Enquêtes de santé

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Enquêtes de santé est un journal, fondé par Jean-Yves Bilien et Laurent Lutaud, s'appuyant sur une association et un site web de même nom[1], qui se veut informatif sur les thèmes du "bien-être et de la Santé".

Cette publication parait tous les 2 mois. Les 17 premiers numéros ont existé sous forme papier et électronique, les suivants sont seulement sous forme électronique.

Dans le 1er numéro paru en juin 2010, on apprend que le directeur de publication, le co-directeur de publication et la rédactrice en chef sont respectivement Jean-Yves Bilien, Laurent Lutaud et la journaliste Myriam Marino[2]. Il existerait un comité scientifique qui validerait certains articles sans que la composition en soit précisée. A défaut, signalons qu'avaient participé à ce 1er numéro le dr Jacques Lacaze, le dr Marc Girard, Pierre Méneton, le dr Luc Bodin, Philippe Dargère Président de la Fédération Européenne de naturopathie (FENAVI)[3][4], Sylvie Simon et Jean-Luc Marino auteur-réalisateur de films.

Contenu

Un exemple au sujet de l'Ebola dans le numéro 25 de septembre-octobre 2014[5] :

  • Tout d'abord, trouve (pages 6 et 7), un article de Pierre Lance « Le chlorure de magnésium peut stopper les effets du virus Ebola » :

    « On est en train d’affoler toute la planète avec l’épidémie africaine causée par le virus Ebola.
    La médecine conformiste avoue son impuissance car elle ne dispose d’aucun traitement efficace, tandis que les laboratoires du complexe pharmacoindustriel mondial sont en effervescence et s’appliquent fiévreusement à trouver un médicament ou un vaccin contre le nouvel ennemi public N° 1. Bien entendu, aucun des ultra-diplômés penchés sur le problème ne songe à examiner si quelque substance naturelle ayant fait ses preuves ne pourrait pas venir à bout du monstre microscopique. Pourquoi en effet étudier cette hypothèse, dont l’inconvénient majeur, si elle se révélait positive, serait de ne pas rapporter le moindre dollar ? Car enfin, soyons réalistes, gardons un oeil sur le CAC 40 et si l’on vous propose le fameux choix «la Bourse ou la Vie», c’est évidemment la Bourse qui doit l’emporter.

    Heureusement, il existe encore des personnes désintéressées dont le seul souci est la santé de leurs semblables et qui préfèrent la Vie à la Bourse. Telle est mon amie Marie-France Billi, ancienne conseillère municipale de Nice, qui s’était déjà illustrée lors de l’épidémie de chikungunya qui désola la Réunion en 2006. Cette femme de coeur et de courage connaissant depuis trente ans les vertus thérapeutiques du chlorure de magnésium, s’était dit qu’il pourrait bien être efficace contre le chikungunya. (Le chlorure de magnésium est reconnu pour son action anti-stress, pour le renforcement du système immunitaire et la stimulation de l’organisme.)
    Elle expédia à la Réunion des dizaines de télécopies conseillant son utilisation contre cette maladie, que les médecins impuissants regardaient progresser les bras ballants. Et elle reçut quelques jours plus tard des dizaines d’appels et de messages de remerciement de Réunionnais guéris grâce à elle. Aussi continua-t-elle ses envois. La nouvelle du remède-miracle se répandit dans l’île et tous les pharmaciens furent bientôt en manque de chlorure de magnésium. Le corps médical, pour sa part, continua de traiter par le mépris l’emploi de ce magnésium, passant à la trappe les remarquables travaux du Professeur Pierre Delbet, membre des Académies de médecine et de chirurgie, qui découvrit durant la première guerre mondiale les vertus thérapeutiques du chlorure de magnésium et qui démontra son efficacité, notamment contre le cancer. (Pierre Delbet[6] est un des personnages du 2e tome de mon livre « Savants maudits, chercheurs exclus », Guy Trédaniel Éditeur.) Mon regretté ami André Passebecq, ancien directeur du Ceredor et de la revue Vie et Action, ancien chargé de cours à la Faculté de Bobigny, expédia lui-même 6 kg de chlorure de magnésium à ses amis réunionnais. Si les journaux télévisés signalèrent bien, fin mars 2006, que l’épidémie semblait stoppée, aucun ne dit le moindre mot de la campagne d’information de Marie Billi ni des effets bénéfiques du chlorure de magnésium. Même Nice-Matin, qui avait révélé l’action de Marie Billi, ne consacra pas une ligne à cette réussite. Le mensonge par omission semble parfois être devenu la spécialité des grands médias français, un peu trop soumis au complexe pharmaco-industriel.
    Or, il se trouve que Marie-France Billi, émue comme tout un chacun par les actuels ravages du virus Ebola, s’est demandée si le chlorure de magnésium ne pourrait pas être une arme efficace contre ce danger. Elle s’est donc mobilisée, ainsi que les membres de son association, pour effectuer sur le terrain un test grandeur nature. Et voici ce qu’elle m’a écrit, le 2 septembre 2014 : « Connaissant le pouvoir exaltant du chlorure de magnésium sur les globules blancs macrophages (les premiers en ligne de défense en cas d'attaque virale de l'organisme), j'ai bien sûr tout de suite pensé au chlorure de magnésium dans cette épidémie d'Ebola. J'ai donc envoyé deux infirmiers maliens avec 40 kg de nigari sur le terrain... (Le nigari est le nom japonais du chlorure de magnésium peu raffiné sous forme de poudre blanche ou de cristaux). Ils sont arrivés en Guinée et après moult contacts avec les autorités et les médecins, qui n'ont bien sûr rien voulu donner (je m'y attendais), il y a quand même un soignant de la Croix Rouge qui a entendu le message et distribué le nigari sans aucune autorisation officielle et qui a constaté les résultats !!! Et ça marche sur EBOLA !!! Une petite précision : Il y a un black-out total envers les malades, qui sont pris en charge par « Médecins sans frontière », lesquels refusent de tester le nigari, prétextant le respect des protocoles, et qui refusent l’accès des malades à tout autre médecin. Donc, ce soignant de la Croix Rouge guinéenne donne du nigari à toutes les personnes présentant des symptômes de la maladie, sans les envoyer à l’hôpital. Et tous les symptômes disparaissent ! ». Au cours de ses travaux, le Professeur Delbet avait fait ressortir toutes les conséquences bénéfiques pour la santé de la supplémentation en magnésium. Il est ainsi avéré que le chlorure de magnésium favorise la disparition des crampes, augmente la résistance des ongles, évite le blanchiment prématuré des cheveux (les cheveux blancs sont carencés en magnésium), évite la formation de calculs biliaires, préserve de l'eczéma, favorise la fixation du calcium sur les os, favorise le travail intellectuel (grand consommateur de magnésium), fortifie le système nerveux, améliore la résistance au stress, évite les altérations de la prostate, guérit les verrues, abaisse la tension des hypertendus, facilite l'élimination des dépôts athéromateux dans les artères, diminuant ainsi les risques vasculaires, évite la gingivite expulsive (perte des dents), améliore les performances des gens âgés (déficitaires en magnésium) et aide à lutter contre le vieillissement. On ne saurait donc s’étonner de ses puissants effets pour lutter contre la fièvre hémorragique causée par le virus Ebola, lequel ne fait sans doute que profiter des carences d’organismes souffrant de malnutrition.

Dans l'article figure un encart précisant :
Pierre Lance est directeur de la revue de prospective L’Ère nouvelle. Il a adressé ce message à « toutes les personnes, associations, organes de presse et sites Internet pouvant lui assurer la plus grande diffusion possible, afin de mettre un terme au terrorisme médiatique qui se développe au sujet du virus Ebola et de fournir au personnel soignant de bonne volonté une arme contre la maladie elle-même ».

De fait, cette lettre de Pierre Lance a aussi été diffusé par Jean-Marc Dupuis [7] et, de là, a fait boule de neige via ses lecteurs de Santé Nature Innovation.


Marie-Laure Billi.jpg
  • Puis, on lit (pages 7 à 11) une interview de Marie Billi (remarque de Psiram : en fait Marie-France Billi, ex-conseillère municipale à Nice) intitulée « Ebola : pas de panique, l’espoir existe ». Elle y préconise du Nigari (en fait du chlorure de magnésium) pour traiter la fièvre hémoragique Ebola : « Le nigari est obtenu par évaporation de l’eau de mer, de sorte que le chlorure de sodium disparaît et il reste 84-87% de chlorure de magnésium, avec d’autres sels. C’est la raison pour laquelle il est nécessaire, pour obtenir la dose de 20 g par litre d’eau, de mettre 30 g de nigari.
    C’est la posologie exacte donnée par le Pr Delbet, éminent médecin et chercheur de l’Académie française de médecine du siècle dernier. Je recommande vivement la lecture de ses oeuvres, où il parle de ses découvertes et de ses expériences. Il explique bien le rôle prophylactique du magnésium sous la forme de sels halogénés, en particulier le chlorure. Il avait d’ailleurs mis au point la formule « Delbiase ».
    En cas d’atteinte virale grave comme Ebola, il est indispensable de boire le litre d’eau dans la journée (pour un adulte), 2-3 verres pour un enfant, 2-3 cuillerées à soupe pour un nourrisson. Continuer à boire un verre par jour pendant 20 jours, ¼ de verre pour un enfant, et 1 cuillerée à café pour un bébé. »

Pour ce numéro d'Enquêtes de santé, le comité scientifique d'"Enquêtes de santé" ne s'est pas étonné, entre autres choses, d'une propriété nouvelle et inattendue du chlorure de sodium, le sel donc, capable de disparaître par évaporation en même temps que l'eau dans laquelle il est dissout, comme l'affirme Marie-France Billi. Mais alors, comment est obtenu le sel de mer de cuisine que chacun a chez soi? Les marais salants ont bien du souci à se faire !

Liens externes

  • http://www.enquetesdesante.com/compte/Nosommaires.pdf Sur cette page, on trouvera les sommaires des anciens numéros d'Enquêtes de santé et on pourra y trouver un grand nombre de personnes, de thérapeutiques alternatives, de sujets, etc. qui ont déjà fait l'objet d'articles-Psiram

Références