Il existe d'exellents articles et dossiers sur l'homéopathie, nous conseillons en particulier celui-ci[1], on y lit: "L'Académie nationale de médecine qui fait suite aux diverses Académies royales fondées à partir de 1731, a pour mission de conseiller le gouvernement pour les problèmes d'hygiène et de santé publique. Elle a donc un rôle proprement scientifique. A plusieurs reprises, à propos de communications concernant l'homéopathie, elle a émis des doutes sur l'efficacité de cette discipline. En 1987, à la suite d'une controverse, elle a indiqué que la prescription de médicaments homéopathiques "ne se justifie que dans les manifestations pathologiques guérissant spontanément".
On ne peut être plus clair ! Et sa position n'a jamais varié."

On y lit aussi: "Précisons tout d’abord que les facultés de médecine et de pharmacie n’enseignent pas l'homéopathie et ne délivrent dans ce domaine aucun diplôme.
Pour la médecine, seuls des enseignements privés sont dispensés (Parfois dans des locaux astucieusement loués à la faculté de médecine, ce qui provoque la confusion).
En pharmacie, il a été admis que, les pharmaciens étant amenés à délivrer des préparations homéopathiques, il était nécessaire de leur donner une " information ". Brèche par où s’engouffrent les homéopathes pour dispenser une véritable propagande qui fait, hélas, un tabac chez les étudiants les plus crédules."


Article de wikipédia sur l'homéopathie[2]: "En France, en 2004, l'Académie nationale de médecine a demandé le déremboursement des préparations homéopathiques en présentant l'homéopathie comme une « méthode obsolète » fondée « à partir d’a priori conceptuels dénués de fondement scientifique » et « comme une doctrine à l’écart de tout progrès ». Cette demande de déremboursement a été refusée, après avis du Ministère de la Santé, au motif que l'usage de l'homéopathie était très répandu en France, et qu'un déremboursement grèverait au final les finances de la Sécurité sociale, les patients se tournant alors vers des produits plus coûteux et remboursés à 100%, avec une augmentation des risques d'interactions médicamenteuses. Au Québec, en 2009, le Collège des médecins, par l’intermédiaire de son secrétaire, Yves Robert, indique ne pouvoir scientifiquement approuver l'homéopathie. En 2010, aucune étude clinique n'a encore établi un effet thérapeutique de l'homéopathie différent de l'effet placebo."

Liens externes

références


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