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En 2012, Christian Perronne critique l'article "Antiscience and ethical concerns associated with advocacy of Lyme disease" publié par Paul G Auwaerter et ses éminents collègues dans le journal Lancet Infect Dis en septembre 2011 (le lien vers l'article intégral figure ci-dessous dans "liens externes") <ref>[[media:Perronne_critique_Auwaerter.pdf|On trouvera dans ce document, entre autres, la lettre de Correspondence [critique] envoyée par Christian Perronne à Paul Auwaerter et ses éminents collègues, lesquels ont publié en 2011 un rappel des activités et du comportement du groupe dissident ILADS]]</ref>.
 
En 2012, Christian Perronne critique l'article "Antiscience and ethical concerns associated with advocacy of Lyme disease" publié par Paul G Auwaerter et ses éminents collègues dans le journal Lancet Infect Dis en septembre 2011 (le lien vers l'article intégral figure ci-dessous dans "liens externes") <ref>[[media:Perronne_critique_Auwaerter.pdf|On trouvera dans ce document, entre autres, la lettre de Correspondence [critique] envoyée par Christian Perronne à Paul Auwaerter et ses éminents collègues, lesquels ont publié en 2011 un rappel des activités et du comportement du groupe dissident ILADS]]</ref>.
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Il est répondu globalement à Christian Perronne et à un autre critique:
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:''Christian Perronne et Carl Tuttle croient tous deux que les tests sérologiques actuels pour B. burgdorferi ne sont pas fiables. Bien que le système immunitaire humain puisse prendre de 2 à 3 semaines pour produire des concentrations détectables d'anticorps dans les premières phases de la [[maladie de Lyme]], ce retard est également signalé dans de nombreuses autres infections bactériennes. Ce retard n'annule en rien l'utilité de la sérologie à deux niveaux, qui a des résultats fiables dans les symptômes ultérieurs de la [[maladie de Lyme]], y compris l'arthrite et les présentations neurologiques. Plutôt que de demander aux gens de contester cette approche bien validée qui est utilisée depuis plus de 15 ans, les critiques devraient fournir des preuves de qualité à l'appui de leur diagnostic ou leur traitement de la [[maladie de Lyme chronique]]. De plus, les recommandations pour la [[maladie de Lyme]] dans les directives de l'Infectious Diseases Society of America (IDSA) ne sont pas basées sur des avis d'experts mais plutôt sur des preuves de niveau I provenant d'essais contrôlés randomisés pour des questions cliniques importantes, telles que le défi d'un traitement pour le traitement de la maladie de Lyme précoce ou tardive et la faible efficacité des antibiotiques pour le syndrome post-maladie de Lyme.<br><br>Après la remise en question de la directive IDSA 2006 pour le diagnostic et la prise en charge de la [[maladie de Lyme]], un comité d'examen scientifique indépendant a décidé que les recommandations devaient rester inchangées. La notion de [[maladie de Lyme chronique]], qui n'a pas gagné en popularité à juste titre, est peu étayée sur le plan clinique ou scientifique pour la plupart des médecins praticiens. Par exemple, dans le Connecticut, seuls 2 % des prestataires de soins primaires utilisent ce diagnostic'' [de maladie de Lyme chronique] ''bien que que la [[maladie de Lyme]] soit endémique dans l'État. Par conséquent, les médecins reconnaissent la valeur des preuves scientifiques si on les comparent avec les efforts législatifs étatiques et les prises de position politiques.''
    
=== To test or not to test? Laboratory support for the diagnosis of Lyme borreliosis ===
 
=== To test or not to test? Laboratory support for the diagnosis of Lyme borreliosis ===
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