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Au sujet du traitement de Leentje Callens, sa partenaire de vie et épouse Françoise Goedhuy a déclaré dans le magazine belge DH que son épouse Leentje et elle sont tombées sur ​​Ross et son centre en faisant une recherche sur Internet. Le traitement avait coûté € 9900 pour 10 semaines de traitement. Toutes deux ne s'étaient pas attendu à un miracle, mais n'a pas non plus vu de danger dans le traitement parce que celui-ci leur avait été garanti être un traitement 100% naturel. Les premières perfusions ont eu lieu les 18 et 19 juillet, avec les perfusions de quatre autres patients. Après la perfusion du mardi, le 20 juillet, Leentje s'est très rapidement sentie mal. Le «docteur» a répondu que, pour la première fois, il n'avait pas utilisé le remède d'un fabricant allemand mais celui d'un fournisseur américain. Un appel chez le fabricant américain aurait montré que tout était "normal". Leentje Callens a eu de plus en plus de nausées; cependant elle a été autorisée à retourner dans leur chambre d'hôtel à Venlo. Les convulsions augmentaient à tel point que le 21 juillet à quatre heure du matin il fallut appeler l'ambulance. Le même jour, l'après - midi du 21 juillet 2016, Leentje Callens est décédée à l'hôpital de Nijmegen. La police a également signalé à ce sujet qu'au moins une autre patiente qui avait été traitée eu même moment que Callens, serait également décédée.<ref>Zitat von [http://www.dhnet.be/actu/faits/deces-suspect-d-une-belge-apres-un-traitement-anti-cancer-en-allemagne-57a0d3e735709a3105563905]: ''"L’objectif était d’aider Leentje, pas de la tuer", confie Françoise Goedhuys dont l’épouse, Leentje Callens, est la victime belge décédée le 21 juillet après avoir reçu en perfusion un produit venu des États-Unis que le centre expérimentait pour la première fois.<br>Un cancer du pancréas avait été diagnostiqué en octobre. Si la chimio avait réduit la tumeur, Leentje savait qu’elle n’était pas tirée d’affaire. Le couple, qui voulait se marier en 2017, avança la date au 18 juin. "Une journée magnifique".<br>Sans jamais se plaindre, Leentje, qui avait perdu 17 kilos, se sentait très faible. C’est grâce à Internet que les deux femmes ont appris l’existence de ce Centre Klaus Ross assez proche de la frontière belge. Il en coûterait 9.900 euros pour un traitement de 10 semaines. "On n’attendait pas un miracle mais rien ne pouvait être dangereux : c’était garanti naturel à 100 %".<br>Les premières perfusions de produits furent administrées les 18 et 19 juillet à Leentje ainsi qu’à quatre autres patients.<br>Après celle du mercredi 20 au matin, Leentje eut très vite d’importantes nausées. Si Françoise s’alarmait, le médecin répondait qu’il utilisait pour la première fois non plus des produits venant d’Allemagne, mais du matériel venant des États-Unis. Un coup de fil chez le fabricant américain les rassura : "Tout était normal".<br>Leentje avait maintenant des convulsions. On l’autorisa néanmoins à rentrer à l’hôtel à Venlo. À 4 h du matin le jeudi 21, Leentje faisait de telles convulsions que Françoise commandait une ambulance. Leentje est décédée l’après-midi, à 15 h, à l’hôpital de Nimègue.<br>La police a appris le décès d’un autre patient traité au même moment au Centre Klaus Ross, ce que la police Oost-Nederland pouvait confirmer hier après-midi. Et Françoise est informée d’un troisième décès.''</ref>
 
Au sujet du traitement de Leentje Callens, sa partenaire de vie et épouse Françoise Goedhuy a déclaré dans le magazine belge DH que son épouse Leentje et elle sont tombées sur ​​Ross et son centre en faisant une recherche sur Internet. Le traitement avait coûté € 9900 pour 10 semaines de traitement. Toutes deux ne s'étaient pas attendu à un miracle, mais n'a pas non plus vu de danger dans le traitement parce que celui-ci leur avait été garanti être un traitement 100% naturel. Les premières perfusions ont eu lieu les 18 et 19 juillet, avec les perfusions de quatre autres patients. Après la perfusion du mardi, le 20 juillet, Leentje s'est très rapidement sentie mal. Le «docteur» a répondu que, pour la première fois, il n'avait pas utilisé le remède d'un fabricant allemand mais celui d'un fournisseur américain. Un appel chez le fabricant américain aurait montré que tout était "normal". Leentje Callens a eu de plus en plus de nausées; cependant elle a été autorisée à retourner dans leur chambre d'hôtel à Venlo. Les convulsions augmentaient à tel point que le 21 juillet à quatre heure du matin il fallut appeler l'ambulance. Le même jour, l'après - midi du 21 juillet 2016, Leentje Callens est décédée à l'hôpital de Nijmegen. La police a également signalé à ce sujet qu'au moins une autre patiente qui avait été traitée eu même moment que Callens, serait également décédée.<ref>Zitat von [http://www.dhnet.be/actu/faits/deces-suspect-d-une-belge-apres-un-traitement-anti-cancer-en-allemagne-57a0d3e735709a3105563905]: ''"L’objectif était d’aider Leentje, pas de la tuer", confie Françoise Goedhuys dont l’épouse, Leentje Callens, est la victime belge décédée le 21 juillet après avoir reçu en perfusion un produit venu des États-Unis que le centre expérimentait pour la première fois.<br>Un cancer du pancréas avait été diagnostiqué en octobre. Si la chimio avait réduit la tumeur, Leentje savait qu’elle n’était pas tirée d’affaire. Le couple, qui voulait se marier en 2017, avança la date au 18 juin. "Une journée magnifique".<br>Sans jamais se plaindre, Leentje, qui avait perdu 17 kilos, se sentait très faible. C’est grâce à Internet que les deux femmes ont appris l’existence de ce Centre Klaus Ross assez proche de la frontière belge. Il en coûterait 9.900 euros pour un traitement de 10 semaines. "On n’attendait pas un miracle mais rien ne pouvait être dangereux : c’était garanti naturel à 100 %".<br>Les premières perfusions de produits furent administrées les 18 et 19 juillet à Leentje ainsi qu’à quatre autres patients.<br>Après celle du mercredi 20 au matin, Leentje eut très vite d’importantes nausées. Si Françoise s’alarmait, le médecin répondait qu’il utilisait pour la première fois non plus des produits venant d’Allemagne, mais du matériel venant des États-Unis. Un coup de fil chez le fabricant américain les rassura : "Tout était normal".<br>Leentje avait maintenant des convulsions. On l’autorisa néanmoins à rentrer à l’hôtel à Venlo. À 4 h du matin le jeudi 21, Leentje faisait de telles convulsions que Françoise commandait une ambulance. Leentje est décédée l’après-midi, à 15 h, à l’hôpital de Nimègue.<br>La police a appris le décès d’un autre patient traité au même moment au Centre Klaus Ross, ce que la police Oost-Nederland pouvait confirmer hier après-midi. Et Françoise est informée d’un troisième décès.''</ref>
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Au sujet du jour exact des perfusions de 3-Bromopyruvat au Biologischen Krebszentrum Bracht à Brueggen, en juillet 2016, qui a peut-être conduit à la mort des patients, il y a dans les divers rapports de presse des informations légères différentes. Dans certains, les jours de traitement mentionnés sont les 18 et 19 juillet, dans d'autres le 27 juillet. Selon le rapport de police, est décédée le 28 juillet une femme belge de 55 ans (traitée les 18 et 19 juillet selon l'article La Dernière Heure/DH), le 29 juillet, un néerlandais de 55 ans, et le jour suivant une femme néerlandaise.
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Pour les patients, s'ajoute des facteurs aggravants: Ross (qui conduit une voiture avec une plaque d'immatriculation néerlandaise), selon les membres de la famille des patients décédés, parle lui-même à peine le néerlandais et parle anglais ou allemand avec les patients étrangers. Il aurait aussi exécuté seul les traitements dans son centre, certaines séances auraient approvisionné en perfusions jusqu'à dix patients simultanément [installés] dans chaises Relax dans les quatre salles de traitement<ref> http://www.ad.nl/dossier-rotterdam/artsen-schrokken-heel-erg-van-hoe-fleur-er-aan-toe-was~aa7528c1/</ref>.
    
== André Hartel ==
 
== André Hartel ==
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