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En 2018, l'ANSES (Agence Nationale de la Santé publique pour l'alimentation, l'environnement et la sécurité au travail) a publié le rapport final de 382 pages (en pdf) intitulé "''AVIS et RAPPORT de l'Anses relatif à l’expertise sur l’hypersensibilité électromagnétique (EHS) ou intolérance environnementale idiopathique attribuée aux champs électromagnétiques (IEI-CEM)''"<ref>https:// www.anses.fr/fr/system/files/AP2011SA0150Ra.pdf (voir page 112, pour ce que l'ANSES déclare à propos du Pr Belpomme)</ref>. Certaines phrases font référence à Belpomme (page 112 du rapport) qui, selon l'ANSES, n'était pas disposé à participer au rapport et a également refusé de répondre aux questions écrites :
 
En 2018, l'ANSES (Agence Nationale de la Santé publique pour l'alimentation, l'environnement et la sécurité au travail) a publié le rapport final de 382 pages (en pdf) intitulé "''AVIS et RAPPORT de l'Anses relatif à l’expertise sur l’hypersensibilité électromagnétique (EHS) ou intolérance environnementale idiopathique attribuée aux champs électromagnétiques (IEI-CEM)''"<ref>https:// www.anses.fr/fr/system/files/AP2011SA0150Ra.pdf (voir page 112, pour ce que l'ANSES déclare à propos du Pr Belpomme)</ref>. Certaines phrases font référence à Belpomme (page 112 du rapport) qui, selon l'ANSES, n'était pas disposé à participer au rapport et a également refusé de répondre aux questions écrites :
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:''Par ailleurs, le Pr Belpomme, qui a mis en place une consultation de médecine environnementale dans une clinique privée en septembre 2009, où sont pris en charge notamment des malades qui s’interrogent sur leur éventuelle EHS, a été invité à plusieurs reprises par l’Anses pour être auditionné (le 10 juillet, le 30 septembre, puis le 6 novembre 2014). À chaque fois, le Pr Belpomme a reporté puis décliné l’invitation. Il n’a pas non plus souhaité répondre par écrit aux questions qui lui ont été adressées par le groupe de travail (cf. liste de questions en Annexe 3).<br>
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:''Par ailleurs, le Pr Belpomme, qui a mis en place une consultation de médecine environnementale dans une clinique privée en septembre 2009, où sont pris en charge notamment des malades qui s’interrogent sur leur éventuelle EHS, a été invité à plusieurs reprises par l’Anses pour être auditionné (le 10 juillet, le 30 septembre, puis le 6 novembre 2014). À chaque fois, le Pr Belpomme a reporté puis décliné l’invitation. Il n’a pas non plus souhaité répondre par écrit aux questions qui lui ont été adressées par le groupe de travail (cf. liste de questions en Annexe 3).<br>Les experts du groupe de travail déplorent de ne pas avoir pu s’entretenir avec le Pr Belpomme au sujet de l’EHS. Ils ont néanmoins analysé les résultats qu’il a publiés fin 2015 (Belpomme, 2015) (voir analyse détaillée de l’article au § 6.1.2 et Annexe 4).''
Les experts du groupe de travail déplorent de ne pas avoir pu s’entretenir avec le Pr Belpomme au sujet de l’EHS. Ils ont néanmoins analysé les résultats qu’il a publiés fin 2015 (Belpomme, 2015) (voir analyse détaillée de l’article au § 6.1.2 et Annexe 4).''
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Voir également les auditions de personnalités extérieures au groupe de travail sur l'''Hypersensibilité électromagnétique ou intolérance environnementale idiopathique attribuée aux champs électromagnétiques''<ref>[[media:AP2011SA0150Ra-Anx1_ANSES_Auditions_groupe_de_travail_Hypersensibilité_électromagnétique.pdf|Auditions de personnalités extérieures au groupe de travail sur l'''Hypersensibilité électromagnétique ou intolérance environnementale idiopathique attribuée aux champs électromagnétiques'']]</ref>
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Au début des années 2000, l’activité d’ARTAC n’est plus principalement orientée vers la recherche thérapeutique, mais consiste à prouver que l’accroissement de la plupart des maladies, dont le cancer, est dû à la pollution. Aujourd’hui, «l’équipe» de recherche se résume à deux personnes : le professeur Dominique Belpomme et le biochimiste Philippe Irigaray. De plus, le cancer n’est pas la seule maladie sur laquelle travaille l’association aujourd’hui puisqu’une bonne partie de son activité concerne par exemple l’[[électrosensibilité]] et les effets des champs électromagnétiques sur la santé.
 
Au début des années 2000, l’activité d’ARTAC n’est plus principalement orientée vers la recherche thérapeutique, mais consiste à prouver que l’accroissement de la plupart des maladies, dont le cancer, est dû à la pollution. Aujourd’hui, «l’équipe» de recherche se résume à deux personnes : le professeur Dominique Belpomme et le biochimiste Philippe Irigaray. De plus, le cancer n’est pas la seule maladie sur laquelle travaille l’association aujourd’hui puisqu’une bonne partie de son activité concerne par exemple l’[[électrosensibilité]] et les effets des champs électromagnétiques sur la santé.
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