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La norvégienne Elsemarit Fjeldheim, âgée de 52 ans, est décédée d’un cancer du sein en 2006. Le cancer avait été détecté à un stade très précoce et on lui avait donné un bon pronostic avec un traitement en temps opportun. Mme Fjeldheim refusa cependant tout  traitement par la médecine scientifique et en particulier toute opération. Mme Fjeldheim écrivait un journal intime où décrivait en détail l’évolution de sa maladie. Selon ce journal, elle connaissait  la NMG et elle proposa à son médecin traitant de se faire traiter par deux thérapeutes de la méta-médecine en Norvège (Bent Madsen et Dagfrid Kolås). Curieusement son  médecin fut d’accord avec ça. Plus tard, une instruction sera conduite contre ce médecin à ce propos. Au début, Mme Fjeldheim était présentée par les deux thérapeutes comme un cas exemplaire de l’efficacité thérapeutique de la NMG. Bien qu’elle alla de plus en plus mal, on l'avait persuadée qu’elle allait guérir très bientôt. Cependant, environ un an après le début de la thérapie GNM, elle décéda.<ref>http://www.tv2nyhetene.no/innenriks/helse/46aaring-doede-av-kreft-etter-behandlingsnekt-2691934.html</ref><ref>http://www.tv2nyhetene.no/innenriks/-har-aldri-fraraadet-kreftmedisin-2697643.html</ref><ref>article du journal "VG" (Verdens Gang) du 25 et 26 mars 2007</ref>
 
La norvégienne Elsemarit Fjeldheim, âgée de 52 ans, est décédée d’un cancer du sein en 2006. Le cancer avait été détecté à un stade très précoce et on lui avait donné un bon pronostic avec un traitement en temps opportun. Mme Fjeldheim refusa cependant tout  traitement par la médecine scientifique et en particulier toute opération. Mme Fjeldheim écrivait un journal intime où décrivait en détail l’évolution de sa maladie. Selon ce journal, elle connaissait  la NMG et elle proposa à son médecin traitant de se faire traiter par deux thérapeutes de la méta-médecine en Norvège (Bent Madsen et Dagfrid Kolås). Curieusement son  médecin fut d’accord avec ça. Plus tard, une instruction sera conduite contre ce médecin à ce propos. Au début, Mme Fjeldheim était présentée par les deux thérapeutes comme un cas exemplaire de l’efficacité thérapeutique de la NMG. Bien qu’elle alla de plus en plus mal, on l'avait persuadée qu’elle allait guérir très bientôt. Cependant, environ un an après le début de la thérapie GNM, elle décéda.<ref>http://www.tv2nyhetene.no/innenriks/helse/46aaring-doede-av-kreft-etter-behandlingsnekt-2691934.html</ref><ref>http://www.tv2nyhetene.no/innenriks/-har-aldri-fraraadet-kreftmedisin-2697643.html</ref><ref>article du journal "VG" (Verdens Gang) du 25 et 26 mars 2007</ref>
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==2009-2010 La famille  Seebald (Autriche)==
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La famille Seebald a quatre enfants. Les parents sont tous les deux  HIV séro-positifs, et refusent cependant une thérapie conventionnelle. Tous deux nient  l’existence du SIDA, sont disciples de la NMG de Hamer et adversaires de la vaccination. En dépit des conseils médicaux défavorables, la mère Barbara met au monde, à la maison, une fille (Muriel), malgré l’infection HIV de la mère et le risque d’infection qui en découle pour l’enfant. La sage-femme chargée de l’accouchement n’a pas été non plus informée de l’infection HIV de la mère. De plus, la petite est allaitée par sa mère, ceci également en contradiction avec les conseils des médecins. Muriel est infectée par le virus (infection verticale), et la dernière année, Muriel  étant malade est amenée à l’hôpital pour enfant Uni de Graz, une infection par le virus du SIDA étant détectée, on l’y traite, contre la volonté des parents. De plus, les parents refusent de faire vacciner leurs enfants. Entre-temps, le tribunal pour enfants enlève aux parents leurs droits de garde, les quatre enfants sont confiés à des parents nourriciers et mis sous la responsabilité de ceux-ci. Muriel reçoit un traitement anti rétro-viral. Les parents essaient d’attaquer la décision des services publics. Avec cela, ils recevaient le soutien d’Helmut Pilhar et de  Ryke Geerd Hamer, qui rédigeaient diverses lettres adressées aux services publics.
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Une procédure fut engagée contre la mère pour blessures corporelles avec des conséquences durables, mise en danger délibérée d’autrui par des maladies transmissibles, et aussi diffamation. Le procès a débuté le 8 juin 2010 à Graz. La mère, infectée par le HIV, a été condamnée le 6 juillet 2010 par le tribunal pénal du district de Graz à 10 mois de détention avec sursis (en Autriche : « détention conditionnelle ») pour  blessures et autres délits, la mère Barbara a toutefois un droit de visites régulières, elle a fait appel.
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Le père est décédé le 11 mai 2010, très probablement à cause du Sida non traité.
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==références==
 
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