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== Biographie de John Lambert sur le site du Mater Hospital de Dublin  ==
 
== Biographie de John Lambert sur le site du Mater Hospital de Dublin  ==
 
[Traduction DeepL: ]<br>Le Dr John Lambert est consultant en maladies infectieuses et en médecine génito-urinaire. Il exerce à Dublin, en Irlande, en tant que consultant à l'hôpital universitaire Mater Misericordiae et à la maternité Rotunda, et enseigne à l'école de médecine et de sciences médicales de l'UCD [University College Dublin]. Il est directeur de l'unité nationale d'isolement pour les maladies hautement infectieuses à l'hôpital universitaire Mater Misericordiae et membre du comité national de la fièvre hémorragique virale du HSE. Il a également été impliqué dans le groupe de stratégie de santé sexuelle en Irlande et a enseigné aux médecins généralistes irlandais sur le sujet des MST [Maladies Sexuelles Transmissibles]. Il a été formé aux États-Unis, à l'Université d'État du Michigan et à Rochester NY, et a été professeur adjoint à l'Institut de virologie humaine de Johns Hopkins et de l'Université du Maryland à Baltimore avant de retourner au Royaume-Uni en 2000, où il a travaillé au St Mary's and Kings College Hospital de 2000 à 2005 avant sa nomination à Dublin. Ses travaux sur le VIH se sont concentrés sur l'étude des médicaments anti-VIH et sur la coinfection par le VIH et l'hépatite C. Il s'est également intéressé à l'infection par le VIH pendant la grossesse et aux études sur la surveillance des médicaments thérapeutiques pendant la grossesse. Il a rédigé plus de 10 chapitres de livres et 80 articles évalués par des pairs, principalement sur les maladies infectieuses, les vaccins, le VIH et les MST [Maladies sexuelles transmissibles].<ref>https://www.mater.ie/consultants/dr-john-lambert/ Biography<br>Dr John Lambert is is a consultant in Infectious diseases and genitourinary medicine, and has been practicing in Dublin Ireland as a consultant in the Mater Misericordiae University Hospital and Rotunda Maternity hospitals, with teaching appointment at UCD School of Medicine and Medical Science. He is director of the National Isolation Unit for Highly Infectious Diseases at the Mater Misericordiae University Hospital and a member of the National Viral Hemorrhagic Fever Committee of the HSE. He has also been involved in the Sexual Health Strategy group in Ireland and teaching GP in Ireland on the subject of STDs. His training was in the USA at Michigan State University and Rochester NY, and he was an assistant professor at Johns Hopkins and University of Maryland Institute of Human Virology in Baltimore prior to returning to the UK in 2000, where we worked at St Mary’s and Kings College Hospital 2000-2005 prior to his appointment in Dublin. His HIV work has focused on HIV drugs studies and HIV and hepatitis C coinfection studies, and he has been active in HIV infection in pregnancy and studies of therapeutic drug monitoring in pregnancy. He has over 10 book chapters and 80 peer reviewed articles, primarily on infectious diseases, vaccines, HIV and STDs.</ref>
 
[Traduction DeepL: ]<br>Le Dr John Lambert est consultant en maladies infectieuses et en médecine génito-urinaire. Il exerce à Dublin, en Irlande, en tant que consultant à l'hôpital universitaire Mater Misericordiae et à la maternité Rotunda, et enseigne à l'école de médecine et de sciences médicales de l'UCD [University College Dublin]. Il est directeur de l'unité nationale d'isolement pour les maladies hautement infectieuses à l'hôpital universitaire Mater Misericordiae et membre du comité national de la fièvre hémorragique virale du HSE. Il a également été impliqué dans le groupe de stratégie de santé sexuelle en Irlande et a enseigné aux médecins généralistes irlandais sur le sujet des MST [Maladies Sexuelles Transmissibles]. Il a été formé aux États-Unis, à l'Université d'État du Michigan et à Rochester NY, et a été professeur adjoint à l'Institut de virologie humaine de Johns Hopkins et de l'Université du Maryland à Baltimore avant de retourner au Royaume-Uni en 2000, où il a travaillé au St Mary's and Kings College Hospital de 2000 à 2005 avant sa nomination à Dublin. Ses travaux sur le VIH se sont concentrés sur l'étude des médicaments anti-VIH et sur la coinfection par le VIH et l'hépatite C. Il s'est également intéressé à l'infection par le VIH pendant la grossesse et aux études sur la surveillance des médicaments thérapeutiques pendant la grossesse. Il a rédigé plus de 10 chapitres de livres et 80 articles évalués par des pairs, principalement sur les maladies infectieuses, les vaccins, le VIH et les MST [Maladies sexuelles transmissibles].<ref>https://www.mater.ie/consultants/dr-john-lambert/ Biography<br>Dr John Lambert is is a consultant in Infectious diseases and genitourinary medicine, and has been practicing in Dublin Ireland as a consultant in the Mater Misericordiae University Hospital and Rotunda Maternity hospitals, with teaching appointment at UCD School of Medicine and Medical Science. He is director of the National Isolation Unit for Highly Infectious Diseases at the Mater Misericordiae University Hospital and a member of the National Viral Hemorrhagic Fever Committee of the HSE. He has also been involved in the Sexual Health Strategy group in Ireland and teaching GP in Ireland on the subject of STDs. His training was in the USA at Michigan State University and Rochester NY, and he was an assistant professor at Johns Hopkins and University of Maryland Institute of Human Virology in Baltimore prior to returning to the UK in 2000, where we worked at St Mary’s and Kings College Hospital 2000-2005 prior to his appointment in Dublin. His HIV work has focused on HIV drugs studies and HIV and hepatitis C coinfection studies, and he has been active in HIV infection in pregnancy and studies of therapeutic drug monitoring in pregnancy. He has over 10 book chapters and 80 peer reviewed articles, primarily on infectious diseases, vaccines, HIV and STDs.</ref>
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== Implication de John S. Lambert dans la demande de révision des codes CIM pour la Borreliose de Lyme à l'ONU et à l'OMS ==
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Jenna Luché-Thayer, directrice du comité ad hoc, a donné un aperçu du rapport 2018 « La situation des défenseurs des droits humains de Lyme et des patients atteints de borréliose de la fièvre récurrente », qui a été suivi par des représentants partageant des cas de leurs pays. [...] Le professeur français Christian Perronne est un spécialiste des maladies infectieuses et tropicales de renommée internationale avec plus de 300 publications scientifiques et a joué un rôle consultatif auprès de l'OMS. Perronne a expliqué au Rapporteur spécial comment, à la suite de sa présentation de 2016 sur la LB à l'Académie nationale de médecine de France, il a été publiquement qualifié de « terroriste » par l'ancien président de l'Académie, le professeur Marc Gentilini. [...]<ref>https://canlyme.com/2018/06/14/corruption-and-human-rights-violations-against-lyme-doctors-scientists-and-parents-now-on-united-nations-record/</ref>
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John Lambert apporte sa pierre à l'édifice, il écrit le 24 juin 2020 une lettre intitulée ''Time to recognise Congenital Lyme: an open letter to the WHO''. On lit dans sa lettre (ou plus exactement leur lettre, puisque la lettre est signée à la fois par Christian Perronne et par John S Lambert) publiée par le Lyme Resource Centre (LRC) éccossais [traduction google]:
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Cher Dr Tedros Ghebreyesus,
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Nous vous écrivons aujourd'hui pour protester contre la suppression du code 1C1G.2, pour la « borréliose congénitale de Lyme », des nouveaux codes CIM-11, et pour vous demander de soutenir son rétablissement en tant que catégorie « autonome ».
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Avec la lettre actuelle (les communications précédentes sont restées sans réponse), nous espérons une fois de plus vous sensibiliser aux préoccupations importantes concernant la maladie de Lyme congénitale, et demandons à l'OMS d'embrasser la science, plutôt que de l'ignorer comme cela a été fait dans la CIM- 11 en ce qui concerne l'infection congénitale de Lyme à ce jour.
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Une demande d'inscription de la « borréliose congénitale de Lyme » en tant que catégorie « autonome » dans les nouveaux codes de la CIM-11 a été faite par le Comité ad hoc pour l'équité en santé dans les codes de la borréliose de la CIM-11, soumise le 27 mars 2017 par Jenna Luché -Thayer et autres auteurs. À la suite d'un examen scientifique dirigé par l'OMS, le code 1C1G.2, pour « Borréliose congénitale de Lyme », a été publié dans le cadre de l'annonce de l'OMS de juin 2018 sur les « codes stables », ce qui signifie qu'ils ont été soigneusement vérifiés et acceptés comme stables.
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Après son acceptation en juin 2018, le Comité consultatif médical et scientifique (MSAC) de l'OMS a apparemment procédé à un deuxième examen de ce « code stable » et a recommandé la suppression du code lors d'une réunion en octobre 2018 (1). Le comité ad hoc dirigé par Jenna Luché-Thayer n'a pas été informé de la réunion ou de la suppression du code. Ce n'est que par hasard que la suppression a été découverte sur le site Web de l'OMS. Aucune raison n'a été fournie lorsque les membres du comité ad hoc ont enquêté sur cette suppression secrète et inexplicable. Cependant, la correspondance d'un membre du comité de l'OMS indiquait que « c'était en réponse à une demande d'élimination de la borréliose congénitale de Lyme par l'Agence de la santé publique du Canada (ASPC)… ».
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À la suite de la suppression de la « borréliose congénitale de Lyme » des codes CIM-11, entre juillet et octobre 2019, plusieurs communications demandant des éclaircissements ont été faites par le Dr John Lambert, des membres du comité ad hoc, des citoyens concernés, des députés, des membres de la Chambre des Lords du Royaume-Uni et les députés européens du monde entier aux personnes « responsables » au sein de l'OMS qui administrent les codes ICD-11. Il n'y a pas eu d'explication satisfaisante pour la suppression de la « borréliose congénitale de Lyme ». Une communication a déclaré que puisque la maladie de Lyme congénitale n'a pas de « syndrome congénital », elle n'a pas besoin d'un code autonome. Cependant, le paludisme congénital n'a pas de « syndrome congénital », mais il a un code autonome.
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Le site Web des Centers for Disease Control and Prevention a été mis à jour le 27 janvier 2020 pour inclure la mère au fœtus comme moyen possible de transmission de la maladie. Le site indique maintenant :<br>la maladie de Lyme acquise pendant la grossesse peut entraîner une infection du placenta et une mortinaissance possible » et « La propagation de la mère au fœtus est possible mais rare ».
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Alors que la «politique» de Lyme suit son cours, contrôlée non par la science mais par l'influence et l'intrigue, les enfants touchés et infectés par ces infections transmises par les tiques continuent de souffrir.
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Nous demandons à l'OMS d'examiner le processus qui s'est déroulé entre octobre 2018 et mai 2020, et de fournir au comité ad hoc les noms des membres du comité de l'OMS, ainsi que les noms des correspondants et des copies de toute correspondance avec NICE et l'ASPC dont les actions ont initié une telle action secrète. Nous demandons en outre des copies du procès-verbal de la réunion au cours de laquelle l'OMS a choisi de supprimer Congenital Lyme en tant que code ICD11. Nous demandons la transparence et un processus équitable, et demandons que le scientifique en chef de l'OMS, le Dr Soumya Swaminathan, dont nous comprenons que la position inclut la science, la recherche et les preuves dans l'élaboration des politiques, soit appelé à examiner à la fois le processus et la science.<br>Nous demandons immédiatement le retour de la « borréliose congénitale de Lyme » en tant que catégorie « autonome » dans les nouveaux codes CIM-11. Ce n'est qu'avec une telle classification que nous pouvons vraiment cataloguer l'étendue de la maladie causée par la [[maladie de Lyme]] (et d'autres co-infections) pendant la grossesse et leurs effets sur l'enfant à naître. Nous avons besoin d'études prospectives sur les femmes enceintes et d'un suivi longitudinal des enfants nés de ces mères. De meilleures ressources scientifiques et financières permettront de mieux comprendre ce processus pathologique. Nous demandons que la science et la transparence du processus prévalent dans la lutte contre la «maladie de Lyme congénitale».
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Merci d'avoir pris en compte notre point de vue. Nous attendons avec impatience de vos nouvelles et anticipons une réponse favorable de l'OMS pour soutenir nos efforts visant à accroître la visibilité des mères et des bébés vivant avec la maladie de Lyme.
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Cordialement,
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Pr Christian Perronne, MD, PhD<br>
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Professeur de Maladies Infectieuses et Tropicales<br>
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Faculté de Médecine Paris-Ile de France-Ouest<br>
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Université de Versailles-St Quentin en Yvelines (UVSQ)<br>
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Paris-Saclay<br>
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France
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Dr. John S. Lambert, MD, PhD<br>
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Professeur de médecine et de maladies infectieuses<br>
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Mater Misericordiae Hospital et UCD School of Medicine<br>
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Dublin<br>
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Irlande<br>
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cc. Dr Soumya Swaminathan, scientifique en chef de l'OMS.<ref>https://www.lymeresourcecentre.com/who-letter-20200624</ref>
    
== La 1st European Crypto-Infections Conference 2019 ==
 
== La 1st European Crypto-Infections Conference 2019 ==
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