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Autre vidéo de Mariano Bueno sur le traitement du cancer avec la médecine intégrative<ref>https://www.youtube.com/watch?v=zvA9Dr5kZ9A</ref><ref>https://www.dsalud.com/dsalud-tv/el-tratamiento-del-cancer-con-medicina-integrativa/ Mise en ligne le 23 janv. 2017</ref><br>Présentation de la vidéo sur DSalud TV: [traduction DeepL:] '''Plus de 104 000 personnes''' meurent du cancer chaque année en Espagne ! Ces chiffres officiels de l'Institut national des statistiques (INE) montrent que pratiquement aucun progrès n'a été réalisé dans la prévention et la guérison de cette maladie depuis des décennies, malgré les affirmations des autorités sanitaires, des laboratoires et des groupes d'oncologues. Les chiffres froids sont frappants et montrent que les décès dus à la maladie augmentent inexorablement d'année en année. Mais les grands médias gardent le silence sur cette dure réalité, dissimulant le fait qu'il n'existe pas un seul médicament utilisé en oncologie dont les essais cliniques ont démontré qu'il a permis de guérir un seul cas de cancer, alors que la chimiothérapie, la chirurgie et la radiothérapie sont les techniques de traitement officiellement promues. Probablement parce que la conception même de ce qu'est le cancer et de ce qu'il signifie est erronée. En effet, pour vaincre le cancer, il ne semble pas nécessaire d'ouvrir le corps pour enlever les masses tumorales, de les brûler avec des radiations ou d'essayer de tuer les cellules cancéreuses avec des poisons. Une telle stratégie a échoué lamentablement, mais elle est cachée afin de maintenir l'activité cancéreuse actuelle. En fait, la survie et la qualité de vie des personnes qui ne suivent pas les traitements officiels du cancer sont bien supérieures à celles des personnes qui les suivent. De plus, ceux qui affrontent le cancer de la bonne manière le surmontent souvent avec facilité. De nombreux médecins l'ont déjà confirmé, dont le Dr Mariano Bueno, qui n'a pas hésité à en rendre compte dans cette courte vidéo.
 
Autre vidéo de Mariano Bueno sur le traitement du cancer avec la médecine intégrative<ref>https://www.youtube.com/watch?v=zvA9Dr5kZ9A</ref><ref>https://www.dsalud.com/dsalud-tv/el-tratamiento-del-cancer-con-medicina-integrativa/ Mise en ligne le 23 janv. 2017</ref><br>Présentation de la vidéo sur DSalud TV: [traduction DeepL:] '''Plus de 104 000 personnes''' meurent du cancer chaque année en Espagne ! Ces chiffres officiels de l'Institut national des statistiques (INE) montrent que pratiquement aucun progrès n'a été réalisé dans la prévention et la guérison de cette maladie depuis des décennies, malgré les affirmations des autorités sanitaires, des laboratoires et des groupes d'oncologues. Les chiffres froids sont frappants et montrent que les décès dus à la maladie augmentent inexorablement d'année en année. Mais les grands médias gardent le silence sur cette dure réalité, dissimulant le fait qu'il n'existe pas un seul médicament utilisé en oncologie dont les essais cliniques ont démontré qu'il a permis de guérir un seul cas de cancer, alors que la chimiothérapie, la chirurgie et la radiothérapie sont les techniques de traitement officiellement promues. Probablement parce que la conception même de ce qu'est le cancer et de ce qu'il signifie est erronée. En effet, pour vaincre le cancer, il ne semble pas nécessaire d'ouvrir le corps pour enlever les masses tumorales, de les brûler avec des radiations ou d'essayer de tuer les cellules cancéreuses avec des poisons. Une telle stratégie a échoué lamentablement, mais elle est cachée afin de maintenir l'activité cancéreuse actuelle. En fait, la survie et la qualité de vie des personnes qui ne suivent pas les traitements officiels du cancer sont bien supérieures à celles des personnes qui les suivent. De plus, ceux qui affrontent le cancer de la bonne manière le surmontent souvent avec facilité. De nombreux médecins l'ont déjà confirmé, dont le Dr Mariano Bueno, qui n'a pas hésité à en rendre compte dans cette courte vidéo.
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=== TULLIO SIMONCINI: "EL CÁNCER LO PROVOCAN LAS CÁNDIDAS Y SE CURA CON BICARBONATO SÓDICO ===
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=== Tullio Simoncini: "El cáncer lo provocan las cándidas y se cura con bicarbonato sódico" ===
Présentation de la vidéo sur DSalud TV: [traduction DeepL:]<br>L'oncologue italien [[Thérapie avec du bicarbonate de sodium selon Simoncini|Tullio Simoncini]] affirme que le cancer est une maladie infectieuse causée par des champignons - plus précisément par le Candida - et qu'il se soigne simplement en appliquant de manière appropriée du bicarbonate de sodium dilué dans de l'eau distillée, car il suffit d'alcaliniser la zone tumorale pour contrecarrer l'environnement acide dans lequel elle se développe et ainsi arrêter sa croissance. Cette dilution peut être avalée mais peut aussi être appliquée par voie intraveineuse et, dans les cas les plus compliqués, lorsque l'on veut s'approcher rapidement de la tumeur, en utilisant les mêmes méthodes cliniques que celles qui sont couramment utilisées pour l'exploration des cavités et des organes. Pour lui, les tumeurs ne sont en fait que des mécanismes de défense créés par l'organisme pour se défendre contre l'infection par ces champignons dans le but de les encapsuler puis de les détruire. La preuve en est qu'il est impossible d'observer une tumeur in vivo - que ce soit dans la plèvre, les ganglions lymphatiques, le côlon, l'utérus ou le foie - sans toujours trouver des colonies de Candida.<br>En bref, pour Simoncini, la meilleure façon de traiter le cancer est de mettre le bicarbonate de sodium en contact avec les tumeurs. Aussi près que possible. Par voie orale pour le tube digestif, par lavements pour le rectum, par douches vaginales pour le vagin et l'utérus, par injection intraveineuse pour le poumon et le cerveau, ou par inhalation pour les voies respiratoires supérieures. Les sinus, les ganglions lymphatiques et les nodules sous-cutanés doivent être traités par perfusion locale. Les organes internes peuvent être traités au bicarbonate de sodium à l'aide de cathéters appropriés placés dans des artères (du foie, du pancréas, de la prostate et des extrémités) ou des cavités (de la plèvre ou du péritoine). Il faut évidemment connaître les doses appropriées et observer les réactions car chaque patient est différent et il faut tenir compte du fait que la régression des colonies tumorales se produit entre le troisième et le quatrième jour et l'effondrement entre le quatrième et le cinquième jour, donc six jours d'administration sont généralement suffisants. Simoncini explique qu'un cycle complet et efficace consiste généralement en six jours de traitement et six jours de repos, répétés quatre fois.<br>Et pourquoi, si ce qu'il affirme est si facilement vérifiable, n'a-t-il même pas été vérifié par des oncologues ? Selon Simoncini lui-même, pour une raison très simple : les traitements anticancéreux au bicarbonate de sodium sont très bon marché. Selon lui, une tumeur de la vessie peut être traitée pour 100 euros et un cancer de la peau - y compris les mélanomes - pour 20 euros, avec un taux de réussite de 95 %. La présentation qu'il a faite, aussi bouleversante que choquante, a été donnée lors du IIIe Congrès international sur les traitements complémentaires et alternatifs du cancer, qui s'est tenu à Madrid (Espagne) sous le parrainage de l'ASSOCIATION MONDIALE POUR LA RECHERCHE SUR LE CANCER (WACR) et du magazine espagnol Discovery DSALUD.<ref>https://www.youtube.com/watch?v=p4XWXZ66Aaw&list=PLOsIRoPNXkeXlz8rs-Ux3IMtCjOILq6Cj&index=15 Mise en ligne le 15 juin 2011.<br>El oncólogo italiano Tullio Simoncini sostiene que el cáncer es una enfermedad infecciosa provocada por hongos -concretamente por cándidas- y se cura aplicando de la forma adecuada simple bicarbonato sódico diluido en agua destilada porque basta alcalinizar la zona del tumor para contrarrestar el entorno ácido en el que se desenvuelve y detener así su crecimiento. Dilución que puede ingerirse pero también aplicarse por vía intravenosa y, en los casos más complicados, cuando se quiere llegar rápidamente cerca del tumor, utilizando los mismos métodos clínicos que se usan habitualmente para la exploración de cavidades y órganos. Para él los tumores no son en realidad sino mecanismos de defensa creados por el organismo para defenderse de la infección por esos hongos en un intento de encapsularlos y luego destruirlos. Lo que según él demuestra el hecho de que sea imposible observar en vivo un tumor --sea en la pleura, en los ganglios, en el colon, en el útero o en el hígado- sin encontrar siempre colonias de cándidas.<br>En suma, para Simoncini la mejor manera de afrontar un cáncer es poner bicarbonato sódico en contacto con los tumores. Tan estrechamente como sea posible. Mediante la administración oral para el aparato digestivo, enemas para el recto, duchas vaginales para la vagina y el útero, una inyección intravenosa para el pulmón y el cerebro o la inhalación para las vías respiratorias superiores. Los senos, los ganglios linfáticos y los nódulos subcutáneos deben ser tratados con perfusión local. En cuanto a los órganos internos pueden ser tratados con bicarbonato sódico usando catéteres adecuados situados en las arterias (del hígado, páncreas, próstata y extremidades) o en las cavidades (de la pleura o el peritoneo). Obviamente conociendo las dosis adecuadas y observando las reacciones porque cada paciente es diferente y debe tenerse en cuenta que la regresión de las colonias del tumor se produce entre el tercer y cuarto día y el colapso entre el cuarto y quinto por lo que seis días de administración suele ser suficiente. Simoncini explica que por lo general un ciclo completo y eficaz se compone de seis días de tratamiento y seis días libres, repetido cuatro veces.<br>¿Y por qué si lo que afirma es tan fácilmente constatable no se ha comprobado siquiera por los oncólogos? Según el propio Simoncini por una razón muy simple: los tratamientos del cáncer con bicarbonato sódico son muy económicos. Según cuenta un tumor de vejiga se puede tratar por 100 euros y un cáncer de piel --melanomas incluidos- por 20. Y con un 95% de éxito. La ponencia que ofreció, tan arrolladora como impactante, se dictó durante el III Congreso Internacional sobre Tratamientos Complementarios y Alternativos en Cáncer que se celebró en su día en Madrid (España) bajo el patrocinio de la WORLD ASSOCIATION FOR CANCER RESEARCH (WACR) y la revista española Discovery DSALUD.</ref>
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Présentation de la vidéo sur DSalud TV: [traduction DeepL:]<br>L'oncologue italien [[Thérapie avec du bicarbonate de sodium selon Simoncini|Tullio Simoncini]] affirme que le cancer est une maladie infectieuse causée par des champignons - plus précisément par le Candida - et qu'il se soigne simplement en appliquant de manière appropriée du bicarbonate de sodium dilué dans de l'eau distillée, car il suffit d'alcaliniser la zone tumorale pour contrecarrer l'environnement acide dans lequel elle se développe et ainsi arrêter sa croissance. Cette dilution peut être avalée mais peut aussi être appliquée par voie intraveineuse et, dans les cas les plus compliqués, lorsque l'on veut s'approcher rapidement de la tumeur, en utilisant les mêmes méthodes cliniques que celles qui sont couramment utilisées pour l'exploration des cavités et des organes. Pour lui, les tumeurs ne sont en fait que des mécanismes de défense créés par l'organisme pour se défendre contre l'infection par ces champignons dans le but de les encapsuler puis de les détruire. La preuve en est qu'il est impossible d'observer une tumeur in vivo - que ce soit dans la plèvre, les ganglions lymphatiques, le côlon, l'utérus ou le foie - sans toujours trouver des colonies de Candida.<br>En bref, pour Simoncini, la meilleure façon de traiter le cancer est de mettre le bicarbonate de sodium en contact avec les tumeurs. Aussi près que possible. Par voie orale pour le tube digestif, par lavements pour le rectum, par douches vaginales pour le vagin et l'utérus, par injection intraveineuse pour le poumon et le cerveau, ou par inhalation pour les voies respiratoires supérieures. Les sinus, les ganglions lymphatiques et les nodules sous-cutanés doivent être traités par perfusion locale. Les organes internes peuvent être traités au bicarbonate de sodium à l'aide de cathéters appropriés placés dans des artères (du foie, du pancréas, de la prostate et des extrémités) ou des cavités (de la plèvre ou du péritoine). Il faut évidemment connaître les doses appropriées et observer les réactions car chaque patient est différent et il faut tenir compte du fait que la régression des colonies tumorales se produit entre le troisième et le quatrième jour et l'effondrement entre le quatrième et le cinquième jour, donc six jours d'administration sont généralement suffisants. Simoncini explique qu'un cycle complet et efficace consiste généralement en six jours de traitement et six jours de repos, répétés quatre fois.<br>Et pourquoi, si ce qu'il affirme est si facilement vérifiable, n'a-t-il même pas été vérifié par des oncologues ? Selon Simoncini lui-même, pour une raison très simple : les traitements anticancéreux au bicarbonate de sodium sont très bon marché. Selon lui, une tumeur de la vessie peut être traitée pour 100 euros et un cancer de la peau - y compris les mélanomes - pour 20 euros, avec un taux de réussite de 95 %. La présentation qu'il a faite, aussi bouleversante que choquante, a été donnée lors du IIIe Congrès international sur les traitements complémentaires et alternatifs du cancer, qui s'est tenu à Madrid (Espagne) sous le parrainage de l'ASSOCIATION MONDIALE POUR LA RECHERCHE SUR LE CANCER (WACR) et du magazine espagnol Discovery DSALUD.<ref>https://www.youtube.com/watch?v=p4XWXZ66Aaw&list=PLOsIRoPNXkeXlz8rs-Ux3IMtCjOILq6Cj&index=15 Mise en ligne le 15 juin 2011.<br>El oncólogo italiano Tullio Simoncini sostiene que el cáncer es una enfermedad infecciosa provocada por hongos -concretamente por cándidas- y se cura aplicando de la forma adecuada simple bicarbonato sódico diluido en agua destilada porque basta alcalinizar la zona del tumor para contrarrestar el entorno ácido en el que se desenvuelve y detener así su crecimiento. Dilución que puede ingerirse pero también aplicarse por vía intravenosa y, en los casos más complicados, cuando se quiere llegar rápidamente cerca del tumor, utilizando los mismos métodos clínicos que se usan habitualmente para la exploración de cavidades y órganos. Para él los tumores no son en realidad sino mecanismos de defensa creados por el organismo para defenderse de la infección por esos hongos en un intento de encapsularlos y luego destruirlos. Lo que según él demuestra el hecho de que sea imposible observar en vivo un tumor --sea en la pleura, en los ganglios, en el colon, en el útero o en el hígado- sin encontrar siempre colonias de cándidas.<br>En suma, para Simoncini la mejor manera de afrontar un cáncer es poner bicarbonato sódico en contacto con los tumores. Tan estrechamente como sea posible. Mediante la administración oral para el aparato digestivo, enemas para el recto, duchas vaginales para la vagina y el útero, una inyección intravenosa para el pulmón y el cerebro o la inhalación para las vías respiratorias superiores. Los senos, los ganglios linfáticos y los nódulos subcutáneos deben ser tratados con perfusión local. En cuanto a los órganos internos pueden ser tratados con bicarbonato sódico usando catéteres adecuados situados en las arterias (del hígado, páncreas, próstata y extremidades) o en las cavidades (de la pleura o el peritoneo). Obviamente conociendo las dosis adecuadas y observando las reacciones porque cada paciente es diferente y debe tenerse en cuenta que la regresión de las colonias del tumor se produce entre el tercer y cuarto día y el colapso entre el cuarto y quinto por lo que seis días de administración suele ser suficiente. Simoncini explica que por lo general un ciclo completo y eficaz se compone de seis días de tratamiento y seis días libres, repetido cuatro veces.<br>¿Y por qué si lo que afirma es tan fácilmente constatable no se ha comprobado siquiera por los oncólogos? Según el propio Simoncini por una razón muy simple: los tratamientos del cáncer con bicarbonato sódico son muy económicos. Según cuenta un tumor de vejiga se puede tratar por 100 euros y un cáncer de piel --melanomas incluidos- por 20. Y con un 95% de éxito. La ponencia que ofreció, tan arrolladora como impactante, se dictó durante el III Congreso Internacional sobre Tratamientos Complementarios y Alternativos en Cáncer que se celebró en su día en Madrid (España) bajo el patrocinio de la WORLD ASSOCIATION FOR CANCER RESEARCH (WACR) y la revista española Discovery DSALUD.<br>Vidéo mise en ligne le 15 juin 2011.</ref>
    
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