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…Les relations répugnantes entre contrôle gouvernemental, médecine générale et lobbies pharmaceutiques ont été dénoncées par ni plus ni moins que le Dr. Marcia Angell de la ''Harvard Medical School'', médecin ex-Éditeur-en-chef du ''New England Journal of Medicine'', un des journaux médicaux les plus respectés au monde. Critiquant ouvertement le système officiel de soins et l’industrie pharmaceutique américains, le Dr. Angell est l’auteur de l’ouvrage intitulé ''The Truth About the Drug Companies: How They Deceive Us and What to Do About It'', ainsi que d’un excellent article paru dans le ''NewYork Review of Books'' sous le titre évocateur : ''Drug Companies & Doctors: A Story of Corruption''. Révélant les dérives financières corrompues entre pratique médicale américaine et recherche clinique soutenue par l’industrie, elle écrit : « Personne ne connaît le montant exact des sommes allouées aux médecins par les laboratoires pharmaceutiques, mais d’après les bilans des 9 plus grandes de ces compagnies, sur le seul marché nord-américain, il est question de plus de 10 milliards de USD. C’est ainsi, que s’est établi un contrôle de l’évaluation et, de l’utilisation de leurs produits par les médecins. Des liens si étroits avec les médecins, étendus jusques aux doyens des facultés de médecine, affectent non seulement les résultats de la recherche, la pratique de la médecine, mais aussi la définition de ce qui constitue une « maladie. »
 
…Les relations répugnantes entre contrôle gouvernemental, médecine générale et lobbies pharmaceutiques ont été dénoncées par ni plus ni moins que le Dr. Marcia Angell de la ''Harvard Medical School'', médecin ex-Éditeur-en-chef du ''New England Journal of Medicine'', un des journaux médicaux les plus respectés au monde. Critiquant ouvertement le système officiel de soins et l’industrie pharmaceutique américains, le Dr. Angell est l’auteur de l’ouvrage intitulé ''The Truth About the Drug Companies: How They Deceive Us and What to Do About It'', ainsi que d’un excellent article paru dans le ''NewYork Review of Books'' sous le titre évocateur : ''Drug Companies & Doctors: A Story of Corruption''. Révélant les dérives financières corrompues entre pratique médicale américaine et recherche clinique soutenue par l’industrie, elle écrit : « Personne ne connaît le montant exact des sommes allouées aux médecins par les laboratoires pharmaceutiques, mais d’après les bilans des 9 plus grandes de ces compagnies, sur le seul marché nord-américain, il est question de plus de 10 milliards de USD. C’est ainsi, que s’est établi un contrôle de l’évaluation et, de l’utilisation de leurs produits par les médecins. Des liens si étroits avec les médecins, étendus jusques aux doyens des facultés de médecine, affectent non seulement les résultats de la recherche, la pratique de la médecine, mais aussi la définition de ce qui constitue une « maladie. »
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==== Préface à l’édition française du Docteur Jean Marc ROBIN ====
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==== Préface à l’édition française du Docteur Jean-Marc ROBIN ====
 
La vitamine C et moi, c’est une longue histoire. Mon premier souvenir sur la vitamine C date de mon premier stage d’externe en médecine interne à l’hôpital Avicenne à Bobigny, près de Paris. Lors de mon premier jour de stage, l’interniste, praticien hospitalier me présente une personne âgée alitée et traitée pour une infection avec de multiples pétéchies (tâches hémorragiques sous la peau). Il me demande de faire le diagnostic. Je lui réponds que ces tâches sont liées à la vieillesse. Non, me répond-il c’est un scorbut (maladie de carence en vitamine C). Je croyais à l’époque que cela n’existait plus. Il me dit que presque toutes les personnes âgées infectées qui sont hospitalisées dans le service présentent un scorbut. Il me pose une deuxième question : Quand une personne présente une infection nosocomiale multirésistante à tous les antibiotiques hospitaliers, que prescris-tu ? Je ne sais que répondre, étant donné que dans ce cas, aucun antibiotique utilisé à l’hôpital ne sera efficace. Il me dit alors, qu’il prescrit de l’acide ascorbique (acide supprimant le scorbut) appelée aussi vitamine C et des probiotiques. Et contre toute attente, ces personnes vont guérir de leur infection nosocomiale. Depuis ce jour-là, je me suis intéressé à la vitamine C et je l’ai prescrite chez toutes les personnes infectées. J’ai pris et recommandé de consommer tous les jours 1 gramme de vitamine C à chaque repas à titre préventif contre les infections, la fatigue chronique, le stress... Cela m’a changé la vie... J’étais un asthénique chronique, je ne le suis plus depuis que je suis abonné à la prise quotidienne de vitamine C. Lorsque je suis devenu interne en médecine, mes confrères internes me demandaient comment je faisais pour être en forme au matin après une garde de nuit aux urgences de l’Hôpital sans avoir pu dormir. Je leur montrais alors le tube de vitamine C que j’avais toujours sur moi. Sans la
 
La vitamine C et moi, c’est une longue histoire. Mon premier souvenir sur la vitamine C date de mon premier stage d’externe en médecine interne à l’hôpital Avicenne à Bobigny, près de Paris. Lors de mon premier jour de stage, l’interniste, praticien hospitalier me présente une personne âgée alitée et traitée pour une infection avec de multiples pétéchies (tâches hémorragiques sous la peau). Il me demande de faire le diagnostic. Je lui réponds que ces tâches sont liées à la vieillesse. Non, me répond-il c’est un scorbut (maladie de carence en vitamine C). Je croyais à l’époque que cela n’existait plus. Il me dit que presque toutes les personnes âgées infectées qui sont hospitalisées dans le service présentent un scorbut. Il me pose une deuxième question : Quand une personne présente une infection nosocomiale multirésistante à tous les antibiotiques hospitaliers, que prescris-tu ? Je ne sais que répondre, étant donné que dans ce cas, aucun antibiotique utilisé à l’hôpital ne sera efficace. Il me dit alors, qu’il prescrit de l’acide ascorbique (acide supprimant le scorbut) appelée aussi vitamine C et des probiotiques. Et contre toute attente, ces personnes vont guérir de leur infection nosocomiale. Depuis ce jour-là, je me suis intéressé à la vitamine C et je l’ai prescrite chez toutes les personnes infectées. J’ai pris et recommandé de consommer tous les jours 1 gramme de vitamine C à chaque repas à titre préventif contre les infections, la fatigue chronique, le stress... Cela m’a changé la vie... J’étais un asthénique chronique, je ne le suis plus depuis que je suis abonné à la prise quotidienne de vitamine C. Lorsque je suis devenu interne en médecine, mes confrères internes me demandaient comment je faisais pour être en forme au matin après une garde de nuit aux urgences de l’Hôpital sans avoir pu dormir. Je leur montrais alors le tube de vitamine C que j’avais toujours sur moi. Sans la
 
vitamine C, je n’aurais pu travailler à l’hôpital 33 heures de suite (de 9 h à 18 h le lendemain) sans sommeil.
 
vitamine C, je n’aurais pu travailler à l’hôpital 33 heures de suite (de 9 h à 18 h le lendemain) sans sommeil.
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