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Le Dietary Supplement Health and Education Act de 1994 (DSHEA) définit les compléments comme des aliments et autorise donc leur commercialisation, sauf si la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis prouve qu'ils présentent un risque significatif ou déraisonnable de préjudice, plutôt que d'exiger du fabricant qu'il prouve la sécurité ou l'efficacité du complément. La Food and Drug Administration ne peut prendre des mesures que si les producteurs font des allégations médicales sur leurs produits ou si les consommateurs de ces produits tombent gravement malades.<ref name="isbn0-7679-2042-2">author=Dan Hurley |title=Natural causes: death, lies, and politics in America's vitamin and herbal supplement industry |publisher=Broadway Books |location=New York |year=2006 |isbn=0-7679-2042-2 |url-access=registration |url=https://archive.org/details/naturalcausesdea00hurl</ref>
 
Le Dietary Supplement Health and Education Act de 1994 (DSHEA) définit les compléments comme des aliments et autorise donc leur commercialisation, sauf si la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis prouve qu'ils présentent un risque significatif ou déraisonnable de préjudice, plutôt que d'exiger du fabricant qu'il prouve la sécurité ou l'efficacité du complément. La Food and Drug Administration ne peut prendre des mesures que si les producteurs font des allégations médicales sur leurs produits ou si les consommateurs de ces produits tombent gravement malades.<ref name="isbn0-7679-2042-2">author=Dan Hurley |title=Natural causes: death, lies, and politics in America's vitamin and herbal supplement industry |publisher=Broadway Books |location=New York |year=2006 |isbn=0-7679-2042-2 |url-access=registration |url=https://archive.org/details/naturalcausesdea00hurl</ref>
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Un sondage national Harris d'octobre 2002 a montré qu'à l'époque, les consommateurs étaient encore très confus quant aux différences entre les compléments et les produits pharmaceutiques. Ainsi, 59 % des personnes interrogées croyaient que les compléments devaient être approuvés par une agence gouvernementale avant de pouvoir être commercialisés ; 68 % croyaient que les compléments devaient énumérer les effets secondaires potentiels sur leurs étiquettes ; et 55 % croyaient que les étiquettes des compléments ne pouvaient pas faire d'allégations de sécurité sans preuves scientifiques. Toutes ces croyances sont incorrectes en raison des dispositions de la DSHEA. [Psiram.com: La référence 20 conduisait à un article intitué "''Dangerous Supplements: Still at Large''" publié dans le journal de la DSHEA (Dietary Supplements and Health Education Act) en 2004 réservé au abonnés.]
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Un sondage national Harris d'octobre 2002 a montré qu'à l'époque, les consommateurs étaient encore très confus quant aux différences entre les compléments et les produits pharmaceutiques. Ainsi, 59 % des personnes interrogées croyaient que les compléments devaient être approuvés par une agence gouvernementale avant de pouvoir être commercialisés ; 68 % croyaient que les compléments devaient énumérer les effets secondaires potentiels sur leurs étiquettes ; et 55 % croyaient que les étiquettes des compléments ne pouvaient pas faire d'allégations de sécurité sans preuves scientifiques. Toutes ces croyances sont incorrectes en raison des dispositions de la DSHEA. <br>[Psiram.com: La référence 20 conduisait à un article intitué "''Dangerous Supplements: Still at Large''" publié dans le journal de la DSHEA (Dietary Supplements and Health Education Act) en 2004 réservé au abonnés.]
    
Une loi de l'État américain de Virginie accorde aux adolescents de 14 ans ou plus et à leurs parents le droit de refuser des traitements médicaux pour des maladies telles que le cancer, et de rechercher des traitements alternatifs tant qu'ils ont envisagé toutes les autres options médicales, présentée comme "significative pour la liberté de santé en Virginie".<ref>"Kaine Signs Tax Cut for Poor, Medical Rights for Sick Teens". Washington Post. Published 27 March 2007</ref>
 
Une loi de l'État américain de Virginie accorde aux adolescents de 14 ans ou plus et à leurs parents le droit de refuser des traitements médicaux pour des maladies telles que le cancer, et de rechercher des traitements alternatifs tant qu'ils ont envisagé toutes les autres options médicales, présentée comme "significative pour la liberté de santé en Virginie".<ref>"Kaine Signs Tax Cut for Poor, Medical Rights for Sick Teens". Washington Post. Published 27 March 2007</ref>
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