle décida de refuser toute thérapie conventionnelle. Deux femmes thérapeutes de la NGM la convainquent qu’elle guérirait prochainement. Durant un an, le noeud dans le sein reste sans symptôme, quand soudainement il s’ouvre et libère du sang. Les deux femmes de la NMG se montrent sûres que ce serait seulement le résultat de la ponction du médecin. Mais la femme va à l’hôpital, où on remarque que le sein était gonflé de pus et que la tumeur avait augmenté de volume. Une opération était difficile à réaliser. La femme refusa toute chimiothérapie et thérapie de radiation, car cela serait „mortel“ comme disaient les deux thérapeutes. La blessure d’opération ne se fermait pas, et une inflammation devient chronique avec une sécrétion continue de pus. La femme devint de plus en plus faible et devait à la fin se déplacer en chaise roulante. La douleur était terrible, mais elle refusait tout médicament contre la douleur, en accord avec les règles de la NMG. Les deux thérapeutes étaient toujours de l’avis que leur patiente serait sur le chemin de la guérison. La femme est désespérée et voyage avec son mari vers Espagne pour voir Hamer. Mais Hamer semble embarrassé et perplexe. Le mari se rappelle: „ il a examiné ma femme dans la salle de l’hôtel, mais n’a rien fait de plus.“ Hamer informe la femme qu’elle serait dans une phase de guérison. La raison de l’existence du cancer serait un conflit de partenariat (conflit avec un partenaire) et conflit avec le père, dit Hamer. Le mari de la femme est cependant sûr: „notre mariage était bien heureux“ et „ ma femme n’avait aucun conflit avec son père“. Le mari reste solidaire avec sa femme et respecte ses décisions, mais s’inquiète de plus en plus. Dans les mois qui suivent, la situation s’aggrave et le cancer progressait vers les épaules et bras. „Du coté du bras droite il manquait une grande partie de l’os, et aussi de l’os scapulaire manquait une partie“ raconte le mari. Les deux thérapeutes n’en démordent pas: ce ne serait qu’une phase de guérison et les os repousseraient disent elles. A la fin, la femme meurt, dans de terribles souffrances. Encore peu de jours avant sa mort, elle se montrait optimiste et croyait guérir prochainement. Après la mort, le mari s’ouvre envers les deux thérapeutes et se fait des reproches de ne pas être intervenu. La réponse fut: „Ah, vous n’avez pas résolu votre conflit, c’est pour cela que ta femme est morte“. Peu de temps après la mort de sa femme, meurt également sa belle-soeur. Elle aussi avait choisi le chemin de la NMG.

2002: Sören Wechselbaum (Allemagne)

Sören Wechselbaum était un jeune homme sportif, âgé 25 ans en 2002, quand une tumeur fut détectée à un testicule. Selon sa mère Christa, son fils fut fidèle à NMG jusqu’à sa mort. Il refusait toutes les thérapies conventionnelles. Il faut savoir cependant que la tumeur du testicule est une des formes de cancer qui sont très bien guérissables: avec une thérapie efficace (opération plus chimiothérapie), environ 95% des hommes survivent à long terme. Ryke Geerd Hamer lui-même eut une tumeur à un testicule en 1978. Il fut opéré à l’époque et est encore en vie aujourd’hui (après 32 ans en 2010). Mais son supporter Sören meurt. Un seul jour avant sa mort il se confie à son ami Stefan et regrette sa décision mortelle. La mère Christa continue à protester régulièrement en forme de démonstration contre Hamer et sa NMG.

2004: Carmen (Allemagne)

Carmen (le nom complet n’est pas connu) eut un cancer du sein (carcinome intra-ductal) en 2003 et elle meurt durant la même année, à l’âge de 33 ans. Elle refusait toute thérapie conventionnelle de la part des médecins. Elle s’orientait vers des Heilpraktiker (personnes autorisés à exercer la médecine en Allemagne, sans être médecin) et Ryke Geerd Hamer, qui vivait encore en Espagne à cette époque et qui était connu en ce pays. Un curandero promet une guérison rapide, sans chimiothérapie, sans rayon X et sans opération. Elle devait seulement „résoudre“ ses „conflits“ et le cancer partirait tout seul disait-il. Selon les récits de son ami Erik Stolz (sur l’internet), Hamer lui-même reçoit Carmen chez lui et fait une „conflictolyse“ qui se serait déroulée „avec succès“. Mais, Carmen eut une attaque d'apoplexie cérébrale, qui fut analysée comme être une banale „crise épileptoïde“ selon la NGM, à traiter avec des boissons froides et un refroidissement de la tête avec de la glace. La tumeur du sein reste. Carmen va de plus en plus mal, elle a de fortes nausées. Il se forme des métastases, la tumeur progresse vers le dos et les douleurs augmentent. En 2004, les récits de Erik Stolz cessent, il ne parle plus de Carmen. Au début de 2005, on apprend sur l’internet que Carmen était décédée, probablement déjà en été 2004. Les administrateurs du forum pro-NMG effacent les discussions qui suivent. Des observateurs sont cependant capables de sauver quelques preuves. Pour le Heilpraktiker, l’échec thérapeutique reste sans conséquences. Des détails de l’agonie sont à trouver dans un forum d’adhérents à la NGM, en plus sa soeur décrit l’évolution de la maladie dans une émission de „Kontraste“ (RBB) en aout 2007.

2005: le frère de Wolfgang Adelheim (Deutschland)

Le malade en question avait une forme traitable de leucémie, mais il était un disciple de la NMG hamérienne et fut traité par Hamer lui-même. Son médecin était très probablement Anton Bader, un adhérent bien connu de la „méta-médicine“ très poche de la doctrine de Hamer. Selon le conseil donné par Hamer, le malade décide de ne pas se faire traiter par la médecine conventionnelle et il meurt, en perdant de plus en plus de sang et en douleurs. Selon Hamer cependant, la leucémie ne serait pas à craindre, il s’agirait plutôt d’une situation positive, et même „à espérer“.

Son frère Wolfgang Adelheim se rappelle: „Mr Hamer l’a clairement déconseillé à mon frère: s’il se faisait traiter par la „médecine scolastique“ (médecine classique) ce serait sa fin. Cette phrase, il l’a répétée et répétée dans les conversations avec nous. Mr Hamer a dit qu’il aurait une vue complètement différente du phénomène maladie et sa leucémie serait un processus d’auto-guérison de la part du corps. Et mon frère s’est embarqué là-dedans“

2005: Ellen Pegoraro (Italie)

En 2005 l’étudiante italienne Ellen Pegoraro meurt à l’âge de 27 ans. Elle fut traité par un médecin qui s’orientait vers la NMG: Roberto Zanella de Arqua Petrarca (province PV). Zanella fut accusé de meurtre involontaire, mais la procédure judiciaire fut classée, car il meurt entretemps à cause d’un cancer.

2005: Michaela Jakubczyk-Eckert (Deutschland)

La plupart des informations et des photos à propos du déroulement de la maladie de madame Jakubczyk-Eckert proviennent de son mari Gilbert et du médecin qui a soigné Michaela au début.

L’artiste-peintre Michaela Jakubczyk-Eckert est née le 14 novembre 1964 et elle est décédée le 12 novembre 2005. Elle eut un cancer du sein à la fin de l’an 2000 et au début elle était très anxieuse. C’est seulement un an plus tard (à la fin de 2001) qu’elle va chez un médecin. Après une thérapie initiale, elle refuse toute thérapie efficace et thérapie contre les douleurs jusqu’à sa mort. Elle entre en contact avec la doctrine et la scène de la NMG à travers l’internet. Avec sa mère elle visite Hamer en 2002 en Espagne. Selon les souvenirs de son mari (qui était critique envers Hamer), Hamer lui aurait dit que son cancer au sein du coté droit (selon Hamer parce qu’elle était droitière) serait le résultat d’un „conflit avec un partenaire“. Le mari se souvient aussi que Hamer aurait défendu toutes les thérapies conventionnelles et aussi une opération qui était prévue à l’époque. Quand les deux femmes demandent à Hamer combien il y avait à payer (Hamer n’avait pas l’autorisation d’exercer la médecine en Espagne) celui-ci aurait conseillé d’acheter deux de ses livres pour 150 Euros, les femmes acceptent alors „l’invitation“. Après son retour, Michaela Jakubczyk-Eckert termine la thérapie qu’elle avait commencée. Peu de temps après, Hamer est arrêté en Espagne et extradé en France (procès de Chambery). Michaela fait un don pour son procès. Un „groupe d’études de la NMG“ ("Studienkreis der Germanischen Neuen Medizin") en Rhénanie-du-Nord-Westphalie s’occupe d’elle et renforce sa foi en la doctrine NGM. Mais la situation s’aggrave et Michaela ne peut plus rester à la maison et entre dans un hospice pour malades souffrants de maladies incurables à Köln (Hospiz Lohmar, Cologne). Là, le personnel est horrifié à cause du manque de soins et de l’état de Michaela. Elle meurt dans des souffrances terribles.

2005: Corinne Thos (Rouen, France)

Le 23 novembre 2005 meurt à l‘âge de 41 ans la danseuse et institutrice de danse, Corinne Thos de Rouen, mère de deux enfants. Madame Thos eut une tumeur au sein en 2003. C’est dans son école de danse qu’elle entre en contact avec un thérapeute (qu’elle appelle „psychothérapeute“) et en lequel elle avait confiance. Corinne accepte le conseil du thérapeute de refuser une thérapie. Envers sa famille elle ment: elle n’aurait plus rien, et serait guérie. En même temps elle s’éloigne de la famille, parce que le thérapeute lui conseille de s’isoler, pour avoir plus de liberté de prendre ses propres décisions. Mais après deux ans, elle se confie à la famille. Elle avoue avoir toujours la tumeur au sein, et la tumeur c’est étendue jusqu’à l’os. Une thérapeute, lié avec la NGM (et déjà condamnée auparavant) informe Corinne que sa situation serait „normale“ et que les „trous“ se „refermeraient“ dans le futur. Corinne essaye aussi de convaincre la famille de la doctrine de Hamer. Sa situation s’aggrave de plus en plus et elle ne pouvait plus marcher. Le 23 novembre 2005 elle meurt chez elle à la maison.

2006: Domenico Mannarino de Crotone (Calabria, Italie du sud)

Le 20 aout 2006 meurt après de terribles souffrances, et sans l’assistance de son médecin de choix, le policier italien Domenico Mannarino de la ville de Crotone (en Calabre). L’homme de 50 ans meurt à cause des suites d’une tumeur aux poumons et de métastases. Depuis novembre 2005 il connaissait sa tumeur aux poumons qui avait au début un diamètre d’un centimètre. Il choisit une „thérapie“ selon la NMG, car un médecin dans sa famille (B.L.) était un adhérent de la doctrine de Hamer. En vérité, ce médecin ne travaillait pas a Crotone, mais était un médecin de la clinique „San’t Andrea“ de Rome, mais toutefois, il venait régulièrement a Crotone pour s’occuper de patients privés. Domenico Mannarino, avec sa femme Cinzia, fait un voyage à Aulla en Ligurie, où il consulte auprès d’un des médecins „expert“ en NMG, le Dr. Lupi. Lupi demande 150 Euro pour la consultation et montre clairement qu’il serait opportun d’acheter chez lui des livres à propos de la NMG. Et en effet, le couple achète des livres chez lui. Il faut savoir qu’à Aulla réside la représentation de l’imprimerie des livres GNM en langue italienne (une société a responsabilité limitée), liée à Lupi. Cinzia et Domnico s’étonnent beaucoup: Lupi parle presque tout le temps de lui-même et se met en scène, ils sont déçus. Plus tard, le président de l’organisation pro-Hamer ALBA (de Gènes), l‘ex barman suisse Marco Pfister (sans aucune formation professionnelle en médecine), entre en scène et croit devoir ausculter Domenico Mannarino. Le médecin B.L. ensuite trouve un diagnostic particulier: il refuse le diagnostic radiologique d‘une tumeur aux poumons et croit en une simple „ulcération de bronches“ et exclut catégoriquement un cancer. Le médecin familial défend toutes les thérapies conventionnelles, et défend ultérieures examen en radiologie. Et il demande à Domenico de ne pas parler de ses choix thérapeutique (NMG) avec d’autres médecins, et de ne pas révéler son nom comme médecin actuel. B.L. promet une guérison rapide de son „ulcération“. Domenico Mannarino suit les conseils de B.L., mais la situation sanitaire s’aggrave rapidement. La tumeur grandit et une métastase se montre au menton. Selon B.L., ce serait un signe d’une guérison. Plus tard apparait une hémiplégie causée par le cancer et il meurt chez lui à la maison, soigné par sa femme et ses trois enfants. Son docteur (le seul qu‘il pouvait contacter selon leur accord) n’était pas joignable, car en vacances dans les iles caraïbes. Après son retour il ne console pas la veuve mais au contraire lui fait des reproches, elle aurait été, selon B.L., „sceptique“ envers la NMG dit-il, et elle aurait une co-responsabilité pour la mort de son mari. La veuve répond qu’elle aurait encore lu des chapitres du livre pro-GNM Testamento di una nuova medicina à son mari, quand celui-ci était incapable de lire et de bouger, étendu dans son lit de mort. L‘ ex policier Mannarino était soigneux, et a noté tous les évènements du déroulement de la maladie, et beaucoup de détails dans un carnet. En même temps il gardait aussi touts les reçus e factures. Sa femme Cinzia est actuellement en possession de ce carnet, dont elle a publié une partie sur l‘internet. A cause des relations familiales, elle connait très bien le médecin B.L. et a su que celui-ci n’a pas voulu appliquer la NMG dans le cas d’un cancer de sa propre mère, à laquelle il a conseillé une radiothérapie conventionnelle. La veuve courageuse a dénoncé B.L. à la police, mais en vain: le cas fut clos sans condamnation. Quand Mme Cincizia Alunni a voulu apparaitre à la TV italienne (RAI) pour parler de son mari et de la NMG, elle fut menacée. Elle fut agressée par une personne masquée et armée d’un pistolet. Elle renonçait à se soumettre à l‘interview RAI.

2006: Aldo de Bergamo (Italie)

En décembre 2006 meurt à Bergamo en Italie le jeune disciple de Hamer, Aldo, à cause d’un cancer du gros intestin. Aldo était très actif sur l’internet, surtout dans un forum où les adhérents pro-NMG et les sceptiques échangeaient leurs avis (forum du comique italien très populaire Beppe Grillo). Il utilisait le surnom „Ali Baba“ pour rester anonyme. Il était un adhérent très acharné de la NMG, fasciné par la simplicité (et primitivité) de cette doctrine. Plusieurs membres dans ce forum étaient déjà inquiets, on se demandait pourquoi il était tellement fixé à Hamer et ces hypothèses. Très probablement, il était déjà malade. Il commence à parler de symptômes et lentement on comprend qu’il a un cancer. Le 20 septembre 2006 il parle d’une tumeur, qu’il met en relation avec son cancer. Il ne veut pas aller chez un docteur, il veut se soigner lui-même. (En vérité on a su plus tard que ce n’était pas tout a fait exact, il voulait aparement protéger un ou une thérapeute inconnu(e) et peut-être aussi ses parents qui étaient orientés vers la NMG) . Personne dans ce forum ne donne le conseil d’aller chez un docteur. Le 2 octobre apparaissent les premiers doutes envers la NMG, car il avait entre temps lu un livre du charlatan et médecin romain radié et condamné Tullio Simoncini qui offre un système concurrent et aussi primitif que celui de la NMG: tous les cas de cancer sont en vérité causés par le champignon „Candida albicans“ à traiter avec du bicarbonate de sodium (poudre à lever de cuisine). Simoncini est cependant un critique de la NMG, et cela a créé des doutes chez Aldo, en sachant que Hamer voit dans les micro-organismes des „aides“ pour guérir et pas un agent nocif. Aldo ne réussit pas à résoudre ce contraste entre deux doctrines absurdes, il était aussi complètement profane en médecine. Le 24 novembre il parle d’une grande tumeur qui gonflerait son ventre, il perd du sang et doit être traité d’urgence dans un hôpital (où on traite seulement la perte de sang). Selon lui il devrait guérir rapidement, car il aurait fait une „conflictolyse“ avec succès. Aldo, sur l’internet, s’accroche à une anecdote d’un malade affecté d’un prétendu cancer du cerveau qui aurait été guéri par la NMG, mais il ne reçoit aucune indication précise. Il commence à penser à une opération. Dans sa situation fatale, il choisit de se mettre en contact avec l’association ALBA de Gènes, qui réunit en Italie les disciples de Hamer et vend des séminaires et cours en NMG (chiffre d’affaires: + d’un million Euro par an). A son email de détresse est répondu avec un email standard de ALBA qui le déçoit: il lit que ...le patient est responsable de sa thérapie... Il comprend, que soit on ne le prenait pas aux sérieux, soit il était incompétent ou qu’on ne voulait rien savoir de lui. Son dernier post dans le forum est pratiquement un adieu au monde et en même temps un message de refus total de la médecine moderne. Il ajoute qu’aucun médecin NMG ne l’aurait traité (peut être il déclare ça à la demande d’un tel). Il ne comprend pas pourquoi sa conflictolyse ne’amène pas à la guérison espérée. Les derniers mots parlent d’un destin. Quelques jours avant sa mort, Aldo laisse tous ses mots de passe à une amie. Elle devait continuer à écrire en son nom. Mais l’amie, choquée par la mort de son ami, ne réussit pas à faire cela et révèle des détails de son cas. Selon elle, Aldo avait un cancer du gros intestin qui se transmet comme une forme de cancer d’origine génétique. D’autres membres de sa famille auraient choisi une opération du même type de cancer et auraient survécu. (probablemment la polypose adénomateuse familiale). L’existence de cette forme de cancer contredit d’ailleurs clairement la doctrine de la NMG, qui prévoit un conflit particulier au début de la formation du cancer, et exclue les facteurs génétiques ou de l’ambiance (tabac, radiation etc).


A voir aussi

Bibliographie

  • Les charlatans de la santé, Jean-Marie ABGRALL, Payot 1998.
  • Les sectes à l'assaut de la santé, Paul ARIES , Golias 2000.
  • Le New-Age, son histoire, ses pratiques, ses arnaques, Renaud MARHIC, Le Castor Astral 1999.
  • Le dico des sectes, Annick DROGOU, Centre Roger IKOR, Milan 1998.
  • La mécanique des sectes, Jean-Marie ABGRALL, Payot 1996.
  • La santé à n'importe quel prix ? Samuel Pfeifer, édition Brunnen Verlag-bâle 1995 (Approche protestante).
  • Médecines parallèles : oui ou non ? Maurice Ray, éditions Ligue pour la lecture de la Bible, Lausanne 1987.

Liens

  1. Xavier Margarit (Barcelona), El Mundo vom 13. August 1995
  2. http://www.elmundo.es/papel/hemeroteca/1995/08/13/sociedad/59623.html