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Puis, on lit : "''On peut effectivement s’étonner du manque de réactions des autorités dans tous les pays d’où sont originaires les ONG coupables, face aux agissements d’associations qui prétendent lutter contre le paludisme, le sida ou les diarrhées des enfants avec des dilutions homéopathiques. On peut également souligner l’irresponsabilité des diverses associations homéopathiques qui, d’un côté, proclament haut et fort, en France, au Royaume-Uni et ailleurs, qu’elles sont « responsables », qu’elles ne s’opposent pas aux traitements éprouvés dans le cas de maladies graves, mais qui ferment les yeux, voire soutiennent explicitement les agissements inverses en Afrique et dans les pays pauvres. Le responsable du site « Quackometer » en a fait l’expérience<ref>http://www.quackometer.net/blog/2010/07/secret-email-reveals-more-homeopathic-killing-in-kenya.html</ref>. Dénonçant régulièrement les agissements d’Abha Light, le site s’est adressé aux associations homéopathiques du Royaume-Uni leur demandant de condamner les pratiques de la Fondation. En retour, il explique n’avoir eu que des avocats le menaçant de diffamation et exigeant de lui qu’il retire toutes ses critiques de son site.<br><br>Une farce qui doit cesser<br><br>Le prosélytisme homéopathique en Afrique se fait sous couvert d’installations de dispensaires, de formations de personnels soignants, de mise en place d’infrastructures pour l’assainissement des eaux et l’hygiène, autant d’activités nécessaires. Certaines associations locales, parfois certains services ministériels, sont trompés, ou acceptent de l’être, pour recueillir des aides qu’ils jugent utiles. Ils participent ainsi à la progression de « remèdes miracles », dangereux car inefficaces. Les activités de ces missionnaires des temps modernes doivent être arrêtées. Les populations des pays pauvres ont droit à une médecine éprouvée, efficace.''"
 
Puis, on lit : "''On peut effectivement s’étonner du manque de réactions des autorités dans tous les pays d’où sont originaires les ONG coupables, face aux agissements d’associations qui prétendent lutter contre le paludisme, le sida ou les diarrhées des enfants avec des dilutions homéopathiques. On peut également souligner l’irresponsabilité des diverses associations homéopathiques qui, d’un côté, proclament haut et fort, en France, au Royaume-Uni et ailleurs, qu’elles sont « responsables », qu’elles ne s’opposent pas aux traitements éprouvés dans le cas de maladies graves, mais qui ferment les yeux, voire soutiennent explicitement les agissements inverses en Afrique et dans les pays pauvres. Le responsable du site « Quackometer » en a fait l’expérience<ref>http://www.quackometer.net/blog/2010/07/secret-email-reveals-more-homeopathic-killing-in-kenya.html</ref>. Dénonçant régulièrement les agissements d’Abha Light, le site s’est adressé aux associations homéopathiques du Royaume-Uni leur demandant de condamner les pratiques de la Fondation. En retour, il explique n’avoir eu que des avocats le menaçant de diffamation et exigeant de lui qu’il retire toutes ses critiques de son site.<br><br>Une farce qui doit cesser<br><br>Le prosélytisme homéopathique en Afrique se fait sous couvert d’installations de dispensaires, de formations de personnels soignants, de mise en place d’infrastructures pour l’assainissement des eaux et l’hygiène, autant d’activités nécessaires. Certaines associations locales, parfois certains services ministériels, sont trompés, ou acceptent de l’être, pour recueillir des aides qu’ils jugent utiles. Ils participent ainsi à la progression de « remèdes miracles », dangereux car inefficaces. Les activités de ces missionnaires des temps modernes doivent être arrêtées. Les populations des pays pauvres ont droit à une médecine éprouvée, efficace.''"
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== Essais agro-homéopathiques à Skoura ==
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Les essais, réalisés in vivo, ont été conduits dans la palmeraie de Skoura durant les périodes du : 14 au 21 avril 2013, du 16 au 23 juin 2013, du 16 au 20 septembre 2013, du 18 au 22 octobre 2013 et du 24 au 28 février 2014. [...] Pour le choix des remèdes, nous nous sommes basés sur le livre de Kaviraj « homeopathy for farm and garden » édité chez Narayana Publishers. Les remèdes homéopathiques utilisés sont constitués de : Syrphida
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larva 6 DH, Coccinella 6 DH, Ocimum 6 DH, Petroleum 6 DH, Ledum 6 DH Staphysagria 200 K, Thuya 200 K, Ocimum 76 CH, Calcarea 200 K, 1000, 10000, Silicea 200, 10000 K, Aurum 200, 10000 Carbo vegt. 200K, 1000, Arsenicum
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200K, 1000, Secale 200, 1000 K, psorinum 1000, 10000, belladona 10000, sulfur 1000, 10000.<br>Les basses dilutions sont fabriquées par le laboratoire Narayana, alors que les hautes dilutions proviennent de la trousse personnelle de madame Catherine Mayer.<br>La dose utilisée est de 1à 10 cc dans 1l d’eau qu’on dynamise 20 fois avant de l’incorporer dans 20 à 30l d’eau. Le mélange se fait dans des seaux ou des  arrosoirs en matière plastique. Cette solution est à utiliser pour chaque arbre adulte (palmier ou fruitier). Vu que la voie préconisée pour l’homme est sublinguale, et comme la configuration des plantes est l’inverse de celle de l’humain, on arrose donc autour du tronc, en prenant soin que les remèdes arrivent aux racines.
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L’application des remèdes en arboriculture n’a pas été exhaustive. Dans chaque parcelle on ne traite que le plant le plus infecté. Les plants non traités constituent des témoins.<ref>http://www.hsf-france.com/IMG/pdf/lettre-39.pdf Voir pages 15 et 16</ref>
    
== Références ==
 
== Références ==
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