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Documentation: '''Témoignages de trois anciennes collaboratrices en 1985 de [[Ryke Geerd Hamer]]''' dans sa clinique privée "Amici di Dirk" à Katzenelnbogen. Transcription d’une émission du 10.04.2007 de la radio privée ''Wüste Welle'' de Tübingen. Auteur: Silke Bauer
 
Documentation: '''Témoignages de trois anciennes collaboratrices en 1985 de [[Ryke Geerd Hamer]]''' dans sa clinique privée "Amici di Dirk" à Katzenelnbogen. Transcription d’une émission du 10.04.2007 de la radio privée ''Wüste Welle'' de Tübingen. Auteur: Silke Bauer
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==Présentation de la journaliste Silke Bauer==
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== Présentation de la journaliste Silke Bauer ==
 
Les collaboratrices du Dr. Hamer racontent qu’à leur connaissance il n’y a pas eu de guérisons.
 
Les collaboratrices du Dr. Hamer racontent qu’à leur connaissance il n’y a pas eu de guérisons.
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Description: Le sujet de cette émission est la [[Nouvelle Médecine Germanique]]. Durant cette émission, ni les opposants et ni les partisants ne sont présents, les deux camps sont fortement présents sur l’internet. Je fais une interview avec des anciennes collaboratrices du Dr. Hamer. Ce n’était pas facile de retrouver ces femmes, car elles se sont mariés entretemps et ont changé de nom. Les femmes étaient disposées à participer à l’interview car la thématique est toujours actuelle.
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Description: Le sujet de cette émission est la [[Nouvelle Médecine Germanique]]. Durant cette émission, ni les opposants et ni les partisants ne sont présents, les deux camps sont fortement présents sur l’internet. Je fais une interview avec des anciennes collaboratrices du [[Ryke Geerd Hamer|Dr. Hamer]]. Ce n’était pas facile de retrouver ces femmes, car elles se sont mariés entretemps et ont changé de nom. Les femmes étaient disposées à participer à l’interview car la thématique est toujours actuelle.
Les anciennes collaboratrices racontent, de n’avoir noté aucun cas de guérison durant leur période de travail chez Hamer. Selon les témoignages, le docteur Hamer faisait transporter des patients mourants dans des cliniques de la région ou en France, pour faire croire qu’ils n’étaient pas décédés chez lui. Dans sa clinique, des patients morts furent encore „traités“ après leur mort, même après l’apparition de la rigidité cadavérique.
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Les anciennes collaboratrices racontent, de n’avoir noté aucun cas de guérison durant leur période de travail chez [[Ryke Geerd Hamer|Hamer]]. Selon les témoignages, le docteur [[Ryke Geerd Hamer|Hamer]] faisait transporter des patients mourants dans des cliniques de la région ou en France, pour faire croire qu’ils n’étaient pas décédés chez lui. Dans sa clinique, des patients morts furent encore „traités“ après leur mort, même après l’apparition de la rigidité cadavérique.
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==Transcription de la première interview Mme Gemmer par Silke Bauer==
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== Transcription de la première interview Mme Gemmer par Silke Bauer ==
 
[[image:Hamer72.jpg|Hamer à Katzenelnbogen|thumb]]
 
[[image:Hamer72.jpg|Hamer à Katzenelnbogen|thumb]]
 
B: Silke Bauer; G: Gemmer
 
B: Silke Bauer; G: Gemmer
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B: Mme G, je m’intéresse en premier lieu aux patients, qui se sont mis dans les mains du Dr. Hamer. Qui étaient ces personnes ?
 
B: Mme G, je m’intéresse en premier lieu aux patients, qui se sont mis dans les mains du Dr. Hamer. Qui étaient ces personnes ?
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G: C’étaient en fait des personnes qui avaient été jugées perdues par la médecine traditionnelle et qui considéraient que le Dr. Hamer était leur dernière chance. Ils venaient de France, il y avait quelques unes d’Italie et d’Allemagne.
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G: C’étaient en fait des personnes qui avaient été jugées perdues par la médecine traditionnelle et qui considéraient que le [[Ryke Geerd Hamer|Dr. Hamer]] était leur dernière chance. Ils venaient de France, il y avait quelques unes d’Italie et d’Allemagne.
    
B: Comment se fait-il qu’ il y avait autant de Français ?
 
B: Comment se fait-il qu’ il y avait autant de Français ?
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G: Il y avait là un sponsor, je me rappelle, un comte français, qui était mêlé en quelque sorte à cette affaire pour des raisons d’argent. Et c’est comme-ca que le Dr. Hamer était connu aussi en France.
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G: Il y avait là un sponsor, je me rappelle, un comte français, qui était mêlé en quelque sorte à cette affaire pour des raisons d’argent. Et c’est comme-ca que le [[Ryke Geerd Hamer|Dr. Hamer]] était connu aussi en France.
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B: C’était monsieur D'Oncieu, je suppose. Car c’était lui qui a appuyé le dr. Hamer à l’époque. C’étaient donc des patients qui étaient considérés comme complètement perdus par la médecine officielle ?
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B: C’était monsieur D'Oncieu, je suppose. Car c’était lui qui a appuyé le [[Ryke Geerd Hamer|Dr. Hamer]] à l’époque. C’étaient donc des patients qui étaient considérés comme complètement perdus par la médecine officielle ?
    
G: C’étaient des patients souffrants de maladies mortelles. Il en a envoyé plusieurs à d’autres hôpitaux, quand il voyait clairement qu‘ils étaient en train de mourir, et ils sont morts là-bas ; tout ça pour sa clinique ne soit pas le lieu de leur mort. Mais il y avait un problème: à un certain moment les hôpitaux de Limburg Coblence ont refusé d’accepter des malades en train de mourir venants de sa clinique.
 
G: C’étaient des patients souffrants de maladies mortelles. Il en a envoyé plusieurs à d’autres hôpitaux, quand il voyait clairement qu‘ils étaient en train de mourir, et ils sont morts là-bas ; tout ça pour sa clinique ne soit pas le lieu de leur mort. Mais il y avait un problème: à un certain moment les hôpitaux de Limburg Coblence ont refusé d’accepter des malades en train de mourir venants de sa clinique.
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G: Oui, oui, cela se passait soit le soir soit durant la nuit, pour ne pas faire voir de façon ostensible que la voiture des pompes funèbres venait souvent, pour ne pas montrer ça aux gens.
 
G: Oui, oui, cela se passait soit le soir soit durant la nuit, pour ne pas faire voir de façon ostensible que la voiture des pompes funèbres venait souvent, pour ne pas montrer ça aux gens.
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B: Combien de temps avait vous travaillé chez le Dr. Hamer?
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B: Combien de temps avait vous travaillé chez le [[Ryke Geerd Hamer|Dr. Hamer]]?
    
G: Pas très longtemps, j’ai commencé le 1 aout [1985]  et début décembre, après que la police judiciaire ait la perquisitionné et tout saisi, la clinique fut fermée.
 
G: Pas très longtemps, j’ai commencé le 1 aout [1985]  et début décembre, après que la police judiciaire ait la perquisitionné et tout saisi, la clinique fut fermée.
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B. Au début, vous avez été brièvement impressionnée par le Dr. Hamer quand il est arrivé dans votre ville. Es-ce que c’est exact?
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B. Au début, vous avez été brièvement impressionnée par le [[Ryke Geerd Hamer|Dr. Hamer]] quand il est arrivé dans votre ville. Es-ce que c’est exact?
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G: C’est exact, quand j’ai fait connaissance avec cet homme et je me suis dit: „Oh oui, c’est un médecin tout à fait différent. Les médecins sont d’habitude des dieux en blanc. J’ai pensé: „il est humain“, mais après environ trois jours j’ai pensé „non, le Dr. Hamer, il est confus dans sa tête". Je ne pouvais plus approuver ça, cette chose.
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G: C’est exact, quand j’ai fait connaissance avec cet homme et je me suis dit: „Oh oui, c’est un médecin tout à fait différent. Les médecins sont d’habitude des dieux en blanc. J’ai pensé: „il est humain“, mais après environ trois jours j’ai pensé „non, le [[Ryke Geerd Hamer|Dr. Hamer]], il est confus dans sa tête". Je ne pouvais plus approuver ça, cette chose.
    
B: Que voulez-vous dire avec ces mots?
 
B: Que voulez-vous dire avec ces mots?
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G: Oui, il y avait entre temps des patients et il fallait les soigner. C’étaient des pauvres gens, souvent très malades, et je me suis engagée personnellement qu’une infirmière a été engagée à demi-jour. Il n’y avait pas d’argent. Il n’y avait presque pas d’argent, c’était ça la chose grave. Il y avait une femme de ménage que j’ai engagée de l’ancien hôpital [avant, la clinique était un petit hôpital] et dans la cuisine il fallait des gens pour préparer les repas. On ne pouvait pas laisser les gens tous seuls, les pauvres gens.
 
G: Oui, il y avait entre temps des patients et il fallait les soigner. C’étaient des pauvres gens, souvent très malades, et je me suis engagée personnellement qu’une infirmière a été engagée à demi-jour. Il n’y avait pas d’argent. Il n’y avait presque pas d’argent, c’était ça la chose grave. Il y avait une femme de ménage que j’ai engagée de l’ancien hôpital [avant, la clinique était un petit hôpital] et dans la cuisine il fallait des gens pour préparer les repas. On ne pouvait pas laisser les gens tous seuls, les pauvres gens.
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B: Vous aviez déjà travaillé avant le Dr. Hamer à l’hôpital, et vous avez été de nouveau engagé comme secrétaire. Vous n’apparteniez donc pas au cercle proche du Dr, Hamer, si j’ai bien compris ce que vous m’avez raconté.
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B: Vous aviez déjà travaillé avant le [[Ryke Geerd Hamer|Dr. Hamer]] à l’hôpital, et vous avez été de nouveau engagé comme secrétaire. Vous n’apparteniez donc pas au cercle proche du [[Ryke Geerd Hamer|Dr. Hamer]], si j’ai bien compris ce que vous m’avez raconté.
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G: Non, non, auparavant je n’avais rien à faire avec le Dr. Hamer. J’avais été engagée par le petit hôpital d’avant, qui avait été fermé, et alors nous étions contents: "Ca continue ... un nouveau médecin arrive, il veut faire revivre l’hôpital et pour nous il y avait de nouveau du travail dans l’administration." Mais tout a évolué de façon tout à fait différente.
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G: Non, non, auparavant je n’avais rien à faire avec le [[Ryke Geerd Hamer|Dr. Hamer]]. J’avais été engagée par le petit hôpital d’avant, qui avait été fermé, et alors nous étions contents: "Ca continue ... un nouveau médecin arrive, il veut faire revivre l’hôpital et pour nous il y avait de nouveau du travail dans l’administration." Mais tout a évolué de façon tout à fait différente.
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B: Maintenant j’ai encore une dernière question à vous poser, qu’est ce qui vous est particulièrement resté en mémoire, Mme G., de cette la période de travail avec le Dr. Hamer ?
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B: Maintenant j’ai encore une dernière question à vous poser, qu’est ce qui vous est particulièrement resté en mémoire, Mme G., de cette la période de travail avec le [[Ryke Geerd Hamer|Dr. Hamer]] ?
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G: Oui, je peux témoigner d’une chose, qui me restera pour toujours dans la mémoire. Il y avait une jeune malade de cancer chez nous, qui était accompagné par son frère. Et un jour, le Dr. Hamer est parti le matin avec sa voiture et il nous a pas dit où il voulait aller et quand il allait revenir et il n’a pas laissé de numéro de téléphone – rien. Et le frère, il est venu chez moi et il m’a dit que sa soeur avait de fortes douleurs, et il voulait savoir où était le Dr Hamer. Je lui ai dit „je ne peux pas le joindre, il nous a pas dit où il était.“ Et le frère est revenu deux, trois fois „ma soeur crie de douleurs!“ Et j’ai pensé: „je cherche un autre médecin, ça ne va pas comme ça“. Et alors j’ai appelé notre ancien médecin, qui avait été chirurgien à l’hôpital et qui travaillait alors dans un cabinet privé. Et il m’a dit: „j’arrive, mais je viens avec un collègue. Je n’entre pas tout seul dans cette clinique.“ Il est arrivé avec un autre médecin et ils ont donne à cette femme un médicament contre la douleur. Et après, les deux médecins ont dénoncé le Dr. Hamer à la police. C’est alors que les choses ont commencé à bouger. Plus tard, la police judiciaire a tout confisqué. C’est cette histoire qui a causé de la fermeture ultérieure.
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G: Oui, je peux témoigner d’une chose, qui me restera pour toujours dans la mémoire. Il y avait une jeune malade de cancer chez nous, qui était accompagné par son frère. Et un jour, le [[Ryke Geerd Hamer|Dr. Hamer]] est parti le matin avec sa voiture et il nous a pas dit où il voulait aller et quand il allait revenir et il n’a pas laissé de numéro de téléphone – rien. Et le frère, il est venu chez moi et il m’a dit que sa soeur avait de fortes douleurs, et il voulait savoir où était le [[Ryke Geerd Hamer|Dr. Hamer]]. Je lui ai dit „je ne peux pas le joindre, il nous a pas dit où il était.“ Et le frère est revenu deux, trois fois „ma soeur crie de douleurs!“ Et j’ai pensé: „je cherche un autre médecin, ça ne va pas comme ça“. Et alors j’ai appelé notre ancien médecin, qui avait été chirurgien à l’hôpital et qui travaillait alors dans un cabinet privé. Et il m’a dit: „j’arrive, mais je viens avec un collègue. Je n’entre pas tout seul dans cette clinique.“ Il est arrivé avec un autre médecin et ils ont donne à cette femme un médicament contre la douleur. Et après, les deux médecins ont dénoncé le [[Ryke Geerd Hamer|Dr. Hamer]] à la police. C’est alors que les choses ont commencé à bouger. Plus tard, la police judiciaire a tout confisqué. C’est cette histoire qui a causé de la fermeture ultérieure.
    
B: Pourquoi le médecin ne voulait pas venir seul? Est ce que vous vous rappelez?
 
B: Pourquoi le médecin ne voulait pas venir seul? Est ce que vous vous rappelez?
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G: Oui, [à l’époque] c’était déjà une chose contestée. Il [Hamer] dit toujours „médecine scolastique“ [Schulmedizin, médecine conventionnelle]. Les médecins n’étaient pas d’accord avec la méthode du Dr. Hamer. De toute façon, le Dr. D. [incompréhensible]... ne voulait pas y aller seul, il voulait un témoin, un deuxième médecin.
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G: Oui, [à l’époque] c’était déjà une chose contestée. Il [Hamer] dit toujours „médecine scolastique“ [Schulmedizin, médecine conventionnelle]. Les médecins n’étaient pas d’accord avec la méthode du [[Ryke Geerd Hamer|Dr. Hamer]]. De toute façon, le Dr. D. [incompréhensible]... ne voulait pas y aller seul, il voulait un témoin, un deuxième médecin.
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B: Comment expliquez-vous qu’il [Hamer] fasse cette forme de médecine? Comment es-ce que vous vous expliquez ca?
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B: Comment expliquez-vous qu’il [Hamer] fasse cette forme de médecine? Comment est-ce que vous vous expliquez ca?
    
G: Voici comment je me l’explique: il était totalement convaincu de sa méthode, de la nouvelle chance qu’il offrait aux malades de cancer – il était carrément obsédé par ça.
 
G: Voici comment je me l’explique: il était totalement convaincu de sa méthode, de la nouvelle chance qu’il offrait aux malades de cancer – il était carrément obsédé par ça.
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B: Merci beaucoup pour l’entretien.
 
B: Merci beaucoup pour l’entretien.
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==deuxième interview de Silke Bauer avec Mme M.==
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== deuxième interview de Silke Bauer avec Mme M. ==
 
Transcription de la deuxième interview de Silke Bauer avec Mme M.
 
Transcription de la deuxième interview de Silke Bauer avec Mme M.
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B: ...Mme M., comment c’est-il arrivé [que vous ayez travaillé auprès du Dr. Hamer dans sa clinique "Amici di Dirk"]?
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B: ...Mme M., comment c’est-il arrivé [que vous ayez travaillé auprès du [[Ryke Geerd Hamer|Dr. Hamer]] dans sa clinique "Amici di Dirk"]?
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M: L’hôpital [l’ancien hôpital] avait été fermé le 31.12.1984, parce qu’un plan administratif [Krankenhauszielplan] avait décidé la suppression de cet hôpital. J’y ai été employée jusqu’au 30.06.1985 pour terminer le travail de fermeture. Et alors le Dr. Hamer s’est présenté pendant une assemblée de citoyens et a demandé qui voulait travailler pour lui. J’avais des charges familiales et alors je me suis présentée et j’ai dit que je voulais bien travailler pour lui.
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M: L’hôpital [l’ancien hôpital] avait été fermé le 31.12.1984, parce qu’un plan administratif [Krankenhauszielplan] avait décidé la suppression de cet hôpital. J’y ai été employée jusqu’au 30.06.1985 pour terminer le travail de fermeture. Et alors le [[Ryke Geerd Hamer|Dr. Hamer]] s’est présenté pendant une assemblée de citoyens et a demandé qui voulait travailler pour lui. J’avais des charges familiales et alors je me suis présentée et j’ai dit que je voulais bien travailler pour lui.
    
B: Vous avez travaillé là comme secrétaire et vous veniez de l‘administration?
 
B: Vous avez travaillé là comme secrétaire et vous veniez de l‘administration?
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M: Exact, je viens de l’administration.
 
M: Exact, je viens de l’administration.
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B: Comment, rétrospectivement, vous décririez-vous votre expérience, votre temps chez le Dr. Hamer?
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B: Comment, rétrospectivement, vous décririez-vous votre expérience, votre temps chez le [[Ryke Geerd Hamer|Dr. Hamer]]
    
M: Je décrirais ce temps comme une période chaotique et très éprouvante. Chaotique parce qu’il n’avait pas d’argent, parce que, par moments, nous n’avions pas assez d’argent pour fournir aux malades la nourriture quotidienne; c’est pour ces raisons qu’il était difficile de travailler là-bas. Il ne pouvait pas soigner convenablement les patients, parce que, par moments, il n’y avait pas de médicaments disponibles, même pas par exemple pour soigner la douleur. Je ne sais pas non plus comment il a soigner plus tard, et avec quoi il a soigné.
 
M: Je décrirais ce temps comme une période chaotique et très éprouvante. Chaotique parce qu’il n’avait pas d’argent, parce que, par moments, nous n’avions pas assez d’argent pour fournir aux malades la nourriture quotidienne; c’est pour ces raisons qu’il était difficile de travailler là-bas. Il ne pouvait pas soigner convenablement les patients, parce que, par moments, il n’y avait pas de médicaments disponibles, même pas par exemple pour soigner la douleur. Je ne sais pas non plus comment il a soigner plus tard, et avec quoi il a soigné.
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B: Et il y a bien eu quelques décès durant ce temps. Vous avez donc travaillé un semestre là-bas?  
 
B: Et il y a bien eu quelques décès durant ce temps. Vous avez donc travaillé un semestre là-bas?  
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M: C’était de aout jusqu’à décembre [1985], ce n’était même pas un semestre. C’étaient quatre à cinq mois. Cette „histoire“ n’a pas duré plus.
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M: C’était de août jusqu’à décembre [1985], ce n’était même pas un semestre. C’étaient quatre à cinq mois. Cette „histoire“ n’a pas duré plus.
    
B: Que s’est-il passé après là-bas avec les morts, ou les mourants, donc juste avant leur décès?
 
B: Que s’est-il passé après là-bas avec les morts, ou les mourants, donc juste avant leur décès?
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B: Il affirmer aussi volontiers que très peu de gens meurent chez lui.. donc beaucoup moins qu’en médecine conventionnelle. Ma question est donc maintenant: ces morts, il ne les déclare pas...?
 
B: Il affirmer aussi volontiers que très peu de gens meurent chez lui.. donc beaucoup moins qu’en médecine conventionnelle. Ma question est donc maintenant: ces morts, il ne les déclare pas...?
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M: [elle interrompt la question] Oui, oui, Mme Bauer, mais il s’y est prit aussi parfois autrement. Quand il avait remarqué que les personnes étaient en train de mourir, alors il les faisait souvent transporter en vitesse dans un autre hôpital, un hôpital des alentours. Je sais qu’une fois une malade est morte durant le transport, et ces gens sont décédés après dans les hôpitaux en très très peu de temps. Et il n’a jamais admis une responsabilité propre ! Il n’a jamais dit: „les personnes étaient tellement malades, que les hôpitaux ne pouvaient non plus les sauver“. Il a toujours dit que les autres hôpitaux, ou les médecins... ou que les patients seraient venu trop tard chez lui. Il n’a jamais admis une culpabilité.
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M: [elle interrompt la question] Oui, oui, Mme Bauer, mais il s’y est prit aussi parfois autrement. Quand il avait remarqué que les personnes étaient en train de mourir, alors il les faisait souvent transporter en vitesse dans un autre hôpital, un hôpital des alentours. Je sais qu’une fois une malade est morte durant le transport, et ces gens sont décédés après dans les hôpitaux en très très peu de temps. Et il n’a jamais admis une responsabilité propre ! Il n’a jamais dit: „les personnes étaient tellement malades, que les hôpitaux ne pouvaient pas non plus les sauver“. Il a toujours dit que les autres hôpitaux, ou les médecins... ou que les patients seraient venu trop tard chez lui. Il n’a jamais admis une culpabilité.
    
B: Les autres hôpitaux les ont-ils acceptés tellement tambour battant [sans protester]?
 
B: Les autres hôpitaux les ont-ils acceptés tellement tambour battant [sans protester]?
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M: On savait déjà dans la région que le Dr. Hamer pratiquait, en tant que médecin cancérologue auto-proclamé, précisément dans sa clinique de Katzenelnbogen, ce qu’ on ne peut pas appeler pratiquer. On ne peut pas appeler ça pratiquer. Il n’a utilisé aucune méthode, il n’avait pas de médicaments non plus, ni de la catégorie de médecine naturelle, ni de celle de médecine classique, où il pouvait faire vraiment une thérapie et ou il pouvait vraiment aider. Les autres hôpitaux de la région le savaient, qu’il ...         
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M: On savait déjà dans la région que le [[Ryke Geerd Hamer|Dr. Hamer]] pratiquait, en tant que médecin cancérologue auto-proclamé, précisément dans sa clinique de Katzenelnbogen, ce qu’ on ne peut pas appeler pratiquer. On ne peut pas appeler ça pratiquer. Il n’a utilisé aucune méthode, il n’avait pas de médicaments non plus, ni de la catégorie de médecine naturelle, ni de celle de médecine classique, où il pouvait faire vraiment une thérapie et ou il pouvait vraiment aider. Les autres hôpitaux de la région le savaient, qu’il ...         
    
B: Il y avait aussi beaucoup de français et de françaises parmi ses patients alors durant votre présence [dans cette clinique]. Ou est-ce qu’ils ont été transportés? Aussi dans les hôpitaux de la région?
 
B: Il y avait aussi beaucoup de français et de françaises parmi ses patients alors durant votre présence [dans cette clinique]. Ou est-ce qu’ils ont été transportés? Aussi dans les hôpitaux de la région?
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B: Donc, il a fait renvoyer ces patients peu avant leur mort en ambulance vers la France...
 
B: Donc, il a fait renvoyer ces patients peu avant leur mort en ambulance vers la France...
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M: Oui, ou bien, cette patiente dont je m’étais occupée, dont je devais m’occuper, elle est juste morte aussi. C’était aussi une affaire de manque d’argent C’est aussi par manque d’argent qu’il a fait ça. Pas pour s’enrichir, simplement pour... que tous puissent survivre.
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M: Oui, ou bien, cette patiente dont je m’étais occupée, dont je devais m’occuper, elle est juste morte aussi. C’était aussi une affaire de manque d’argent. C’est aussi par manque d’argent qu’il a fait ça. Pas pour s’enrichir, simplement pour... que tous puissent survivre.
    
B: Donc pas par cupidité, mais parce qu’il croyait à son idée?  
 
B: Donc pas par cupidité, mais parce qu’il croyait à son idée?  
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B: Les patients qui étaient chez vous, je ne sais pas si vous avez une vue d’ensemble, étaient-ils tous considérés comme perdus par la « médecine conventionnelle » ou est ce qu’il y avait là des gens qui avaient leur chance?
 
B: Les patients qui étaient chez vous, je ne sais pas si vous avez une vue d’ensemble, étaient-ils tous considérés comme perdus par la « médecine conventionnelle » ou est ce qu’il y avait là des gens qui avaient leur chance?
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M: Il y avait aussi des gens qui avaient encore des chances. Je peux me rappeler d’une jeune femme française, même si je ne sais pas bien à quel stade elle en était. Mais elle était, quand elle est arrivée, pour moi [selon mon idée] – pour mes connaissances non médicales,  relativement saine. Mais il disait – que c’était une toute jeune femme, que c’était une jeune fille – „Elle a le cancer.“ Et elle a aussi, durant les premiers 14 jours, quand elle était chez nous à Katzenelnbogen, gagné en joie de vie. Elle était ouverte, et ensuite il renvoyée chez elle en tant que patiente guérie. Et cette femme est ensuite revenue trois ou quatre semaines plus tard et elle était à nouveau un peu plus malade et était amaigrie. Et il a pratiqué çà ainsi deux fois. Et un jour on a dit que cette jeune femme était aussi morte. Quelle était la situation médicale, je ne peux pas vous le dire, je ne suis pas une patiente, je n’ai pas aucun proche qui soit mort dans cet hôpital et qu’il aurait soigné selon sa méthode. Je peux seulement le décrire seulement du point de vue d’une employée d’administration. Mais, c’était chaotique. Je ne me mettrais jamais, moi-même ou ma famille, dans ses mains.
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M: Il y avait aussi des gens qui avaient encore des chances. Je peux me rappeler d’une jeune femme française, même si je ne sais pas bien à quel stade elle en était. Mais elle était, quand elle est arrivée, pour moi [selon mon idée] – pour mes connaissances non médicales,  relativement saine. Mais il disait – que c’était une toute jeune femme, que c’était une jeune fille – „Elle a le cancer.“ Et elle a aussi, durant les premiers 14 jours, quand elle était chez nous à Katzenelnbogen, gagné en joie de vie. Elle était ouverte, et ensuite il renvoyée chez elle en tant que patiente guérie. Et cette femme est ensuite revenue trois ou quatre semaines plus tard et elle était à nouveau un peu plus malade et était amaigrie. Et il a pratiqué çà ainsi deux fois. Et un jour on a dit que cette jeune femme était aussi morte. Quelle était la situation médicale, je ne peux pas vous le dire, je ne suis pas une patiente, je n’ai pas aucun proche qui soit mort dans cet hôpital et qu’il aurait soigné selon sa méthode. Je peux seulement le décrire seulement du point de vue d’une employée d’administration. Mais, c’était chaotique. Je ne me mettrais jamais, moi-même ou ma famille, dans ses mains.
    
B: Quand on voit sa homepage et ses présentations: aviez-vous l’impression qu’il se disputait très volontiers et beaucoup, ou qu’il se sentait particulièrement persécuté?
 
B: Quand on voit sa homepage et ses présentations: aviez-vous l’impression qu’il se disputait très volontiers et beaucoup, ou qu’il se sentait particulièrement persécuté?
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B: Une question m’intéressait encore: à partir de quand avez-vous remarqué que quelque chose n’allait pas chez lui. Vous aviez commencé à travailler là, parce que vous aviez aussi auparavant travaillé dans cet hôpital comme employée administrative. Et à partir de quand cela vous a-t-il semblé anormal [louche]?
 
B: Une question m’intéressait encore: à partir de quand avez-vous remarqué que quelque chose n’allait pas chez lui. Vous aviez commencé à travailler là, parce que vous aviez aussi auparavant travaillé dans cet hôpital comme employée administrative. Et à partir de quand cela vous a-t-il semblé anormal [louche]?
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M: C’était en principe une période très courte. En rétrospective, cette période m’est apparue très, très longue. Si maintenant j’y réfléchis, je n’arrive pas à croire que c’étaient seulement cinq mois, parce que c’était une période énervante/crispante et chaotique... et je souhaiterais rétrospectivement n’avoir jamais vu ça. Nous l’avons remarqué très vite... Après quatre, six semaines c’était, à vrai dire, clair pour nous: „c’est chaotique et rien ne peut aller avec le Dr. Hamer.“ Même si nous ne pouvions pas suivre ceci du point de vue médical et communiquer avec lui parce que nous n’avions pas de connaissances médicales. Je suis employée administrative et je n’ai aucune formation en médecine. Tous ceux qui ont travaillé avec lui – et le gouvernement régional – ils ont démissionné, d’une manière ou d’une autre.
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M: C’était en principe une période très courte. En rétrospective, cette période m’est apparue très, très longue. Si maintenant j’y réfléchis, je n’arrive pas à croire que c’étaient seulement cinq mois, parce que c’était une période stressante et chaotique... et je souhaiterais rétrospectivement n’avoir jamais vu ça. Nous l’avons remarqué très vite... Après quatre, six semaines c’était, à vrai dire, clair pour nous: „c’est chaotique et rien ne peut aller avec le [[Ryke Geerd Hamer|Dr. Hamer]].“ Même si nous ne pouvions pas suivre ceci du point de vue médical et communiquer avec lui parce que nous n’avions pas de connaissances médicales. Je suis employée administrative et je n’ai aucune formation en médecine. Tous ceux qui ont travaillé avec lui – et le gouvernement régional – ils ont démissionné, d’une manière ou d’une autre.
    
B: Merci beaucoup pour la conversation, Mme M.
 
B: Merci beaucoup pour la conversation, Mme M.
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M: Avec plaisir.
 
M: Avec plaisir.
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==Interview 3 avec Mme F.==
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== Interview 3 avec Mme F. ==
Mme F. à l’époque, n’était pas encore infirmière diplomée, et travaillait néanmoins, à cause du manque de personnel, comme soignante chez Hamer. [Avec Hamer elle était la seule personne dans la clinique avec un minimum de connaissances médicales]
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Mme F. à l’époque, n’était pas encore infirmière diplomée, et travaillait néanmoins, à cause du manque de personnel, comme soignante chez [[Ryke Geerd Hamer|Hamer]]. [Avec Hamer elle était la seule personne dans la clinique avec un minimum de connaissances médicales]
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B: ...Vous m’avez dit lors de l’entretien, qu’au début vous étiez impressionnée de façon positive par le Dr. Hamer.
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B: ...Vous m’avez dit lors de l’entretien, qu’au début vous étiez impressionnée de façon positive par le [[Ryke Geerd Hamer|Dr. Hamer]].
    
F: Oui.
 
F: Oui.
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B: Quelle impression le Dr. Hamer avait-il fait sur vous au début?
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B: Quelle impression le [[Ryke Geerd Hamer|Dr. Hamer]] avait-il fait sur vous au début?
    
F: Il irradiait de bonté, d’amour pour les hommes, d’une façon telle qu’on pouvait vraiment croire qu’il aimait tous ses patients. Cela faisait une bonne impression. Il réussissait vraiment à se présenter de sorte qu’on ressente toute de suite de la sympathie pour lui.
 
F: Il irradiait de bonté, d’amour pour les hommes, d’une façon telle qu’on pouvait vraiment croire qu’il aimait tous ses patients. Cela faisait une bonne impression. Il réussissait vraiment à se présenter de sorte qu’on ressente toute de suite de la sympathie pour lui.
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B: Avez-vous remarqué (s’être aperçu de) aussi, qu’il ne se soit pas non plus occupé de ses patients ?
 
B: Avez-vous remarqué (s’être aperçu de) aussi, qu’il ne se soit pas non plus occupé de ses patients ?
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F: Oui, le soir, quand, une fois, je suis entrée voir un tel puis un tel, ils m’ont dit: « Oh !, n’est-il vraiment pas possible que quelqu’un nous examine? Je n’ai vu encore personne de toute la semaine. »  En dehors, bien sûr, du service de jour qui leur a apporté à manger ou autre [petits services]. Mais le service médical s’était apparemment volatilisé là en quelque sorte. Ils étaient toujours un peu choqués que le médecin ne vienne pas régulièrement voir les patients une ou deux fois par jour comme dans les autres cliniques.
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F: Oui, le soir, quand, une fois, je suis entrée voir un tel puis un tel, ils m’ont dit: « Oh !, n’est-il vraiment pas possible que quelqu’un nous examine? Je n’ai vu encore personne de toute la semaine. »  En dehors, bien sûr, du service de jour qui leur a apporté à manger ou autre [petits services]. Mais le service médical s’était apparemment volatilisé là en quelque sorte. Ils étaient toujours un peu choqués que le médecin ne vienne pas régulièrement voir les patients une ou deux fois par jour comme dans les autres cliniques.
    
B: Vous avez parlé, lors de l’entretien préliminaire, d’un cas particulier, où une patiente avait un trou dans la cuisse et une plaie ouverte à la jambe, et que ça n’avait pas été soigné. Qu’en était-il ?
 
B: Vous avez parlé, lors de l’entretien préliminaire, d’un cas particulier, où une patiente avait un trou dans la cuisse et une plaie ouverte à la jambe, et que ça n’avait pas été soigné. Qu’en était-il ?
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B: Avez-vous vu d’autres cas semblables? Où vous diriez donc que c’est un peu extrême ce qui se passe avec les patients?     
 
B: Avez-vous vu d’autres cas semblables? Où vous diriez donc que c’est un peu extrême ce qui se passe avec les patients?     
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F: Oui, ce qui m’a surtout frappé, c’était avec la jeune fille. Je suppose que c’était un cancer des os qu’elle avait, et elle avait des douleurs de chien... certains  jours, elle se tapait vraiment la tête contre les murs, de douleur pendant la nuit. Et quand alors je lui (Hamer] ai dit: „nous devons absolument donner quelque chose à la jeune fille, Mr. docteur, ce n’est pas normal“, alors il a dit: „Pour l’amour du ciel, nous ne devons absolument pas lui donner de médicaments contre la douleur, cela modifierait tellement l‘hémogramme [la formule hématologique] que ça empêcherait la guérison.“ Oui, alors j’y ai cru aussi, à ce moment là, ignorante que j’étais ; j’ai pensé que c’était lui qui savait.  
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F: Oui, ce qui m’a surtout frappé, c’était avec la jeune fille. Je suppose que c’était un cancer des os qu’elle avait, et elle avait des douleurs de chien... certains  jours, elle se tapait vraiment la tête contre les murs, de douleur pendant la nuit. Et quand alors je lui (Hamer] ai dit: „nous devons absolument donner quelque chose à la jeune fille, Mr. le docteur, ce n’est pas normal“, alors il a dit: „Pour l’amour du ciel, nous ne devons absolument pas lui donner de médicaments contre la douleur, cela modifierait tellement l‘hémogramme [la formule hématologique] que ça empêcherait la guérison.“ Oui, alors j’y ai cru aussi, à ce moment là, ignorante que j’étais ; j’ai pensé que c’était lui qui savait.
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B: A l’époque vous n’aviez aucune formation spéciale, on vous a simplement demandé de veiller sur les gens quelques nuits.
 
B: A l’époque vous n’aviez aucune formation spéciale, on vous a simplement demandé de veiller sur les gens quelques nuits.
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F: Oui, j’étais employée spécialement pour une certaine française. Elle avait un cancer du sein et il fallait changer les bandages deux à trois fois la nuit. Sinon, je ne devais pas m’occuper des autres, cela ne me regardait pas, puisque je n’étais engagé par lui [Hamer], mais par le français, le mari de cette femme. Mais malgré tout, quand on est seule dans la maison toute la nuit, on regarde par-ci par-là, surtout quand quelqu’un pleure en tout cas, ou gémis, alors tu penses: „ tu dois pourtant bien aller voir là-dedans“ – et alors...       
 
F: Oui, j’étais employée spécialement pour une certaine française. Elle avait un cancer du sein et il fallait changer les bandages deux à trois fois la nuit. Sinon, je ne devais pas m’occuper des autres, cela ne me regardait pas, puisque je n’étais engagé par lui [Hamer], mais par le français, le mari de cette femme. Mais malgré tout, quand on est seule dans la maison toute la nuit, on regarde par-ci par-là, surtout quand quelqu’un pleure en tout cas, ou gémis, alors tu penses: „ tu dois pourtant bien aller voir là-dedans“ – et alors...       
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F: Tout à fait exact. Il était dit: "simplement de façon transitoire, jusqu’à ce qu’une infirmière arrive", qui me remplacerait et qui ferait le service de nuit. Mais durant les six semaines où j’étais là, aucune infirmière n’est venue, et alors j’ai dû continuer ainsi à m’occuper de tous les services de nuit.
 
F: Tout à fait exact. Il était dit: "simplement de façon transitoire, jusqu’à ce qu’une infirmière arrive", qui me remplacerait et qui ferait le service de nuit. Mais durant les six semaines où j’étais là, aucune infirmière n’est venue, et alors j’ai dû continuer ainsi à m’occuper de tous les services de nuit.
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B: Savez-vous qui a financé Mr. Hamer?
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B: Savez-vous qui a financé [[Ryke Geerd Hamer|Mr Hamer]]?
    
F: Non, je ne le sais pas de façon précise. Des rumeurs disaient qu‘il n’aurait pas d’argent. Le comte, c’est comme ça qu’on l’appelait, de France, serait celui qui soutiendrait financièrement  le tout, et qu’il aurait de l’argent, ex-cetera, ex-cetera. Mais je ne peux rien dire de précis à ce propos. Comment l’affaire se passait sur le plan financier, je ne le sais pas.
 
F: Non, je ne le sais pas de façon précise. Des rumeurs disaient qu‘il n’aurait pas d’argent. Le comte, c’est comme ça qu’on l’appelait, de France, serait celui qui soutiendrait financièrement  le tout, et qu’il aurait de l’argent, ex-cetera, ex-cetera. Mais je ne peux rien dire de précis à ce propos. Comment l’affaire se passait sur le plan financier, je ne le sais pas.
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B: Donc Mr. le Dr. Hamer, s’est occupé aussi d’une fille avec un cancer des os? Nous avions déjà parlé de ce cas auparavant, et peut-être vous pouvez le décrire encore une fois.
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B: Donc Mr. le [[Ryke Geerd Hamer|Dr. Hamer]], s’est occupé aussi d’une fille avec un cancer des os? Nous avions déjà parlé de ce cas auparavant, et peut-être vous pouvez le décrire encore une fois.
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F: Oui, donc  j’ai bataillé quand cela allait vraiment très mal pour elle et que nous avons pensé : „Mon dieu, la pauvre fille, on doit pourtant l’aider“... et que je lui ai dit : „Monsieur le docteur, qu’est-ce que je peux donc faire?" Et il a répondu: ''ah, maintenant vous n’avez pas besoin de vous en occuper, je vais dormir aujourd’hui auprès d’elle cette nuit, et ça la calme et elle se sent alors mieux et protégée.'' Et cetera, et cetera, et je me rappelle d’avoir pensé: "Ca c’est une drôle de méthode, qu’un médecin dorme auprès d’un patient pour le calmer et lui donner une impression de protection." Jamais encore entendu ça, c’était quand même un peu mystérieux. Et ça seulement chez la jeune fille, chez les autres patients il ne l’a pas fait, qu’il ait aussi, quand ils ont pleuré ainsi de douleur la nuit, qu’il ait aussi … là je dois aussi me coucher donc en plus pour donner un peu de réconfort ou de sécurité.   
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F: Oui, donc  j’ai bataillé quand cela allait vraiment très mal pour elle et que nous avons pensé : „Mon dieu, la pauvre fille, on doit pourtant l’aider“... et que je lui ai dit : „Monsieur le docteur, qu’est-ce que je peux donc faire?" Et il a répondu: ''ah, maintenant vous n’avez pas besoin de vous en occuper, je vais dormir aujourd’hui auprès d’elle cette nuit, et ça la calme et elle se sent alors mieux et protégée.'' Et caetera, et caetera, et je me rappelle d’avoir pensé: "Ca c’est une drôle de méthode, qu’un médecin dorme auprès d’un patient pour le calmer et lui donner une impression de protection." Jamais encore entendu ça, c’était quand même un peu mystérieux. Et ça seulement chez la jeune fille, chez les autres patients il ne l’a pas fait, qu’il ait aussi, quand ils ont pleuré ainsi de douleur la nuit, qu’il ait aussi … là je dois aussi me coucher donc en plus pour donner un peu de réconfort ou de sécurité.   
    
B: Il a aussi donné, de votre temps, aux patients donc absolument aucun médicament ?
 
B: Il a aussi donné, de votre temps, aux patients donc absolument aucun médicament ?
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B: Donc, il était absolument convaincu de son idée?
 
B: Donc, il était absolument convaincu de son idée?
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F: Absolument. Sans doute aucun, il n’a pas douté de sa méthode pour une seule seconde. Et il n’a accepté aucune objection de l’extérieur. Si quelqu’un essayait de lui dire: „Dr. Hamer, ne croyez vous pas que ceci ou cela serait le vrai chemin.“ „Non, non, pour l’amour du ciel!“ Seulement une allusion „il faudrait donner quelque chose à la fille contre les douleurs...“ „Pour l’amour du ciel!“
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F: Absolument. Sans doute aucun, il n’a pas douté de sa méthode pour une seule seconde. Et il n’a accepté aucune objection de l’extérieur. Si quelqu’un essayait de lui dire: „[[Ryke Geerd Hamer|Dr. Hamer]], ne croyez vous pas que ceci ou cela serait le vrai chemin.“ „Non, non, pour l’amour du ciel!“ Seulement une allusion „il faudrait donner quelque chose à la fille contre les douleurs...“ „Pour l’amour du ciel!“
    
B: Plus tard, vous avez travaillé avec d’autres médecins, étaient-ils aussi absolus?
 
B: Plus tard, vous avez travaillé avec d’autres médecins, étaient-ils aussi absolus?
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F: C’était extraordinaire.
 
F: C’était extraordinaire.
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*[http://www.freie-radios.net/portal/content.php?id=16337 Radio wüste Welle]
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*[http://www.psiram.com/en/index.php?title=Testimonies_of_former_associates_of_Hamer Version en langue anglaise]
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*[http://www.psiram.com/it/index.php?title=Testimonianze_Nuova_Medicina Version en langue italienne]
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*http://www.secte-de-la-mort.net
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