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Le mot « secte » désigne d'abord un ensemble d'individus plus ou moins important qui s'est détaché d'un enseignement officiel philosophique, religieux ou politique pour créer leur propre doctrine, mais le terme a pris dans plusieurs langues, et particulièrement en français, une dimension péjorative voire polémique, et tend à y désigner à présent un groupe ou une organisation, souvent mais pas nécessairement à caractère religieux, dont les croyances, les pratiques ou le comportement sont jugés obscurs, inquiétants ou nocifs par le reste de la société1.
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Le mot « secte » désigne d'abord un ensemble d'individus plus ou moins important qui s'est détaché d'un enseignement officiel philosophique, religieux ou politique pour créer leur propre doctrine, mais le terme a pris dans plusieurs langues, et particulièrement en français, une dimension péjorative voire polémique, et tend à y désigner à présent un groupe ou une organisation, souvent mais pas nécessairement à caractère religieux, dont les croyances, les pratiques ou le comportement sont jugés obscurs, inquiétants ou nocifs par le reste de la société.
    
Les responsables des groupes dits « sectaires » sont souvent suspectés d'étouffer la liberté individuelle au sein du groupe ou de manipuler mentalement leurs membres, en s'appropriant parfois leurs biens et les maintenant par divers procédés dans un état de sujétion psychologique ou physique, entre autres par la fatigue, et en outre de menacer l'ordre public. En France, la loi ne définit pas ce qu'est une secte afin de ne pas porter atteinte aux libertés de conscience, d'opinion et de religion constitutionnelles, mais elle définit et condamne ce qu'elle appelle les « dérives sectaires », à savoir les comportements abusifs des organisations et leurs dirigeants en ce qu'elles sont attentatoires aux droits de l’homme ou aux libertés fondamentales, constituent une menace à l'ordre public, ou encore sont contraires aux lois et aux règlements, commis dans le cadre particulier de l’emprise mentale vis-à-vis de personnes vulnérables (notamment les enfants ou les personnes en situation de détresse). Pour lutter contre ces « dérives sectaires », la France s'est dotée en 2002 d'une structure gouvernementale appelée Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (Miviludes), intégrée au Ministère de l'Intérieur en 2020.<ref>https://fr.wikipedia.org/wiki/Secte</ref>
 
Les responsables des groupes dits « sectaires » sont souvent suspectés d'étouffer la liberté individuelle au sein du groupe ou de manipuler mentalement leurs membres, en s'appropriant parfois leurs biens et les maintenant par divers procédés dans un état de sujétion psychologique ou physique, entre autres par la fatigue, et en outre de menacer l'ordre public. En France, la loi ne définit pas ce qu'est une secte afin de ne pas porter atteinte aux libertés de conscience, d'opinion et de religion constitutionnelles, mais elle définit et condamne ce qu'elle appelle les « dérives sectaires », à savoir les comportements abusifs des organisations et leurs dirigeants en ce qu'elles sont attentatoires aux droits de l’homme ou aux libertés fondamentales, constituent une menace à l'ordre public, ou encore sont contraires aux lois et aux règlements, commis dans le cadre particulier de l’emprise mentale vis-à-vis de personnes vulnérables (notamment les enfants ou les personnes en situation de détresse). Pour lutter contre ces « dérives sectaires », la France s'est dotée en 2002 d'une structure gouvernementale appelée Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (Miviludes), intégrée au Ministère de l'Intérieur en 2020.<ref>https://fr.wikipedia.org/wiki/Secte</ref>
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[...] <ref>https://www.gemppi.org/l-association/avis-sur-differentes-mouvances/</ref>
 
[...] <ref>https://www.gemppi.org/l-association/avis-sur-differentes-mouvances/</ref>
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== Liens externes ==
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* https://www.ligue-cancer.net/vivre/article/39757_le-cancer-fond-de-commerce-des-charlatans '''LE CANCER, FOND DE COMMERCE DES CHARLATANS'''<br>VIVRE, LE MAGAZINE CONTRE LE CANCER<br>Le cancer, fond de commerce des charlatans<br>Docteur en [[naturopathie]], praticien en [[psychothérapie]], docteur en médecine holistique…, de nombreux charlatans peuvent se cacher derrière ces titres censés inspirer confiance. Mais bien souvent, les solutions qu’ils proposent sont chères, inefficaces et parfois même dangereuses. Surtout quand leurs victimes sont atteintes de cancer. Par CHLOÉ DUSSÈRE – Illustrations EMMA TISSIER.<br>Le 5 octobre 2011, quand Steve Jobs, père de la célèbre firme informatique à la pomme, décède à l’âge de 56 ans d’un cancer du pancréas, l’émotion est grande, mais laisse rapidement place à la polémique. En effet, l’inventeur surdoué avait fait le choix de combattre la maladie en remplaçant tout traitement – chirurgie et chimiothérapie – par des jus de légumes, de l’acupuncture et autres thérapies alternatives. Au grand dam de ses proches, Steve Jobs était sans doute la proie d’un ou plusieurs charlatans prônant des méthodes dites « douces », en remplacement des thérapies reconnues par la médecine traditionnelle. En est-il mort ? La question fait débat pour Steve Jobs, mais aussi pour tous les anonymes qui, comme lui, ont cessé tout traitement au profit de solutions alternatives. Le cancer, une maladie qui suscite de nombreuses peurs et incertitudes, est le terrain de jeu favori de personnes malveillantes, qui monnayent leurs conseils et autres potions censées soulager les malades… et même les sauver.<br>Qui sont ces charlatans ? Comment agissent-ils ? Quels dangers représentent-ils ?<br><br>'''Ces marchands d’espoir aux mille visages''' … … <br>[Remarque de Psiram.com: L'article n'est pas daté, mais récent puique Serge Blisko, président de la MIVILUDES jusqu'en 2018, entre autres, y est cité]
    
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