En 2014, l’[[ILADS]] avait mis à jour ses recommandations et les avaient soumises pour évaluation à l’AHRQ, l’Agence pour la recherche et la qualité des soins de santé qui dépend du ministère américain de la Santé (HHS). Et les résultats étaient désastreux : toutes les recommandations de l’[[ILADS]] avaient été confrontées à la littérature scientifique et s'étaient vu attribuer la plus mauvaise note (preuves « très faibles ») sur une échelle comportant quatre niveaux (preuves « hautes », « moyennes », « faibles », « très faibles »). On peut cependant vérifier l'évaluation faite de l'"''Evidence assessments and guideline recommendations in Lyme disease: the clinical management of known tick bites, erythema migrans rashes and persistent disease.''" (titre des guidelines de l'ILADS de 2014) grâce à la backWayMachine ici: <ref>https://web.archive.org/web/20150923192000/http://www.guideline.gov/content.aspx?id=49320</ref> | En 2014, l’[[ILADS]] avait mis à jour ses recommandations et les avaient soumises pour évaluation à l’AHRQ, l’Agence pour la recherche et la qualité des soins de santé qui dépend du ministère américain de la Santé (HHS). Et les résultats étaient désastreux : toutes les recommandations de l’[[ILADS]] avaient été confrontées à la littérature scientifique et s'étaient vu attribuer la plus mauvaise note (preuves « très faibles ») sur une échelle comportant quatre niveaux (preuves « hautes », « moyennes », « faibles », « très faibles »). On peut cependant vérifier l'évaluation faite de l'"''Evidence assessments and guideline recommendations in Lyme disease: the clinical management of known tick bites, erythema migrans rashes and persistent disease.''" (titre des guidelines de l'ILADS de 2014) grâce à la backWayMachine ici: <ref>https://web.archive.org/web/20150923192000/http://www.guideline.gov/content.aspx?id=49320</ref> |