Modifications

Aller à la navigation Aller à la recherche
aucun résumé des modifications
Ligne 3 : Ligne 3 :  
<ref>https://www.facebook.com/onlymefoundation/posts/dr-jack-lambert-is-a-scottish-doctor-who-is-currently-working-as-an-infectious-d/1294963953940812/ [Traduction DeepL du début du post:<br>Le Dr Jack Lambert est un médecin écossais qui travaille actuellement en tant que consultant en maladies infectieuses dans un hôpital public de Dublin, en Irlande. Il a commencé à traiter des patients atteints de la borréliose de Lyme il y a 20 ans aux États-Unis et au cours des 5 dernières années en Irlande.<br>Il a également traité avec succès un certain nombre de jeunes femmes qui sont tombées malades après avoir été vaccinées contre le VPH [Virus du papillome humain], ce qui semble avoir stimulé la réactivation d'une infection latente de Lyme.<br>[...] </ref>
 
<ref>https://www.facebook.com/onlymefoundation/posts/dr-jack-lambert-is-a-scottish-doctor-who-is-currently-working-as-an-infectious-d/1294963953940812/ [Traduction DeepL du début du post:<br>Le Dr Jack Lambert est un médecin écossais qui travaille actuellement en tant que consultant en maladies infectieuses dans un hôpital public de Dublin, en Irlande. Il a commencé à traiter des patients atteints de la borréliose de Lyme il y a 20 ans aux États-Unis et au cours des 5 dernières années en Irlande.<br>Il a également traité avec succès un certain nombre de jeunes femmes qui sont tombées malades après avoir été vaccinées contre le VPH [Virus du papillome humain], ce qui semble avoir stimulé la réactivation d'une infection latente de Lyme.<br>[...] </ref>
   −
Sur PubMed il est John S. Lambert, mais il se fait aussi appeler John (Jack) Lambert<ref>https://www.lymeresourcecentre.com/about-us/jlambert Présentation de John (Jack) Lambert sur le site web du LRC (Lyme Research Center). [Traduction DeepL: ]<br>Notre administrateur principal, le professeur John (Jack) Lambert, est professeur de médecine et de maladies infectieuses à l'hôpital universitaire Mater Misericordiae et à la faculté de médecine de l'UCD, à Dublin, et possède une vaste expérience clinique et de recherche.<br><br>Il a été directeur de l'unité nationale d'isolement pour les maladies hautement infectieuses à l'hôpital universitaire Mater Misericordiae et membre du comité national de la fièvre hémorragique virale du HSE. Il a également été impliqué dans le groupe de stratégie de santé sexuelle en Irlande et a enseigné aux médecins généralistes d'Irlande le sujet des MST [Maladies  Sexuellement Transmissibles]. Il est membre du Royal College of Paediatrics and Child Health depuis 2000 et du Royal College of Physicians depuis 2005.<br><br>Il a fait de nombreuses présentations dans le domaine de Lyme et des co-infections depuis 2016 dans le cadre de conférences européennes et américaines soutenues par l'[[ILADS|International Lyme and Associated Diseases Society (ILADS)]]. Il a suivi une formation spécialisée par le biais de l'[[ILADS]] et possède une expérience significative dans le traitement de la [[maladie de Lyme]] et des co-infections.<br><br>Il a organisé et dirigé les 1ère et 2ème Conférences européennes sur les Crypto-Infections, portant sur la science derrière la [[maladie de Lyme]] et les co-infections, qui se sont tenues à Dublin en mai 2019 et en ligne en septembre 2020.</ref> et Jack (John) Lambert ou tout simplement John Lambert<ref>https://lymediseaseuk.com/2017/12/19/dr-john-lambert-expert-qa-video/ (lien mort)</ref> ou Jack Lambert<ref>http://www.visavissymposiums.org/symposiums-2/tick-borne-disease-symposium-2016/</ref>. Il intervient sur la [[Maladie de Lyme|Borréliose de Lyme]], à la fois en Ecosse, au Royaume-Uni et en Irlande, depuis au moins 2016, promouvant les thèses et recommandations de l'[[ILADS]].  
+
Sur PubMed il est John S. Lambert, mais il se fait aussi appeler John (Jack) Lambert<ref>https://www.lymeresourcecentre.com/about-us/jlambert Présentation de John (Jack) Lambert sur le site web du LRC (Lyme Research Center). [Traduction DeepL: ]<br>Notre administrateur principal, le professeur John (Jack) Lambert, est professeur de médecine et de maladies infectieuses à l'hôpital universitaire Mater Misericordiae et à la faculté de médecine de l'UCD, à Dublin, et possède une vaste expérience clinique et de recherche.<br><br>Il a été directeur de l'unité nationale d'isolement pour les maladies hautement infectieuses à l'hôpital universitaire Mater Misericordiae et membre du comité national de la fièvre hémorragique virale du HSE. Il a également été impliqué dans le groupe de stratégie de santé sexuelle en Irlande et a enseigné aux médecins généralistes d'Irlande le sujet des MST [Maladies  Sexuellement Transmissibles]. Il est membre du Royal College of Paediatrics and Child Health depuis 2000 et du Royal College of Physicians depuis 2005.<br><br>Il a fait de nombreuses présentations dans le domaine de Lyme et des co-infections depuis 2016 dans le cadre de conférences européennes et américaines soutenues par l'[[ILADS|International Lyme and Associated Diseases Society (ILADS)]]. Il a suivi une formation spécialisée par le biais de l'[[ILADS]] et possède une expérience significative dans le traitement de la [[maladie de Lyme]] et des co-infections.<br><br>Il a organisé et dirigé les 1ère et 2ème Conférences européennes sur les Crypto-Infections, portant sur la science derrière la [[maladie de Lyme]] et les co-infections, qui se sont tenues à Dublin en mai 2019 et en ligne en septembre 2020.</ref> et Jack (John) Lambert ou tout simplement John Lambert<ref>https://lymediseaseuk.com/2017/12/19/dr-john-lambert-expert-qa-video/ (lien mort)</ref> ou Jack Lambert<ref>http://www.visavissymposiums.org/symposiums-2/tick-borne-disease-symposium-2016/</ref>. Il intervient sur la [[Maladie de Lyme|Borréliose de Lyme]], à la fois en Ecosse, au Royaume-Uni et en Irlande, depuis au moins 2016, promouvant les thèses et recommandations de l'[[ILADS]].  
 +
 
 +
John S. Lambert est le fondateur, en 2019, du LRC (Lyme Resource Centre), une organisation caritative basée au Royaume-Uni dont la mission est d'informer le public et les professionnels de la santé sur la maladie de Lyme et les co-infections transmises par les tiques, et de collaborer avec d'autres pour rechercher des moyens de lutter contre toutes les maladies transmises par les tiques, et son administrateur principal.<ref>https://www.lymeresourcecentre.com/who-we-are <br>The Lyme Resource Centre is a charity based in the UK with a mission to educate the public and healthcare professionals about Lyme disease and related tick-borne co-infections and work with others to research ways to combat all tick-borne illnesses.</ref>
    
<ref>ILADS_BOSTON_2017-Dr-LAMBERT.pdf <br>[Traduction DeepL de l'Abstract:]<br>Résumé:<br>L'"expérience irlandaise" n'est pas unique et constitue probablement un "instantané" des autres pays de l'UE.<br>- La surveillance et les rapports actuels sont inadéquats.<br>- Les tests d'anticorps actuels, qui constituent la "norme d'excellence", passent à côté de nombreux patients.<br>- La découverte, dans le cas d'un anticorps de lyme négatif, d'un anticorps positif contre l'anaplasme, la babésia ou les rickettsies, signifie une infection antérieure ou actuelle par une infection transmise par les tiques, probablement aussi par Borrelia.<br>- Les "tests allemands", très décriés par les spécialistes de l'identification en Irlande, représentent un outil supplémentaire pour identifier une co-infection lorsque les autres "tests standard" n'ont pas permis de poser le diagnostic.<br>- Certains consultants ne veulent pas reconsidérer leur diagnostic, même lorsque l'état des patients s'améliore avec le traitement.</ref>
 
<ref>ILADS_BOSTON_2017-Dr-LAMBERT.pdf <br>[Traduction DeepL de l'Abstract:]<br>Résumé:<br>L'"expérience irlandaise" n'est pas unique et constitue probablement un "instantané" des autres pays de l'UE.<br>- La surveillance et les rapports actuels sont inadéquats.<br>- Les tests d'anticorps actuels, qui constituent la "norme d'excellence", passent à côté de nombreux patients.<br>- La découverte, dans le cas d'un anticorps de lyme négatif, d'un anticorps positif contre l'anaplasme, la babésia ou les rickettsies, signifie une infection antérieure ou actuelle par une infection transmise par les tiques, probablement aussi par Borrelia.<br>- Les "tests allemands", très décriés par les spécialistes de l'identification en Irlande, représentent un outil supplémentaire pour identifier une co-infection lorsque les autres "tests standard" n'ont pas permis de poser le diagnostic.<br>- Certains consultants ne veulent pas reconsidérer leur diagnostic, même lorsque l'état des patients s'améliore avec le traitement.</ref>
12 759

modifications

Menu de navigation