Helmut Pilhar

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Helmut Pilhar

Helmut Pilhar (né le 25 février 1965 à Grünbach, décédé le 31 août 2022 au Paraguay) était un ingénieur autrichien et un conférencier itinérant. Sans qualification médicale, il a diffusé une méthode de diagnostic et de traitement pseudo-médicale appelée Médecine Nouvelle Germanique (MNG, également connue sous le nom de GHK-Germanische Heilkunde) du défunt médecin allemand Ryke Geerd Hamer, et a proposé des séminaires payants. Il a longtemps été considéré comme un proche de Hamer]]. Encore en Autriche, Pilhar a été qualifié de "disciple de Hamer" par son épouse. Le 5 novembre 2013, le quotidien Wiesbadener Tagblatt s'est penché sur [le cas] Pilhar et l'a qualifié de "l'orateur de la folie". Dans l'esprit des conventions de dénomination des citoyens du Reich, Helmut Pilhar se nommait lui-même de la manière suivante : "helmut aus der Familie pilhar Souveräner Men[sch] - geistig-sittliches Wesen aus Fleisch und Blut - ENTITÄT/Disseits Naturrecht - Völkerrecht", qui serait "membre du sujet de droit international qu'est l'État de Basse-Autriche". Dans une autre formulation, on peut également lire : "JE SUIS, essence éternelle, in corpore, également perçu comme H-e-l-m-u-t de la famille pilhar, désignation chrétienne, représentant autorisé, autographe non transmissible". Ces deux auto-désignations pompeuses documentent sa proximité avec le mouvement des citoyens du Reich. Toutefois, ses souhaits d'indépendance vis-à-vis de l'État autrichien ne se réfèrent pas à des exigences financières phatiques envers l'Autriche. En 2017, il a ainsi réclamé pour lui, sa femme, sa fille Olivia et Hamer 100 millions d'euros chacun et une pension mensuelle de 10.000 euros. A cela s'ajoutent la citoyenneté d'honneur et des passeports diplomatiques. Pilhar ne réclame toutefois pas cette somme pour son fils.

Les derniers lieux de résidence connus d'Helmut Pilhar étaient au Paraguay, dans la "colonie privée El Paraíso Verde" - (RELJUV S.A. du propriétaire Juan Joaquin Buker / Erwin Annau de langue allemande, près de Cáazapa au Paraguay sud-américain, où, selon ses propres dires, il n'aurait pas besoin de voir de chemtrails. Dans les mentions légales de son propre site web, Pilhar indiquait auparavant une adresse à Villarica, au Paraguay, à environ 40 km au nord de l'adresse de Cáazapa[4].

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Références